L.H-chapitre : 36, Prise de San ANTONIO

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Ils prirent la voiture, direction l' hôtel particulier. Après une heure de trajet, Harmfield sembla inquiet, surtout quand il vit deux camionnettes devant l'Hôtel particulier.

– C'est ? demanda Cameron en passant à l'ordre.

Ils finirent par se garer devant l'hôtel particulier. Harmfield descendit en premier. Louise alla pour ouvrir la portière, sortant la tête, quand des tires se firent. Un tire se figea sur la portière de Louise, à quelques centimètres de sa tête. Harmfield la fit entrer en quatrième vitesse, remontant à son tour sans attendre.

– Sors-nous de là ! Ordonna Harmfield à Cameron qui accéléra.

– Pourquoi on nous tire dessus ? demanda Louise qui se recroquevilla dans la voiture.

– Ils savent ! Dit Cameron, y a plus de doutes. Le monastère ?

Harmfield acquiesça, tout en scrutant derrière eux.

Après un bon moment d'une course poursuite infernal, Cameron fini par les sortir de là et une heure trente plus tard, ils se trouvèrent devant les grilles du monastère. Harmfield alla ouvrir les grilles, quand il vit d'étranges traces au sol.

– Nous ne sommes pas seuls, dit-il remontant dans la voiture. Roule un peu et gare-toi dans les bois.

– Qu'est-ce qui se passe ? demanda Louise.

Cameron monta de quelques mètres la voiture, puis les camoufla dans les buissons sur les côtés ; ils descendirent.

– Y a de la lumière, remarqua Louise en regardant l'une des fenêtres du monastère.

– heureusement que c'est abandonner, dit Cameron.

Harmfield dégaina son pistolet avançant prudemment dans les buissons.

– Va falloir passer par en dessous, dit-il.

– Ils visitent ? demanda Cameron.

– Oui, mais je suis pas sûr que ce soit de courtoisie, répondit Harmfield.

Ils avancèrent à pas feutré jusqu'à un tunnel, fermer par une grille, qu' Harmfield n'eut aucun mal à retirer. Ils entrèrent dans les sous-terrains.

– Dis-moi, ça fait combien de temps que tu ne l'as pas emprunté ? demanda Cameron à voix basse.

– Je dirais... un bon bout de temps, répondit Harmfield, quand des bruits de pas se firent entendre.

– NE BOUGEZ PLUS, hurlait-on devant ainsi que derrière eux.

– Fonce ! ordonna Cameron à Harmfield, qui prit la main de Louise, se mettant à courir à travers des couloirs, sombres et humides.

Des tires se firent entendre derrière eux.

– Accroupi ! ordonna Harmfield à Louise, se mettant devant elle. Il vise, il tire , il tue. Génial ! Cam.

– Présent, répondit-il.

– Combien ?

– Trop nombreux.

Un tire, suivi d'un cri bestial se fit entendre.

– Inmortalium ficta sunt de ibi(immortels sort de là), dit un homme.

– Génial, manquez plus que ça, dit Harmfield. Tu restes avec elle, je vais voir.

Cameron et Louise se trouver à l'abri ,dans l'ombre. Harmfield alla vers le cri bestial, quand un second bruit bestial se fit entendre, ainsi que des tires.

Un Lourd Héritage.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant