Affaires Littéraires

II.Rose

Mon réveil sonne, il est midi, pas étonnant lorsqu'en début d'année on débute les cours à deux heures de l'après-midi. Je fais des études de lettres car j'adore la littérature, classique ou moderne, baroque ou antique. Je passerais mes journées à lire si je le pouvais. Mais bon, il y a les études. Je n'ai pas beaucoup travaillé pour arriver dans la plus prestigieuse université de la ville. Mon père est l'homme le plus riche de la ville et j'ai donc eu tout ce que je voulais, de belles études, une belle maison, un avenir en or et j'ai également Jules, qui partage ma vie depuis trois ans. Je me lève et prends mes vêtements qui étaient dans la penderie. Escarpins noirs, jupe moulante noire, chemise blanche et blazer noir. Tout devait être parfait. Je vais ensuite dans la salle de bain et me coiffe d'un chignon. Je mets un peu de maquillage, mascara, léger trait de liner et gloss, et prends mon sac où sont entreposés mes cours de l'après-midi avant de dire au revoir à Jules.

-À ce soir, lui dis-je en l'embrassant.

-Reviens-moi vite s'il te plaît.

-Je te le promets.

Je pars alors en direction de l'université. Je n'ai pas beaucoup d'amis, je parle à quelque personne mais je ne les considère pas comme des amis, je suis plus du genre solitaire. Je vais devant la salle de cours et attends. J'avais cours de littérature et je dois dire que le professeur et la matière, sont tous les deux intéressants. Le cours passe, comme d'habitude, à une vitesse folle et j'enchaîne sur anglais et français pour finir à six heures. Nous n'avons pas beaucoup de travail à faire pour le lendemain alors c'est avec la tête légère que je rentre à la maison. Lorsque je rentre, Jules venait tout juste de rentrer du travail également. Je le prends dans mes bras et l'embrasse, puis vais dans la cuisine pour préparer le repas.

-Que fais-tu de bon ce soir ma chérie ?

-Des pâtes à la carbonara, ton plat préféré.

-Tu es un ange.

Je me mets alors à l'œuvre et en vingt minutes tout était prêt. Nous mangeons notre repas en tête-à-tête sur la table de la cuisine puis, une fois tout ça terminé, nous allons sur le canapé regarder un film. Un film d'amour qui a éveillait un nous la flamme de désir qui s'était éteinte. Nous nous regardons alors avec un regard rempli de sous-entendu et commençons à nous caresser mutuellement pour faire grandir progressivement le plaisir. Lorsque le film se termine enfin, nous allons en quatrième vitesse dans la chambre et nous nous déshabillons aussi que nous le pouvions.

-Oh ma Rose.

-Oui Jules ?

-J'ai envie de te prendre comme jamais.

-Vas-y, ne te retiens pas, j'ai envie que tu me pénètres jusqu'à ce que je n'en puisse plus.

-Laisse-moi faire alors.

Il m'allonge alors sur le grand lit deux places qui trônait dans la chambre et colle son membre durcit contre mon sexe mouillé. Il me bouffe le cou, les seins, le ventre et mon intimité. Il s'arrête et je sens qu'il caresse mon clitoris avec son gland et s'introduit dans mon vagin.

-Oh...c'est tellement bon...

-C'est toi qui est bonne ma Rose.

Il commence à bouger et ses mouvements divins me faisaient de plus en plus de bien.

-Jules...Jules...

-Oh...ma Rose...

Nos gémissement devenaient presque des plaintes car nous étions proches de l'orgasme. Je n'en pouvais plus, il ne plaisantait pas quand il disait qu'il fallait que je le laisse faire. Enfin, cet instant de plaisir se montre et nous atteignons l'orgasme en même temps.

-Oh mon ange, tu ne m'avais pas menti, ça a été un réel plaisir.

-De rien ma chérie.

Nous nous embrassons et attendons quelques minutes, le temps de reprendre nos esprits. Nous décidons ensuite de prendre une douche, non sans coquineries, et retournons au lit. Nous nous câlinons et nous nous embrassons, nous nous racontons notre journée et parlons de ce que nous ferions pendant nos prochaines vacances et nous nous étions mis d'accord de partir à l'étranger car Jules travaillait dans une agence de voyage et qu'il pourrait s'arranger pour recevoir des réductions sur certaines destinations. La fatigue à ensuite prit le dessus et nous nous sommes endormis enlacés.