Chasse Gardée {série Traqueuses}

Chapitre 21

Coucou !
Et oui ! Je suis de retour ! Depuis le 8 juillet, j'étais un peu occupé avec des enfants de 8 à 12 ans sur un terrain pommé, sans internet et sans mon ordi du coup ! Je viens de recevoir plus de 150 notifications en me reconnectant, alors...... Ça va peut être prendre un peu de temps, mais je compte très vite me remettre à jour !
Je vais aussi vous poster tous les chapitres que j'aurais du mettre en juillet dans les quelques jours qui viennent, histoire de ne pas me faire assassiner et vous avoues de suite que pour le mois d'août, le rythme de publication devrait être beaucoup plus rapide.

Enfin, normalement. Sur ce, je vais vous laisser avec ce nouveau chapitre de Chasse Gardée !

Précédemment, Athénaïs a fait une blague vraiment pas drôle, qui lui a valu d'être enfermé avec Azazel dans son bureau. Malheureusement pour elle, ce n'est pas pour faire des bêtises, mais pour rester assise à rien faire. Ce qui l'énerve prodigieusement, et elle devient alors blessante. Après en avoir appris un peu plus sur la meute, ou plutôt Adrien, une fois libérée, elle passe alors voir Evelyne, pour lui raconter son entrevue avec les fantômes de son passé. Et fais encore une fois, une sortie fracassante ^^

Je ratai malheureusement une marche, trébuchais sur un pot de camélia et m'écroulais sur le gravier de l'entrée. Maugréant dans ma barbe, je levais alors la tête et croisais le regard d'un loup alpha très en colère, avant d'entendre la porte d'entrée claquer.

Et merde. Pourquoi toujours moi?

- Athénaïs Esia Sem Viram, je te garantis que si tu ne me fais pas venir à cet interrogatoire je te ferais brûler vive en enlevant ta peau morte peu à peu, histoire que tu rôtisses un peu plus longtemps et je t'arracherais les yeux et les couderais dans tes pieds histoire que tu vois où tu marches la prochaine fois ! Non mais regardes l'état de mes camélias à cause de toi !

- Merci de te préoccuper de mon état à ce point, grommelais-je en me relevant. Bon, monsieur grognon, on y va oui ou bien?

- Oh, parce que maintenant je peux venir avec toi? grinça l'intéressé.

- Oh mais c'est pas vrai ça. On dirait des gamins qui piquent une crise ! Faudrait grandir un peu ! Non mais qu'est ce que vous avez tous aujourd'hui ! Et qu'est ce que j'ai fait pour mériter ça ! Hein?

- Tu te conduis comme une enfant immature...

- et complètement inconsciente sans aucun instinct de survie ! Termina pour lui Evelyne.

- Bah bien sur, c'est moi l'enfant. Et bah quand papa et maman auront finis de se disputer ma garde, et me trouveront une thérapie, on pourra peut être rentrer ! Parce que je vous rappelle quand même que je suis grande ! Majeure et vaccinée même ! Alors on pourra peut être passer à autre chose ! Rugis-je en montant derrière le siège passager.

Lorsque l'alpha prit enfin la route, je soufflais de contentement. Je ne rêvais que d'une chose: un bon bain chaud pour me détendre. Mais au bout d'un moment, je me rendis compte que nous ne prenions pas le trajet pour rentrer.

- Tu nous emmènes où là? M'enquis-je.

- Pour te faire pardonner de ta soit disant blague de ce matin, tu vas m'accorder quelque chose, affirma l'alpha.

- Ah oui? Et quoi donc? M'exclamais-je en voyant passer le panneau d'Annecy.

- Un dîner.