Partie 6

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On arriva au alentours de 7h00 dans une gare déserte, c'était le terminus de la ligne

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On arriva au alentours de 7h00 dans une gare déserte, c'était le terminus de la ligne. Le jour commencait à pointer son nez. Je tenais fort les mains de Ahmed et Sabri. Amine et Samy marchaient a coté. Les rues étaient désertes et le coin ou nous étions semblait paumé.

Il commençait à pleuvoir de petites goûtes. On marchait tout droit, toujours tout droit pour être sur de s'éloigner et d'avancer, après une bonne demi heure de marche je tombais sur un petit bar café. On rentrait dedans et on s'assit à une table je prix des chocolat chauds et des croissant pour les petits et un café bien serré pour moi.

Je bus le café d'une traite espérant qu'il agirait un peu sur mon mal de crane. Mais le résultat fut décevant.

J'avais mal partout mais ma tête et mon ventre dépassaient tous les scors de douleur.

Les petits parlaient entre eux. Je me levais et demandai au serveur si il ne pouvait pas me preter un annuaire teléphonique et son portable. Il me répondit "pas de problème" et il me les donna. J'allais me rasseoir.

Ma mère avait une sœur jumelle que je ne connaissais presque pas mais qui venait me rendre visite chez ma famille d'accueil avec ma mère quant j'étais petite. Après être revenu chez ma mère je ne l'avais plus jamais revue.

Je me rappelais de son nom et j'espérais de tout mon cœur la trouver. J'allais voir dans le nom de famille de jeune fille de ma mère et je cherchais Fatima. Dieu du ciel il y en avait au moins 25. Mais ce qui me marqua c'est que pleins de gens portaient le nom de famille Ranem et qu'ils étaient surtout concentré à Marseille. Je ne me souvenais plus de où ma tante habitait, et je crois ne jamais avoir demandé à ma mère où elle avait grandis.

Mais enfin je commençais à appeler les Fatima Ranem, beaucoup ne répondaient pas, l'heure était sûrement trop matinale. Les quelques unes qui répondirent n'avait pas de sœur du nom de Shéila.

Le serveur me lançais des regards de plus en plus souvent, l'air de dire "la c'est trop rend le moi." Je déchirais les quelques pages où il y avait les Ranems et les foutus dans mon sac. Je ramenai au serveur ces affaires et le remerciai. Je lui commandais un autre expresso et lui demanda de quelle grande ville on était pas trop loin. Il m'en indiqua une et me dit qu'avec un bus pas très loin d'ici on pouvait y être en 30 minute.

Je pris ce bus et on arriva dans une ville assez peuplée. Pas loin on trouva un grand centre commerciale. C'était ce que je cherchais.

Il me fallait un téléphone, une boites de doliprane, une tenu de garçon à ma taille et un déjeunée pour les petits.

Quand je finis d'assembler tout ça il était vers midi. On se pausa sur des tables dans le super marchée et on déjeuna, je mis la puce dans mon téléphone. Mis la recharge et recommença à appeler les Fatima Ranem qui n'avait pas rependu ce matin. Celle qui répondait n'été pas les bonnes. J'allais abandonner. Il me restait plus de Fatima, mais une Fatia et une Fatma. J'appelais la Fatma :

- Allo bonjour.

- Ouai bonjour y a quoi ? ( la voie était masculine)

- Bonjour je pourrais avoir Fatma Ranem s'il vous plait ?

- Elle est pas là , je laisse un message?

- Non si vous pouviez me renseigner. A elle une sœur jumelle ?

- Je sais pas moi, mais je ne crois pas, attend mais putain si je crois qui y a une vieille photo sur l'armoire où on la voit elle et son portrait craché. Attend despi je vais vérifier et je te dis ça ?

- Merci c'est gentil, j'attends.

.............

- Oui Fatma a une jumelle mais désolé je connais pas son nom.

- Y a pas de problème, je pourrais avoir l'âge de ta mère s'il te plaît.

- Ptdrrr c'est pas ma mère mais la femme de mon père depuis 10 ans, en gros c'est ma belle mère.

- Ahh d'accord je suis désolée, tu sais quand elle revient et ou elle est ?

- Mais au juste t'es qui toi ?

- Je suis la nièce de ta mère et j'ai besoin de lui parler, c'est vraiment très urgent.

- Je peux te donner son portable si c'est aussi urgent que ça elle est allé faire les courses.

- Oui sa serait géniale.

- Alors c'est eh 0624585687.

- Merci, je te remercie de tout mon cœur.

- Bah derien Vasy à plus.

- Au revoir.

J'appelais ma tante juste après. Sa sonne, sonne et puis elle décroche :

- Allo.

- Allo tata Fatma.

- C'est qui ?

- Rahma la fille de ta sœur jumelle.

- .......Rahma, Rahma ma fille comment tu vas, comment ce porte ta mère ? ( elle n'tait donc pas au courant, mais comment sa ce fait, je ne comprenais plus rien.)

 VIVRE ou MOURIR ( terminée )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant