Chapitre 22

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Rosalie s'empourpra jusqu'à la racine de ses cheveux, et il semblait s'en amuser. Détournant le regard, Rosalie senti la voiture s'arrêter dans l'immense allée, sans plus attendre elle était sorti du véhicule pour mettre de la distance entre eux, elle était peut être là pour sa mère mais elle se refusait à empiéter sur la vie de cet homme, sûrement déjà bien remplie d'obligation et surtout à quelques semaines de commencer une nouvelle vie où sa place demeurait nulle part.

Contournant la voiture pour le suivre, Rosalie se laisse se faire envelopper par le charme envoûtant des lieux, accueilli chaleureusement, elle se laissa diriger vers les couloirs adjacent à une énorme salle d'un profond et creux plafond à la dorure spectaculaire.

- c'est vraiment très jolie ! S'écria-t-elle alors que sa voix avait raisonné.

- ravis que cela vous plaise.

Si la villa de new York était vaste et masculine, ce château était fort impérieux.

Tournant sur elle-même, Rosalie en oublia presque la présence du souverain avant de l'entendre se racler la gorge au loin.

- où allez-vous comme ça ?

Rosalie s'arrêta pour pivoter lentement sur elle-même, pour le voir dressé devant une porte et Rosalie s'empourpra de plus belle, emportait par la magie des lieux, elle avait continué son chemin seule alors que cette traversé était visiblement finit.

Revenant vers elle d'une démarche timide elle l'avait rejoint honteuse.

- pardonner moi j'ai été prise dans mon élan.

- je vois ça.

Ouvrant les deux imposante porte il s'effaça pour l'inviter à rentrer. Hésitante elle rentra à reculons.

- j'espère que cette suite vous plaira. Dit-il dans un murmure.

Rosalie n'avait pas eu le temps d'étudier la pièce longuement, qu'elle se sentait déjà affreusement gêné.

- c'est beaucoup trop et....

- vous n'êtes pas en mesure de protester Rosalie. Coupa-t-il quand un personnel des lieux était rentré sa valise à la main pour la déposer au niveau de son lit.

Et après une inclination de la tête l'homme était parti. Il n'avait guère prêté attention à celui-ci, en continuant de la fixer avec une expression de contrariété.

- il n'y pas plus petit mademoiselle Landrio. Reprit-il une fois la porte refermé.

Jetant un coup d'œil au lit baldaquin, Rosalie préféra réponde avec ironie.

- il y a plus grand alors ?

Sa question le fit sourire.

- en effet. Affirma-t-il en s'approchant dangereusement. Mes appartements son plus grand.

Anxieuse Rosalie recula davantage.

- ça me paraît logique. Parvient-elle à dire.

Envahi par le flot de souvenir de leur baiser échangé, Rosalie se déplaça sur sa droite pour rejoindre le grand lit.

- une véritable œuvre d'art ! Commenta-t-elle en testant le matelas.

Dakhir prit cette remarque en la renvoyant à la jeune femme assise sur le couvre lit, il ne parvenait pas à bouger trop occupé à s'attardait sur Rosalie déstabilisée et trop gêné pour commenter les lieux offert à ses soins.

Ce qui ne faisait que renforcer sa conclusion, qu'elle n'était pas comme les autres femmes. Elle était tendu presque interdite de tout mouvement, assez pour s'obligeait lui-même à sortir de la cette suite à contre cœur.

- je vais vous laissez vous mettre à l'aise j'ai des choses à faire. Annonça Dakhir tout en marchant vers la sortie.

N'avait il pas déjà gagné beaucoup d'avoir réussi à l'amener ici chez lui ? 

La vengeance du souverainOù les histoires vivent. Découvrez maintenant