Se saisissant de sa main, il l'avait aidé à monter les marches pour rejoindre le lit soyeux, pénétrant à l'intérieur, il avait ramené les draps sur elle et Rosalie en appréciait chaque moment.
Il s'éclipsa un moment avant de revenir torse nu, la première vision de son torse nu fut violente, Rosalie se sentait rougir de la tête au pied ses muscles c'étaient gonflés sans efforts en les contractant légèrement pour se glisser dans le lit. Son petit corps s'affaissa au fur et à mesure qu'il se rapprocher pour agripper sa taille. Laissant un cri craintif s'échapper de ses lèvres, sans mal son corps se retrouva lové contre le siens. Les lèvres entre ouverte, elle retrouvait peu à peu son calme en se laissant compétent transporté par la douceur de l'étreinte.
- ça ne devrait pas durer toute la nuit. Annonça-t-il gravement.
- tu dois avoir l'habitude non ?
La tête de la jeune femme c'était surélevé au rythme de son rire.
- oui, en effet j'en ai connu des pires que ça.
Rosalie ne put réprimer l'envie de relever la tête pour le regarder.
- c'est vrai ?
Quand ses doigts c'étaient glissés dans ses cheveux, Rosalie savait qu'il était trop tard pour s'éloigner de lui, trop tard pour chercher la force de se tenir à l'écart.
- la plus grande qu'il y eu était il y a deux ans nous somme restés bloqué moi et mes hommes dans le désert.
Rosalie frissonna avant qu'il ne reprenne.
- heureusement notre campement a tenu le coup.
Les yeux plongés dans les siens, Rosalie voyait là le bon moment pour lui faire part de ce qui la travailler depuis le début de la journée c'était inutile de lui mentir, ne l'avait-elle pas appris quelques jours auparavant.
- Dakhir il faut que je te parle de quelque chose.
D'un simple regard il l'avait invité à poursuivre.
De redressant légèrement la pression de ses mains ne lui permettait pas de se lever d'avantage.
- ce matin quand j'ai rendu visite à ma mère, elle m'a dit qu'un homme était venu la voir. Commença-t-elle la gorge noué. Il lui a dit qu'il espérait me voir bientôt hors à part toi je ne connais personne ici.
D'un simple mouvement vif elle se retrouva assise.
- et on peut savoir pourquoi tu m'en parles que maintenant ?
- je n'ai pas trouvé le bon moment il y avait ta tante et je dois avouer avoir eu peur. Protesta Rosalie en peinant à garder ses yeux dans les siens.
- il n'y a personne dans son entourage qui puisse vouloir te voir ?
- non je t'assure.
- un amant ? Hasarda l'homme en la secouant légèrement.
- mais non ! Tu me fais mal arrête ! Tu crois sincèrement que si c'était le cas je t'en parlerais ?
- tu as raison pardonne moi.
Ses gestes se fît plus doux sa main glissa sur son visage.
- j'ignore qui c'est bien pour ça que je t'en parle.
- je vais mettre ta mère sous surveillance et je vais trouver qui c'est je te le promet. Murmura-t-il en déposant ses lèvres sur son front.
Rassurée, Rosalie avait repris sa place contre lui.
Sa robe c'était relevée légèrement quand ses jambes c'étaient enfoncés dans le lit entre les siennes.
Calé contre son torse, elle se risqua à glisser un doigt sur son flanc.
Dakhir ferma les yeux en savourant la caresse hésitante de la jeune femme, assez pour oublier ce qu'elle venait de lui confier, la peur, le soulagement, l'angoisse étaient passés sur son doux visage, ses yeux de bronzes c'étaient embués de larmes au moment ou il l'avait accusé sans preuve d'avoir un quelconque amant, n'était-elle pas dans ses bras en ce moment même.
D'un geste presque possessif, il l'avait attiré à lui pour qu'elle se love contre son torse de façon à l'éteindre tout contre lui. Atteignant ses cheveux il avait enfouis sa tête dedans en respirant cette odeur agréable et sensationnel.
Se battant contre ses pulsions pour la première fois de sa vie, Dakhir avait quand même glissé une main le long de son corps pour tracer sa silhouette. Lorsqu'il avait atteint sa hanche, Dakhir ferma les yeux pour apprécier le souffle de la jeune femme contre sa peau.
Rosalie ne put réprimer le frisson d'excitation qui embrasé son corps quand la grande main de l'homme c'était logé sur sa hanche, il semblait hésité à poursuivre son exploration et elle désirait plus. Elle était maintenant consciente de la chance qu'elle avait qu'un homme aussi beau s'intéresse à elle, et maintenant elle voulait lui donner plus.
Glissant sa main jusqu'à la sienne, Rosalie cherchait à lui faire comprendre qu'il continue.
Réceptive à ses réclamations, il avait passé une main sous sa robe pour caresser sa peau nue, oubliant le son des bourrasque de vents Rosalie ferma les yeux.
- Rosalie regarde de moi.
Exécutant son ordre aussi vite que l'éclair, Rosalie se redressa pour le regarder.
Encerclant son visage, il avait déposer ses lèvres sur les siennes. Envahi par la passion elle avait réussi à se mettre sur les genoux avant qu'il ne la face basculer sur le dos.
- tu es si belle.... murmura-t-il contre sa joue.
Incapable d'attendre plus incapable d'éteindre le désir elle avait senti son sexe déjà pleinement éveillé caresser sa peau. Oubliant d'avoir peur, peur que ce moment ne se reproduise plus, Rosalie avait retiré sa nuisette et se retrouvait maintenant à demi nue en dessous de lui.
Dakhir n'avait plus la force de réfléchir face à tant de beauté.
Plusieurs fois il s'était imaginé son corps, mais la réalité combler tous ses rêves, d'un baiser ardent il pris possession de ses lèvres sans plus attendre, retirant le dernier rempart en dentelle qui l'empêchait de savourer son corps entièrement nue.
Rosalie ferma les yeux quand sa main avait remonté le long de sa cuisse pour effleurer son intimité, laissant un cri sortir de sa bouche, il avait étouffé les suivant en l'embrassant avec fougue. Malgré son manque de confiance en sois et sa timidité Rosalie ne voulait en aucun cas se monter égoïste et avait réussi à atteindre son sexe pour l'encercler, poussant un râle de plaisir il avait vivement retiré sa main comme si il était sur le point d'exploser.
Le moment enfin arrivé, il avait pris possession de son intimité avec une douceur incroyable, les yeux fermés elle avait ressenti une légère et furtif pression la raidir avant de savourer pleinement leurs deux corps en osmose. Glissant ses doigts dans ses cheveux, il avait embrassé l'un de ses seins avant de prendre un rythme plus soutenue, en cherchant à atteindre la profondeur de sa chair.
Dans une myriade de sentiments, Rosalie se laissait porter par tant de bonheur, jusqu'à l'invité à entendre plus loin son pouvoir sur elle en arquant son bassin, sans attendre Dakhir accéléra le rythme la mâchoire crispé par les violents spams de plaisir qui s'emparaient de lui, comme une caresse elle nous ses mains autour de son coup et Dakhir avait unis sa bouche à la sienne en gémissant au point culminant de leur étreinte et Dakhir se délectait du doux cri de la jeune femme.
Roulant sur le côté pour la ramener sur lui, Rosalie était encore toute frissonnante de plaisir et de passion avant de sombrer entre ses bras.
VOUS LISEZ
La vengeance du souverain
RomanceRosalie est prête à tout pour rassembler l'argent qui lui manque pour les soins de sa mère, aussi quand sa patronne lui demande de se faire passer pour sa fille devant le souverain en quête de vengeance auprès de l'héritière en question à qui il sem...