59. Déclaration

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- Non je ne suis pas jalouse enfin je ne sais pas. Je n'ai jamais été confronté à ce type de situation avant.

- Très bien parce que des fois certaines filles sont assez proche de moi et je ne voudrai pas que ça te blesse.

- Je comprends. Elise comprenait qu'avec son option mais aussi avec sa popularité qu'il puisse avoir quelques groupies.

- Je peux te dire quelque chose ? demanda-t-il.

- Oui. Elise commençait à avoir peur car il avait prit un aire grave. En réalité, je t'aime et quand tu m'as quitté je m'en suis voulu et j'ai prit conscience à quel point je t'aimais. Elise en était scotchée. Il lui avait dit d'une telle simplicité comme si ça coulait de source. Elle aussi n'avait qu'une envie : se confier à lui et lui dire toutes les choses qu'elle n'avait jamais osé lui confier.

- Moi aussi, j'en aie prit conscience et ça me fais peur de ressentir autant de chose pour quelqu'un.

- Alors, arrête de te mettre des barrières, répondit-il. Laisse-toi aller par ce que la vie nous réserve. On a tellement de choses à vivre et c'est maintenant qu'il faut le faire. Laisse-toi guider par ce que ton cœur te dit et arrête de trop réfléchir. Elise le stoppa pour l'embrasser et lui dit qu'elle l'aimait.

- Je t'aime, dit-elle en l'embrassant sur le coin de la bouche puis elle lui répéta en l'embrassant sur la bouche. Je t'aime tellement, répété-t-elle en l'embrassant sur le cou.

- Moi aussi, mais s'il te plait ne descend pas plus bas. Elise fut gêner l'espace d'un instant car elle ne savait plus quoi faire face à ce qui venait de lui dire. C'est que c'est dur de te résister alors si tu t'amuses à me titiller, rajouta-t-il. Regarde, l'effet que ça me fait. Il l'avait couché sur le lit et Elise s'était laissé faire. Il lui fit une cascade de baiser pour aller jusqu'à embrasser son ventre puis il s'était arrêter. Il lui remonta doucement le tee-shirt mais par à port à la dernière fois, Elise avait confiance en lui. Il l'embrassa sur sa peau nue et souffla légèrement dessus. Son souffle était chaud et Elise avait rougi car elle en voulait plus.

- Tu vois ce que ça me fais maintenant mais on n'ira pas plus loin tant que nous ne serons pas près.


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