XXII.Rose

12.2K 544 19
                                    

Plus nous roulions, plus je voyais que nous ne retournions pas en ville. Au bout d'un quart d'heure, nous nous sommes retrouvés devant une immense villa. Lorsque Mathieu ouvre la porte, je reste bouche bée. C'est immense, on dirait la maison de mon père. Je ne sais plus où donner de la tête, chaque choses étaient belles à regarde, chaque vases, chaque meubles, chaque petits détails étaient en harmonie avec le reste.

-Le perfectionniste est passé par là, dis-je en rigolant.

-C'est vrai que j'y ai beaucoup mis du mien.

-Où est-ce que je peux poser mes affaires ?

-Viens j'ai quelque chose à te montrer avant.

Il m'emmène dans les différents couloirs puis il s'arrête devant une porte. Il l'ouvre et là aucuns mots ne pouvaient qualifier ce que je voyais. Une immense bibliothèque avec des étagères allant du sol au plafond.

-J'ai aussi un petit faible pour la littérature.

Sans réfléchir, je le regarde et je le serre fort dans mes bras. Lorsque je le regarde à nouveau, il se penche petit à petit vers moi tandis que moi je me rapprochais également. Puis nos lèvres finissent par se rencontrer. Ses lèvres sont très douces, comme le baiser, et elles ont un léger goût sucré. Au fur et à mesure que le baiser continuait, la sensation dans mon bas-ventre augmentait. J'avais envie de lui, de son corps, de sa peau contre la mienne. Je lui tends alors ma langue qui zigzague avec la sienne puis il pose ses mains sur ma taille, m'attirant plus fort contre lui. Je pouvais déjà sentir la bosse proéminente au niveau de son entre-jambe, ce qui m'excite. Il pose ensuite ses mains sur mes fesses et me soulève pour ensuite m'amener dans une chambre. Je ne savais si c'était la sienne ou non car la maison en comptait beaucoup. Alors que je suis toujours dans les bras de Mathieu en train de l'embrasser, il ferme la porte et me colle contre le mur. Il passe délicatement sa main sous mon chemisier puis défait un à un les boutons. Heureusement que j'avais sorti de la belle lingerie. Je lui enlève également son polo et admire son torse musclé. Alors que je m'étais perdue dans tant de beauté, Mathieu en profite pour me retirer mon soutien-gorge en dentelle noir. Je le vois surpris en voyant la taille de mes seins.

-Ils ne sont pas si petits que ça. Je fais quand même du 95C

-Ils sont magnifiques.

Il empoigne alors les deux avec ses mains et m'embrasse en même temps. Lorsqu'il passe ses pouces au niveau de mes tétons, je ne peux m'empêcher de gémir car je suis très sensible.

-Mademoiselle est sensible ? C'est bon à savoir.

Il continue alors en allant plus vite. Je n'en pouvais plus, j'allais exploser. Je n'avais jamais ressentie une aussi grosse vague de plaisir. J'étais submergée. Tout en continuant de jouer avec mes seins, il pose sa tête sur mon épaule et me fait des bisous mouillés dans la nuque en me murmurant au passage des choses à l'oreille.

-Rose, tu m'excites tellement, j'ai envie de toi, dis moi que toi aussi.

-J'ai envie de toi Mathieu.

-Regarde-toi, à moitié nue, les seins dans mes mains, contre le mur, toute haletante.

Sa voix, son souffle contre mon oreille, tout ça me faisait perdre la raison, maintenant ce n'est plus moi qui parlais mais mon corps, appelant le sien dans un doux murmure de plaisir. Bizarrement, la température de la pièce augmentait au fur et à mesure que les secondes défilaient. L'envie de l'avoir à l'intérieur de moi grandissait également fortement. Je prends alors les devants et je fais descendre mes mains le long de son torse jusqu'à arriver à la ceinture de son jean. Je la défais lentement avant de déboutonner son pantalon et de descendre sensuellement la fermeture éclair. Mais avant d'avoir pu faire quoi que ce soit, Mathieu me prend fermement par la taille et m'emmène assez violemment sur le lit. Il passe ensuite sa main dans mon cou en laissant derrière elle, des baisers légèrement mouillés. Il s'arrête ensuite un court instant et aspire ma peau pour y laisser sûrement un suçon. Il caresse ensuite mon ventre, mes hanches, mes seins pour ensuite descendre jusqu'à la lanière de ma mini-jupe noire.

-Rose ?

-Oui, dis-je dans un souffle ?

-Est-ce que je peux voir se qui se cache sous cette magnifique jupe ?

-Oui vas-y, mais avant j'aimerais moi aussi t'offrir quelque chose.

-Oui, quoi ma Rose ?

Je me mets alors à califourchon sur lui et fais quelques va et vient sur son entre-jambe à l'aide de mon bassin. J'empoigne alors son jean et son caleçon et descends les deux d'un coup. Lorsque j'aperçois sa verge, je n'ai pu m'empêcher d'ouvrir grand la bouche.

-Que se passe-t-il ma belle ?

-Elle est...c'est un monstre !

-Tu as peur ?

En réalité, oui un peu, car je ne possède pas un vagin très large alors ça risque de coincer un peu, mais ça devrait le faire.

-Non, c'est juste que je dois t'avouer que je suis assez serrée.

-Oh ! Si ce n'est que ça, nous y arriverons bien.

Sur cette dernière phrase nous entamons ensuite une vraie partie de plaisir

Affaires LittérairesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant