L.H-Chapitre8, La demande

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Louise n'avait pas beaucoup dormi. Elle s'était réveillée là où elle s'était arrêtée, devant la porte. Elle avait un mal de crâne. Elle se leva péniblement, prit un verre d'eau puis fila se prendre une bonne douche. Elle espérait que tout ceci ne soit qu'un rêve. Elle sortit de sa douche, mis un shirt, puis un t-shirt blanc, dans sandalettes, et alla au restaurant. Elle devait finir la plonge du soir, et préparer la vaisselle pour le premier tour.

Son père était déjà sur place. Elle avait encore mal à la joue, mais elle lui sourit. Elle alla machinalement derrière, mis le tablier, quand elle entendit la clochette tinté, la famille entra chacun leur tour. Tous se mirent à leur travail. Il devait être onze heure quand la clochette tinta une nouvelle fois. Carla commença à préparer les cafetières. Louise fini d'essuyer encore quelques assiette et de les ranger, quand son père l'appela.

Elle retira son tablier, ses gants et se dirigea en salle. Elle vit à une table FICOME, juste derrière lui se tenait debout Fiels et Johnny. Elle avança à la table.

- Ah ma fille, dit Manuel, le père de Louise. Je suis si heureux, si heureux.

FICOME alors se leva, se mit dans l'allée centrale, fixant Louise, cherchant quelque chose puis mit un genoux à terre. Louise en voyant la scène, pensait rêver. Cet homme lui faisait une demande en mariage. Il transpirait tellement, qu'il perlait.

- Louise DON VIGNO, moi Raphaël FICOME, demande votre main, dit il en avançant un boiter contenant une bague.

Louise resta silencieuse à regarder cet homme, dont le costume était trop petit, qui sentait autant l'alcool que le cigare, et qui n'avait pas d'allure. Ce n'était pas possible.

- Louise ! dit son père, comme pour la réveillait.

Louise prit alors la boite de la main de FICOME,l'ouvrant, regardant la fameuse bague. C'était en fais une bague de haute gammes, mais elle qui avait des mains fines, ne correspondait pas vraiment à ce qu'elle voyait. Enfin elle le regarda.

- Oui, Raphaël je vous épouse, dit Louise sans cœur.

A ces mots Harmfield, se senti mal à l'aise. Comme s'il aurait préférer entendre « non », même s'il était hors de questions qu'il s'y en mêle. De plus FICOME le payer pour être garde du corps, même s' il est vrai, qu'il pourrais effacer sa venu à tout moment. Mais Diane aimer vivre ici avec lui, donc il lui fallait faire quelques concession.

FICOME alors se releva avec peine, et mis la bague, bien sur, trop grande au doigt de Louise, puis la prenant dans ces bras, à la limite de l'axphycie pour ensuite l'embrasser. Louise n'en pouvait plus, elle était à deux doigt d'en être malade. D'ailleurs l'assemblé détourna le regard. Il la reposa enfin.

- Je n'espère qu'une chose, vous entendre me dire : « je vous aimes », dit Raphaël à Louise. Field, Johnny le travail nous appel !

FICOME sera la main de Manuel, puis sorti suivi de Fiels et de Johnny.

- C'était incroyable. Tu as réussi, dit Manuel, en regardant Louise sa fille l'aire dans le vague.

Soudain Louise eut des haut le cœurs. Elle courut dans les toilettes, malade.

- Punaise, ma pauvre t'as pas eu de chance sur ce coup là, dit Carla, lui donnant de quoi s'essuyer. J'ai vue la manière dont il t'as embrassé. Rien que d'y penser... ça me donne froid dans le dos.

- Félicitation Louisa. Je suis heureuse, très heureuse pour toi. Tu sais , je ne pensais pas que tu y arriverais, dit l'une des vieilles tantes qui travailler pour son père.

Louise sorti des toilettes, toujours aussi blanches pour partir en salle, voir son père.

- Dis aujourd'hui, j'aimerais un peu me balader seule. J'aimerais voir cette fresque dans cette Église. Vue qu'il faut que je pense à la suite, dit Louise.

- Oh oui c'est une très bonne idée, dit l'une des tantes. Laisse là voir. On ne sais jamais. N'oublie pas de qui elle sera la femme.

- Très bien, dit son père, mais ne rentre pas trop tard, pour le second service.

Louise acquiesça, sortant du restaurant, sentant les rayons du soleil sur son visage, comme si c'était sa première fois. Elle senti quelques chose de lourd à sa main. Elle regarda alors cette énorme bague, bien trop clinquante à son goût. Elle l'enleva et la rangea dans l'une des poches de son shirt. Celui ci avait de grand poche large.

Elle traversa des rues, puis quelques places touristique, arriva enfin à cette fameuse Église construite par les Templiers pour faire un pied de nez à la Papauté.

Elle y entra et s'y senti comme chez elle. Regardant chaque fresque avec attention. Elle se rappela alors de la fresque avec les initiale « HK ». Elle regarda le chevalier avec attention. Il semblait fort, dur et viril. Curieusement on l' avait peint avec de yeux émeraude.Chose rare que quelqu'un est relever un tel détails.

- Vous êtes curieuse, fit la voix d'un homme.

Louise sursauta et regarda son interlocuteur. C'était moine, ou plutôt un prêtre.

- Je ne sais pourquoi j'ai toujours était attirée par cette fresque et ces détails, dit Louise.

- Elle est très impressionnante, n'est ce pas. Elle nous viens de loin, celle ci.

- Ah oui vraiment, d'où vient 'elle ?

- De Jérusalem. Du Roi exactement.

Louise n'en revenait pas. Une telle chose pouvait elle exister.

- Qu'en arriva t' elle ici ?

- Nous n'avons pas de date exacte, juste un écris. L'histoire veux que le Roi de Jérusalem pour remercie un illustre Chevalier, fit peindre plusieurs fresque, dans l'une des Églises de Jérusalem. Celle ci fut détruire, quelque temps après la mort de Roi. Seul le sigle « HK » fut visible, et l'ai a quelques endroits de cette église.

- Dite moi, le Roi de Jérusalem n'aimait pourtant pas Rome, alors comment ... dit Louise surprise.

- La seule chose que nous savons, c'est qu'il y a plusieurs siècles, vers la fin des Croisades, plusieurs Templiers on poser bagages dans le secteur. Le monastère de San ANTONIO, en est l'exemple concret. Il fut longtemps déserté par l'Église, et ce sont les Templiers qui le remirent sur place, jusqu'à leur disparition.

- Ah oui j'en ai entendu parler. Il est dans les hauteurs napolitaine. Parfois de la plage on le perçoit. Y a t' il quelque chose là bas ?

- Oh non mademoiselle, tout à était piller, il y a bien longtemps. Seul de vrai ermite, ou pour d'obscure raison, s'y aventure. Rome a fait fermer ces portes, il y a prêt de deux siècles.

- Effectivement. Mais je suppose que ce n'est pas l'unique fresque que vous avez de cette époque ?

- En si bonne état, non malheureusement, dit le prêtre.

Les cloches se mirent à sonner.

- Désolé mademoiselle, l'appel de Cieux.

Le prêtre reparti alors. Louise était sous le charme de cette découverte. Sorti elle aussi de cette église, marchant quelques pas pour découvrir une place, remplit de touriste et de couple amoureux, elle regardait certain s'embrasser. C'était beau, pas comme FICOME et elle. Le temps passa, elle arrêta de flâner et rentra au restaurant pour le second service.












Un Lourd Héritage.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant