L.H-Chapitre 17, Nouvelle Alliance.

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Louise était en train de dormir profondément, quand quelque chose fit pencher le matelas. Elle se réveilla, et vit le Baron assit juste à coter d'elle.

« Qu'est ce qu'il fait là ? Qu'est ce qu'il veut ? Se demanda-t-elle. »

- Ah, Louise, pardonne-moi, je t'ai réveillé ? J'ai quelque chose à te montrer, dit le Baron

Il sortit un bout de Carton doré, qu'il posa sur le lit. Louise s'assit, le prit :

« Nous sommes heureux de vous annoncez le Mariage en date du 14 juillet de Monsieur Raphaël FICOME & de Mademoiselle Louise DON VIGNO , à 14h au Cloître Saint JOSE. »

Louise n'en revenait pas.

« C'est impossible, impossible, se dit-elle ». Louise regarda alors le Baron, blême.

- Quelque chose ne va pas ? Ah oui! j'ai avancé la date, depuis l'enterrement de ton pauvre père, je me suis dit qu'il fallait prendre des dispositions rapidement. Cela te convient-il ?

Louise ne savait pas quoi dire. Elle resta silencieuse, à la limite de pleurer.

- Lève-toi, et habille-toi , dit Raphaël s'asseyant dans le fauteuil.

- Tu restes... là ? dit Louise surprise et balbutiante.

Le Baron lui sourit.

Harmfield était en sueur. Il bandait, revoyant toutes ces scènes de plaisir, de désir qui tournaient en boucle. Ressentant cette flamme, cette étincelle de désir ardent à chaque fois qu'elle le frôler, le toucher. Elle allait le rendre fou. Elle. Elle ! Oui elle, cette gamine, Louise. Il n'en pouvait plus. Il ne pouvait pas supporter cette attente, cette envie. Cela lui faisait mal. Il ouvrit alors les yeux, se mettant sur ces coudes. Il était brûlant. Une fièvre ardente de plaisir avait pris possession de son corps comme jamais ; lui un être immortel assoiffé de sang, dont le corps ne dépasser pas généralement le 25 degrés Celsius. Il remarqua son sexe durci.

- Oh, je vois, tu es d'humeur ? demanda Diane.

Elle regardait Harmfield. Quelque chose avait changé. Il frémissait de plaisir. Elle s'installa sur lui, ouvrant ces cuisses, se laissant glissé sur ce membre en érection, puis fit des va et viens. Harmfield se rallongea alors, laissant Diane prodiguer les soins adéquats, quand elle gémit. Il l'a pris violemment par le cou. Le sang coula alors. Quelques minutes plus tard, Harmfield arrêta Diane, d'un coup sec, qui la plaqua sur le lit. Il se leva sans dire un mot et alla directement à la douche.

Une fois sentie l'eau sur son corps, des flashs reprirent. Sa peau, la peau de cette femme, il ne pouvait s'en défaire. Son corps , son âme en réclamer d'avantage. Pourtant, c'était totalement improbable, mais le doute persisté. Son sexe le lui faisait aussi comprendre. L'eau qui ruisselait dessus était comme une caresse, que même Diane ne lui offrait que peu.

Il sentit alors la main de Diane sur son sexe bandant.

- SORS ! lui ordonna-t-il.

Diane continua sans entendre l'ordre, le masturbant.

- ARRÊTE ! Arrête ça de suite. Prépare-toi, lui dit-il.

- Je ne te comprends pas. Tu en veux et je peux te combler...je vois, dit-elle en sortant, j'en appelle une ?

Diane ne pouvait pas le combler, et lorsque ces rares fois arrivées, cela signifiait que Harmfield était en manquer de sang. Diane pensait que sa force décroissait, alors elle appelait quelques filles pour le soulager. Il pouvait absorber des litres de sang en quelques minutes, et Diane n'en possédait pas autant, vu que c'est Harmfield qui la nourrissait lors de leurs ébats sanguinaires.

Un Lourd Héritage.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant