Mon réveil sonne, il est trois heures du matin, pas étonnant lorsqu'on travaille pour le plus riche des hommes de cette ville. Un homme d'affaires, marchandant avec les banques des autres pays du monde afin de gagner plus d'argent. Moi je suis chargé de planifier ses rendez-vous, d'assister aux réunions et plein d'autres choses ennuyantes mais qui me plaisent. Je mène une belle vie, j'ai tout ce dont j'ai besoin, une belle maison, un métier bien payé et une carrière en or. J'ai également Émilie, celle qui partage ma vie depuis maintenant cinq ans. Je sais que je suis jeune, mais j'ai travaillé dur pour avoir tout ça et maintenant je suis comme un roi. Je me lève et vais dans la salle de bain. Je m'asperge la figure avec de l'eau froide pour avoir une belle mine, me rase un peu pour être présentable et mets mon eau de toilette que ma petite femme m'a offert pour mon anniversaire. J'enfile ensuite mon costume de travail accroché sur un cintre et plié. Pantalon noir, chemise blanche, costard noir, cravate noire, mocassins noirs. Tout devait toujours être à la perfection. De toute façon je suis de nature perfectionniste, je n'aime pas lorsque ce n'est pas planifier et je déteste les plans de dernières minutes surtout s'ils ne m'arrangent pas. Je prends ensuite ma sacoche, où se trouvent tous les documents ainsi que les contrats, et dis au revoir à Émilie.
-À toute à l'heure, dis-je à Émilie en lui donnant un baiser sur le front.
-D'accord mon homme, reviens-moi vite.
-Je te le promets.
Puis je me dirige en direction de mon bureau. Arrivé devant les grandes grilles en fer grises, je sonne, me présente et tape le code avant que ces dernières ne s'ouvrent. Je rentre ensuite dans l'enceinte de l'immeuble et parcours les nombreux couloirs avant d'arriver enfin devant ma porte de bureau et de m'y installer. Il était assez spacieux, sur le sol était posé du carrelage blanc et noir et les murs étaient blancs. C'était éblouissant mais j'étais l'endroit le moins éclairé par la lumière extérieur, c'est ce qui lui donnait son petit côté chic. Je m'assois sur mon fauteuil en cuir noir et sors tous les dossiers pour les classer sur mon bureau en marbre blanc. Je finissais ma journée à midi, mais ça a été une matinée plutôt mouvementée. La secrétaire est venue me voir plus d'une dizaine de fois, me demandant de programmer des rendez-vous avec la quasi totalité des représentants des plus grandes banques de chaque pays, des réunions et je devais déjeuner avec le patron à dix-heures. Nous sommes allés dans un café en face de la rue et nous avons pris un café long afin d'assurer les dernières heures de la matinée. Nous avions parler du taux de la croissance économique, qui augmentait de jours en jours. Nous avons également regarder et modifier certains contrats pour en faire des nouveaux le plus vite possible et midi s'est pointé. Je suis rentré paisiblement à la maison, où Émilie m'attendait. Une bonne odeur s'échappait de la cuisine. Je vais donc voir et vois qu'Émilie était encore aux fourneaux.
-Je suis rentré, lui dis-je.
-Je suis en train de préparer le repas comme tu peux le voir.
-Et ça sent agréablement bon, que prépares-tu ?
-Des spaghettis à la bolognaise, ton plat préféré.
Après même pas cinq minutes, tout était prêt. Nous prenons place dans la salle à manger et mangeons tranquillement notre délicieux repas. Je fixe alors Émilie en train d'avaler ses dernières bouchées, et à peine a-t-elle fini, que je la porte tout en l'embrassant avant d'aller dans la chambre et de l'allonger sur le lit.
-Mathieu ?
-S'il te plaît mon cœur, j'ai tellement envie de toi.
Je remonte alors sa robe moulante au niveau de sa taille et baisse son string en dentelles blanches. Je lui masse son petit minou et après l'avoir bien faite mouiller, je rentre en elle. Rien que le fait de la voir comme ça me fait durcir. Je débute alors mes mouvements de bassin, allant de plus en plus loin en elle.
-Math...oh oui Math...
-Jouis mon nom bébé, je veux te l'entendre dire jusqu'à ce que je me finisse en toi.
-Math...
Puis le moment de l'extase est arrivé et je lâche tout. Je savais qu'elle n'aimait pas qu'on le fasse avant qu'elle aille travailler car elle se sentait gênée, mais ça m'est égal. J'adore voir ses joues rosées par le plaisir que je lui avais procuré. L'entendre crier mon nom, encore et encore. Nous avons tout de même continuer de jouer, mais de manière succincte, nous nous caressions mutuellement en s'embrassant. Il était deux heures de l'après-midi et Émilie rembauchait. Je lui dis au revoir et avant qu'elle ne parte, je la colle dos à moi et contre moi, avec mon engin encore un peu dur et lui dis en lui massant un sein :
-Ce soir je te fais ta fête bébé.
Elle rougit, me sourit et s'en va travailler pendant que moi, je pars faire une sieste.
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Affaires Littéraires
RomanceRose, jeune étudiante de vingt-quatre ans, est à l'université pour faire des études de lettres. Son père est l'homme le plus riche de la ville et est un des plus grands homme d'affaires du monde. Elle vit avec son petit-ami depuis trois ans et mène...