PDV DEREK.
Je suis parti au loft, le temps que Stiles se rendorme calmement. J'avais replacé le livre sous son lit. Peter était encore au loft, en réalité, je le soupçonnais de vouloir élire domicile au loft. Quand j'entre dans la pièce, il fronce légèrement son nez, comme si une odeur désagréable était présente. Je hume donc l'air nous entourant, mais je ne sentis rien d'inhabituel. Peter me regarde, avec ce sourire, ce sourire qui en disait long. Qui voulait dire qu'il savait quelque chose. Ses yeux brillaient d'une lueur taquine, pressaient de commencer à jouer. Je ne sais pas se qu'il manigance encore.
Peter : tu as l'odeur du pauvre garçon qui a si peur de vous, sur toi.
Je grogne, signalant que je ne voulais pas en parler, et surtout pas à lui.
Peter : je devrais peut être demander à Stiles, lui qui me fait si confiance.
Mon loup poussa un grognement, rocques, profond. Peter rigola, avant de bien se réinstaller sur le canapé, et de se concentrer sur la télévision. Je monte à l'étage, décidant d'y rester. Je partirais le moment venu. Je me demande ce que Stiles à pu écrire dans ce journal. Depuis quand l'avait-il ? Il était à présent 3h00 du matin, et je décidais de partir. Peter dormait dans le canapé, la télévision toujours allumé et un bol de pop-corn au sol. Je passe la grande Porte principal du loft, et me dirige en courant vers la maison de Stiles. Je passe par la fenêtre, qui était entre-ouverte. Ce garçon n'avait pas l'instinct de survie. Je ne lui donne pas plus d'une heure dans la forêt de Beacon Hills, un soir de pleine lune. Je me faufile tant bien que de mal dans la pièce. Stiles dort profondément, la bouche entrouverte. Il bouge légèrement et marmonne des choses qui n'ont aucun sens, ou du moins, pour des personnes sensées. Je m'approchais lentement du lit, et m'y agenouilla pour attraper le livre à la couverture de cuir. Le cuir était assez usé et bon marché. Sur le livre, un croissant de lune était présent. Il était de couleur Or. Je l'ouvris avec précaution. Je ne m'attarda pas sur la première page, l'ayant déjà lu plus tôt. Sur la deuxième page, d'une écriture tremblante, presque illisible, y était marqué la raison de la présence de ce livre.
"Elle m'a dit que écrire était la meilleurs des choses, que ça me permettrait d'aller mieux, mais elle est partie, pour de bon. Papa n'était pas là, avec moi, quand elle est.. Morte. Elle m'avait ces jours là, donné ce carnet. C'est l'une des seules choses que j'ai d'elle. Que j'ai de ma mère. Elle m'a dit qu'il était important, mais je ne sais pas pourquoi, je présume qu'elle parlait d'une importance sentimentale. Ces jours-là, où maman nous avait quitté, papa était en colère, me répétant que c'était de ma faute. Au début, je n'y croyais pas, comment cela pourrait être de ma faute ? Je n'ai rien fait. Mais je me suis fait à l'idée. Je ne veux pas que ce carnet soit rempli de tristesse, parce que maman m'a apporté du bonheur, alors je veux que ce carnet soit un carnet avec des pensées heureuse. J'ai juste envie de tourner la page, littéralement. Peut être que d'écrire tout ça, va me le permettre. Je l'espère sincèrement du moins.
J'ai fermé le carnet. Ce n'était pas bien de lire ceci. Après tout c'est sa vie privée. Ce livre ressemble à un journal intime. Peut-être a-t-il écrit quelque chose sur moi, sur la meute. Sur Peter. Je l'ouvris alors une nouvelle fois. Les dernières pages parlait bien de nous ou du moins je pense. Car sur le haut des pages était écrit, d'une écriture lisible, aérée " arrivée à Beacon Hills " . Je sais que je ne devrais pas, mais c'est plus fort que moi, puis ça nous concerne d'une certaine façon. Je commence donc ma lecture. Il y était écrit : ...
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BAD DREAM //Sterek //
FanfictionDepuis son arrivé à Beacon Hills, plus rien n'allait. Stiles faisait cauchemars sur cauchemars. Et chacun d'eux se ressemblaient et pour cause ils tournaient tous autour de la meute de Beacon Hills. Une meute composée d'adolescents, et d'un Alpha pa...