Préjugés mal placés.

Chapitre 4 :

Crever, je saisis ma valise que papa me tend. Je n'ai pratiquement pas dormis, je ne sais même pas l'heure qu'il est, tous ce qui me remonte le moral c'est qu'il fais super beau et chaud. J'observe la vue magnifique qui s'offre à nous et souris. Ce ne sera peut-être si désagréable d'être ici.

- C'est magnifique hein ? Me dis Marion.

- C'est clair. Répondis-je.

Papa nous interpelle et nous montons tous dans un bus, cette fois-ci je n'arrive pas à chopper Marion pour qu'elle se mette à coté de moi, alors je me met à une place encore libre, lorsque châtain-blond, enfin Antoine me demande pour se mettre à coté. Sans grand enthousiasme je lui dis oui et pousse mon sac. Aucun de nous deux parle et cela deviens pesant. Mais bon, je préfère ne pas lui parler. Je ne me sens pas à l'aise et cela m'agace hautement. Bordel Julie, ce ne sont que des êtres humains, comme toi. Ah non, ils n'ont pas trop de cervelles aussi...

- Ça été la tâche hier ?

- Hein ?

Il rigole et je rougis.

- Désoler, j'étais perdu dans mes pensées. Dis-je.

- Ne t'inquiète pas, je te demandais si ça été la tâche de jus d'orange pour ta sœur.

- Ah oui oui, merci. Dis-je.

Il ne dis rien de plus et tourne la tête du coté opposé à moi. Pff...

***

Lorsque nous arrivons enfin à la bonne destination, nous descendons tous du bus et Marion accours vers moi en criant :

- Tu es sérieuse ? Tu as parler avec Grizou!

- Grizou, c'est qui ça ?

- Griezmann! Dit-elle.

- Ah, ben oui. Dis-je simplement en prenant une photo de la vue.

- Mais tu te rends compte, tu as parler au meilleur joueur! S'excite-t-elle.

J'hausse simplement les épaules et elle lève les yeux au ciel. Papa nous appelle pour entré dans le centre et lorsque nous pénétrons dans le hall de l'hôtel, mes yeux s'illumine et c'est là, que je me sens bien. C'est juste magnifique. Le hall est constitué d'un immense escaliers au milieu accompagné d'une décoration très luxueuse. Des ascenseur vitré et d'autre pas sont à la disposition de n'importe qui dans chaque recoin du hall. Tout est ornée de la couleur blanc et noir ce qui rend cela encore plus moderne.

- Alors ma chérie, ça te plais ? Demande papa en venant vers moi.

- C'est juste magnifique papa! Dis-je toute heureuse.

Je n'arrive pas à croire que je vais faire mon stage ici. Et j'ai si peur de ne pas être à la hauteur. Je reste là quelques instants à admiré ce hall lorsque l'on nous distribue nos badges de chambres. Je regarde le numéro et j'ai la numéro 345 situé au troisième étages. Je précise qu'il à six étages. Nous sommes tous au même étages, je le sais car lors de mes cours c'est expliqués, il y a des catégories pour chaque personnes. Je regarde le badge de Marion et elle à la chambre 350.

- Ça va nous ne sommes pas trop loin. Dis-je.

- Oui et imagine que Payet sois à coté de la mienne ! Dit-elle.

Je souffle exaspérée et attend qu'on nous donne la permission de monté dans nos chambres.

***