4:Recherches.

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Je respire fort,j'ai les poings serrés,mais finalement,c'est moi qui ai voulu jouer.Tout retombe sur moi,ce sont mes règles,mes nouvelles règles.Il n'a pas le droit de débarquer et de les changer,ça ne doit être un jeu que pour moi.
Après tout,je vais jouer avec lui,mais je vais gagner.Parce que je gagne toujours,parce que c'est mon jeu,mes règles et parce que c'est ma forêt.Et je vais me faire le plus grand des plaisirs en le tuant de mes propres mains et voir ses magnifiques yeux bleus me regarder,me supplier avec haine et peur.
"Attrape-moi" résonne dans ma tête,je cours à vive allure,il n'est que neuf heures du matin.J'observe chaque recoin de la forêt en chassant les feuilles qui cachent ma vue et en cherchant l'homme.
Ça doit faire une heure que je cours,sans retrouver l'homme.Aucun bruit,personne n'est dans la forêt.Et si l'homme m'avait dénoncer ? Je m'en moque après tout,qu'ils me trouvent et qu'ils me tuent,ça ne changera rien.
Je retourne au point de départ,l'arbre où j'avais attaché l'homme.Du sang,bordel il y a du sang,il a laissé des putains d'indices et je n'ai rien vu.Je suis ses pas,je marche lentement et examine attentivement,il y a perdu beaucoup de sang,bizarre qu'il puisse encore courir.Après quelques minutes,je relève la tête et me retrouve devant ma demeure,il est à l'intérieur,l'homme est chez moi depuis le début.Sans réfléchir et rapidement j'entre et hurle à m'en déchirer les cordes vocales,je me calme petit à petit et rigole.Je pars seul dans un fou rire.

Hey,où es-tu ? Je ne vais pas te faire de mal tu sais,je ne suis pas fou ni sadique,aller reviens.

Et je rigole,je rigole tellement que j'en ai les larmes aux yeux,nous savons tous les deux que je veux seulement qu'il meurt,mais comme disent les règles après trois jours,il doit revenir dans la pièce et seul moi doit décider de ce que je ferais de lui,et j'ai bien envie de m'amuser.

Je connais par coeur le château,pourquoi te cacher mon beau? Aller montre toi,je commence à m'ennuyer.

Je franchis la salle de bain, il est là,dans la baignoire et gémis à cause de l'eau froide,je suppose,qui dégouline sur ses plaies.Il ne m'avait pas entendu,alors il sursaute quand j'entre en furie dans la pièce,se lève de la baignoire et éteins l'eau.

Je t'ai attrapé. Rigolais-je plus fort.

Il se place devant moi et se met à genoux.

-Je vous en supplie ne me faite pas de mal,c'était seulement pour entrer dans votre jeu,je ne veux pas mourir,laissez moi partir et je ne dirais rien à personne,s'il vous plaît.

-Pourquoi faire ? Tu ne t'amuses pas ? Tu ne veux plus jouer ? Montre tes mains ...

-Louis,c'est Louis. Me coupa l'homme.

J'attrapa Louis par la gorge.

-Ne me coupe plus jamais.
-Pardonnez-moi.Dit-il les larmes aux yeux.

Il se caresse un instant le cou et me montre ses mains,ses ongles sont triturés et la peau de ses doigts a des écorchures.

-L'homme savait que tu étais partit.
-Oui.
-Et tu ne l'as pas pris ? C'est très dommage.

J'éclata de rire devant son regard innocent.

-Tu viens de tuer quelqu'un,tu deviens comme moi.
-Non,non,c'est vous qui l'avez tuer.
-À cause de toi,ne l'oublie jamais.

Tous les gens normaux regrettent d'avoir tuer quelqu'un,moi j'aime ça,vous me mettez dans la catégorie anormal ? Il regrettera jusqu'à la fin de ses jours.
Je me releva et l'attrapa violemment par le bras.J'ai une seconde pièce réservée pour les hommes que j'attrape mais un peu plus...sensuel.

J'ouvra la porte de celle-ci en jetant l'homme sur le lit et referma la porte à clé.

À nous deux. Rigolais-je. Premièrement,ne jouis surtout pas,sinon je te ferais beaucoup plus pire.Deuxièmement,interdiction de te toucher,et pour cela tu seras attaché.Pour finir,tu peux crier autant que tu veux,personne n'entendra.

J'avança vers le premier tiroir et sortir un bandeau noir en soie ainsi que des menottes.Je m'approcha de lui et il se laissa faire en me passant ses poignets,c'est beaucoup trop facile.Je sortit ma lame habituelle et lui fit de train de coupure sur ses anciennes ouvertures.

Tu ne pourras pas bouger sinon le métal s'enfoncera dans tes plaies.Souriais-je.

Il serra les dents mais je pense qu'il s'habitue.Je lui ordonna de s'allonger et il s'exécuta.Je retira son tee-shirt et le lança sur le sol.Je pris soin d'attacher ses deux poignets sur les barreaux du lit.
Je me plaça sur lui et attache le bandeau en soie autour de ses yeux baignés de larmes.J'en attrapa une avec mon pouce et l'approcha de mes lèvres.

Très bon goût. Pouffais-je.

Il était torse nu devant moi et attaché.J'attrapa son jean de mes mains et le descendit lentement le long de ses petites jambes.Il ne bougeait pas,tant mieux.Il glousse un peu à cause de ses poignets et de ses larmes récentes.
Je me leva du lit et ouvrit le deuxième tiroir pour en sortir un fouet.Il ne sentait rien,n'entendait rien,ne bougeait pas et ne faisait pas de bruit,il me rend fou bordel.
Je me mis rapidement à califourchon sur lui et caressa lentement sa peau avec le fouet,il gloussait seulement,je le frappa une première fois et il se cambra en hurlant de douleur,parfait.Je reproduis mes gestes plusieurs fois et m'arrêta au bout de quelques minutes.

Aller Louis,je sais que tu en as envie.Riais-je.

Il secoua la tête de gauche à droite mais ne dit rien.Je déposa un premier baiser sur son front et continua mon chemin sur ses tempes,ses joues creuses,son menton,son coup que je mordis un peu en laissant un suçon et continua de déposer quelques baisers à chaque endroit de son corps.J'attrapa son sexe à travers son caleçon et une bosse se forma rapidement.

Déjà ? Je ne savais pas que je te faisais autant d'effet. Souriais-je.
Connard. Souffla-t-il.

Je descendis très lentement son caleçon et son sexe grossit à vue d'œil.Je pris sa verge en mains et commença de longs et lents vas-et-viens sur celle-ci.Louis se cambra et je lui ordonna de ne pas bouger.

-Je sais que ça te fait plaisir.

Il gémit.

-Chut,je sais que tu aimes Louis,aller.

Il serra les dents et secoua la tête.Je mis son sexe dans ma bouche et commença à le sucer,lentement.Louis se cambra et hurla de douleur en sentant les menottes se serrées autour de ses plaies.Je continuais mes lents et douloureux vas-et-viens autour de son sexe.

Ne viens pas Louis,sinon je te punirais. Soufflais-je.

Louis hurlait des insultes,je sais qu'il aime ça.Il se cambre à tous mes coups de langues et enfonce sa verge dans ma bouche en donnant de léger coup de hanches.

Ne bouge pas,c'est moi qui décide. Ordonnais-je à Louis.

Je titilla son gland lentement et Louis gémit,pendant plusieurs minutes et hurla en se déversant dans ma bouche.

Je t'avais dit quoi Louis ? Tu vas regretter,je te le promets. Soufflais-je en lâchant son sexe.

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