Chapitre 31

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- La voilà enfin ! Déclara Amel impatiente.

Rosalie pénétra dans la pièce d'un pas hésitant. Dakhir se trouvait au fond le salle en étudiant des papiers.

- bonjour madame.

La tante c'était saisi de ses mains chaleureusement.

- pardonner moi pour l'autre jour mademoiselle je....

- oh non ne vous excusez pas vous ne pouviez pas savoir. S'empressa de dire Rosalie.

- j'ai crû comprendre que votre mère allait mieux ?

- oui elle se sent agréablement bien j'espère que ça guérison ne tardera pas trop longtemps je ne veux pas abuser de la bonté de votre neveux.

- ça c'est moi qui en décidera. Lança-t-il au fond de la salle implacablement.

Tournant sa tête vers lui, la force de son regard ne lui permettait pas de rétorquer.

Il se rapprocha d'elle, pour entourer son bras autour d'elle pour ramener le profil de son corps contre le siens.

- Rosalie à tendance à exagérer les choses, il faut sans cesse que je la reprenne pour soumettre mes pensées afin qu'elle ne les déforme pas.

Dakhir déblatéra son discours de façon à lui faire comprendre le déroulement de ses prochains jours.

La sensation de sa peau laiteuse sur ses lèvres était omniprésent et presque marqué au fer, l'idée même qu'elle s'éloigne lui devenait insupportable.

Passant une bonne partie de la soirée avec sa tante, Dakhir ne perdait pas une miette de la conversation qui c'était peu à peu entre les deux femmes.

Bien évidemment sa tante n'avait pas manqué de la questionner, Dakhir avait appris rien de plus de ce qu'il savait déjà, elle était simple et ne s'accordait aucun temps pour elle. 

Rosalie manquait de confiance en elle, il pouvait le sentir, elle ne semblait pas se rendre compte du désir et le charme qu'elle reflétait, une beauté qui le tuer chaque jour petit à petit, ses cheveux roux c'étaient mis à flotter face au vent une fois dehors, un vent dangereux qui avait obligé sa tante à écourté sa présence pour rentrer au plus vite.

- rentrons. Ordonna-t-il en l'emportant avec lui au plus vite.

- que ce passe-t-il ?

- une tempête de sable se lève.

Dakhir avait senti son corps se raidir, instinctivement il l'avait serré étroitement contre lui.

- rassure toi tu ne crains rien.

- et ma mère ? S'affola-t-elle en marchant maladroitement.

- aucune chance qu'elle n'arrive jusqu'à elle n'ai pas peur. Assura Dakhir en condamnant l'entrée à l'aide de ses gardes.

Dakhir s'empressa de retourner près d'elle.

- Tu vas dormir avec moi ce soir ainsi tu n'aura rien à crainte.

Dakhir se risquait à un refus mais contre tout attente elle avait acquiescé.

Rosalie tortillait ses mains en la regardant chaque recoin du château se condamner les un après les autres.

Une fois dans sa chambre, elle avait enfilé une robe de nuit pour le rejoindre dans sa chambre, Rosalie n'avait eu ni la force ni l'envie de refuser quand le souffle violent du vent c'était frayé un passage entre les épais volets.

Dakhir l'avait escorté en homme galant dans ses appartements et une fois à l'intérieur, Rosalie en avait eu le souffle coupé, majestueux et très égal à l'homme, Rosalie s'était laissée porter par le charme incroyable. 

La vengeance du souverainOù les histoires vivent. Découvrez maintenant