L.H-Chapitre 22, Cadeau.

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Louise après le départ d' Harmfield, monta dans la petite chambre où elle avait déjà passé une nuit. Elle s'y sentait bien. Elle attendait alors un bruit de moteur, elle sortit de la pièce, et vit la voiture d'où sorti Harmfield.

Vu sa taille cela ne pouvait que lui, même sous la pleine lune, Louise le reconnaissait. Il entra se dirigeant sans attendre au loft.

Il y arriva, sans y faire attention, tout était dans le noir. Harmfield s'assit alors dans le canapé. Louise rentra dans sa pièce, reprenant sa lecture sur la médecine. Elle remarqua une ancienne gravure qui ressemblait sans nul doute à la chevalière de son père.

– Archevêque Pilar VIGNO ? C'est pas possible !

Sans plus attendre, Louise prit le livre avec elle, et alla au loft. Elle frappa à la porte.

– Entre ! Dit Harmfield.

Louise ouvrit la porte doucement. Le noir était absolument

– Harmfield, vous êtes là ? Y fais vraiment noir, ici, dit Louise s'avança doucement.

En une fraction section le loft s'illumina. Harmfield se tint alors à la porte, la regardant.

– Harmfield , vous avez quelque chose là, dit Louise en lui montrant le coin de la bouche.

Harmfield alla directement à levier retirer les quelques gouttes de sang qui restaient au niveau de sa bouche.

– J'ai trouvé quelque chose d'intéressant, enfin c'est ce que je pense, dit Louise s'asseyant dans le canapé.

Le livre était sur ces genoux, Louise le scrutait avec attention. Harmfield s'avança alors vers elle, la regardant. Il réfléchit alors, comment lui faire comprendre ce qu'il ressent.

« Je ne dois pas l'effrayer, mais comment je peux lui faire comprendre. Mon apparence, mon corps. Comment le lui donner? Se demandait Harmfield »

– Quel cadeau devrais-je te faire pour ton mariage ? sortit-il d'un coup.

Louise leva mes yeux, surprise.

– Quel cadeau ? Je ne ... veux pas y penser.

C'est alors qu'il vit une opportunité. Offrir son corps, sans rien demander en retour. Juste qu'il retire ces défenses. Sans attendre, il prit le livre.

– Harm, que faites-vous ? Harm le livre. S'il vous plaît! dit Louise. C'est important.

Harmfield leva le bras tenant le livre, Louise se mit à sauter pour le récupérer, tirant en même temps sur sa veste. Harmfield sourit à cette scène.

–Vous , vous ? Ici on se tutoie ! Tu es chez moi.

– Très bien. Harm, s'il te plaît, rends-moi le livre. On doit en savoir plus. Harm ...field ! Je sais que je suis ennuyante, mais s'il te plaît, je veux savoir.

– C'est parfait, dit Harmfield toujours le bras lever. Je te le rends et t'écouterais avec patience à la seule condition, que tu me retires ma chemise.

– Je te demande pardon ? Tu me demandes de t'enlever ta chemise, pour récupérer mon livre.

– Tout à fais. Tu dois juste me la retirer. C'est aussi simple que cela.

– Je vois, dit Louise en rougissant. Tu m'écouteras ensuite ?

– Je te le promets, je ne broncherais pas, tout aura toute mon attention, sans faillir.

– J'accepte dans ce cas.

Harmfield s'assit alors dans le canapé, mettant ses bras le long de dossier du canapé, tenant toujours le livre dans sa main gauche.

Un Lourd Héritage.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant