""Yassine, prend mon journal et tu comprendras comment j'en suis arrivée là. Je t'en suplie veille sur eux et ne les laisse pas mourrir. Je crois que ma vie s'arrêtera bientôt mais ne soit pas triste mon amour, ne soit pas triste.""
Vu à 12h30
Bonne...
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On roula toute une nuit et une journée, le soir à la tombée de la nuit on arrive enfin dans un petit village espagnol. yacine se gara devant une grande maison un peu éloigné des autres habitations et nous demanda de descendre. La maison était immense. On alla vers l'entrée. Des lumières étaient allumées à l'intérieur je demanda à Yacine si il y avait des gens à l'intérieur il me répondit oui il y a mon meilleur amie cette maison lui appartient. On fit donc connaissance avec se meilleurs ami. Il ne ressemblait pas du tout à Yacine. C'était un grand garçon de 23 ans, un algérien assez mignon. drôle et très bavard ce qui me changé de Yacine qui ne parlait pas beaucoup. Il s'appelait Rayan. Il plût tout de suite à mes petit frères qui ne le lâchait plus. La maison était dans un bordel pas possible. Après deux heures passé au salon Rayan nous montra les chambres vide. Il nous dit de choisir. Ahmed et Sabri s'installèrent dans une chambre à part et Amine et Samy dans une autre. Moi je m'étais mise dans une autre chambre avec sale de bain. Après avoir couché les petit et remerciée pour une 10eme fois Yacine et son pote de leur accueil je montais dans ma chambre et vida mon petit sac à dos sur le lit. Dedans il n'y avait pas grand chose quelques vêtements, mon couteau et mon portable. Je le mis à chargé et je l'allumais.
J'avais 20 appels manqués de ma tante. Elle devait être morte d'inquiétude. Je ne pouvais pas la rappeler la police devait l'avoir interrogé et je ne voulais pas lui causer de problème. Elle savait qu'on était avec Yacine. Et j'éspérais que cela la rassurerait un peu. J'entrais dans la sale de bain pour faire une douche.
Toute était luxueux. Je me regardais dans le miroirs et je fus choquée de l'image qu'il me rendit. J'étais extrêmement pale, j'avais d'immense cernes noires. Je me déshabilla mit de l'eau à coulé dans le bain et l mes sous vêtements au robinet robinet. Je fus un bain de deux heures, je n'arrivais pas à sortir de l'eau chaude qui détendait mon corp encore douloureux. Quand j'arrivais enfin à sortir du bain je me sécha et enfila un peignoir accroché. Mes cheveux avaient poussé et tombaient maintenant sur mes fesse. Il fallait que je les coupent car en chignon il me faisait mal au crâne et détachés ils attiraient l'attention. J'ouvris l'armoire à la recherche d'un ciseau. Mais je n'en trouva pas. J'allais me couche j'étais fatiguée mais je savais que le soleil ne me viendrait pas. Depuis le soirée de la mort de Mama je ne trouvais plus le sommeil je restais réveillée jusqu'à 4 heure revivant encore et encore ces soirées jusqu'à ce que la fatigue l'emporte. Je dormais aussi depuis avec mon couteau sous l'oreiller au cas ou mon père venait me chercher mais maintenant je savais qu'il était mort, mais c'était devenu une habitude vitale pour moi. Cette nuit là je m'allongea sur ce grand lit deux places mit mon couteau sous l'oreiller et ferma les yeux. Mais le sommeil n'était pas au rendez vous et je pensais à mon père que j'avais enfermé mort chez nous. Mon père que j'avais tué en le frappant avec un vage. Je voulais le voir mort depuis des années, mais je ne pensais pas que j'en serais la cause, je pensais que l'alcool et la drogue aurait eu raison de lui. J'avais venger Mama. Je finis par m'endormir. Le lendemain matin quand j'ouvris les yeux il était presque 11 h. J'avais beaucoup trop dormit. Je l'habilla en vitesse et alla dans la chambre de mes frères je ne trouvais personne dedans, je fus prise de panique et je descendis en bah en courant je trouvais tout le monde dans la cuisine, il y avait une bonne ambiance les petits souriaient. Rayan était torse nu il préparait une omelette. Il me proposa un verre de café en me demandant si j'avais bien dormis. Je lui répondis oui. Eton se mit a parlé. Quand son omelette fut cuite on la mangea tous ensemble. Yacine ne parlait pas à part un rapide Salam quand je suis arrivée je n'eus pas le droit à une autre parole. Après le petit déjeunée Rayan voulut nous montrer le parc autour de la maison. C'était un parc immence avec une pelouse pas coupé depuis longtemps. Pleins d'arbres. A coté de l'entrée de la maison qui ressemblait maintenant en plein jour plus à une villa. Il y avait une sorte de grand garage fermée. C'était une belle journée de janvier ansoleillée mais fraiche. Les petits se mirent a jouer avec Rayan il courraient partout. Sa me faisais du bien de les voire comme ça, l'enfance permet de vite oublier. Je m'assis sur un petit banc sur le coté et les regarda jouet. A un moment j'entendis des bruits de pas qui venait vers moi. Yacine était sortit de la villa et se dirigea vers moi. Il s'assit sur le banc à coté de moi. Il regarda Rayan et mes petits frères qui jouaient maintenant à chat et me dit après de longue minutes. - Je vais devoir partir Rahma pour quelques jours. - Nan, nan tu ma dis que tu veillerais sur nous, nan tu peux pas Yacine s'il te plait. Je le suppliait du regard avec lui je me sentais mieux et je ne voulais pas qu'il parte, je voulais pas qu'il me laisse seule ici loin de tout, je voulais pas. - Rayan restera avec vous, le lui fais entièrement confiance Rahma on ce connait depuis leberceau. - Yacine je t'en supplie reste avec moi. Sa n'était pas dans mes habitudes d'insister autant mais là j'avais peur, je ne le sentais pas. Yacine me répondit alors sèchement. - Je dois y aller. Il se leva et rerentra dans la villa. Je me mis alors à chialer comme une merde. Je pensais que depuis la nuit du parking qu'il s'inquiétait pour moi et que j'avais une certaine importance pour lui, qu'il l'aiderait, me soutiendrait. Mais là je me rendais compte de mon erreur, de ma naïveté. Il avait déjà était assez gentil de nous avoir ramené là et sa suffisait à son égaux, j'étais bête de pleurer pour ça et je sécha vite mes larmes. Je rentra à l'intérieur pour me mettre de l'eau sur le visage. Je le fois le robinet de la cuisine. La cuisine était dans un état pas possible comme presque toute la maison. Je me mis en tête de la laver. Je chercha le matériel adéquate et me mit au travail. La cuisine finis je passais au salon. De ou j'étais j'entendis les cris des petits qui jouaient et rigolaient dehors. Il était presque midi. Je fouillais la cuisine pour voire ce que je pourrais préparer à manger, je pouvais bien faire ça pour eux vu tout ce qu'il faisait pour moi. Les tiroirs étaient presque tous vide et le frigo était remplie de pizza sur gelé de frites et de steaks. Je leur fois des spaghettis à la sauce tomate avec des steaks. Ils rentrèrent un peu avant que j'ai finis de préparer la table. Ils sentaient tout les 5 la terre. Rayan dis: - Oh votre soeur et une fée. - Moi: Non c'est rien c'est normale. On se mit tous à table sauf Yacine qui était je ne sais où. Rayan nous raconté des histoires drôles. Ils nous faisait rire. Il me complimenta sur les pattes qu'il trouva"magique". Quand ils eurent finis de manger il proposa au petits de venir jouer à la play. Mes frères venaient de découvrir la play et en étaient devenu des vraies fans chez tata. Ils montèrent donc fans la chambre de Rayan, je les suivis mais Rayan me laissa pas entrer. - Ah désolé ma belle c'est entrée réservée uniquement aux bonhomme. Il me dit sa avec un grand sourit, de derrière son épaule je voyais le fouttoire incroyable de sa chambre et je comprenais pourquoi il ne voulait pas que j'entre. - D'accord mais surveille les bien. Je voulais de toute façon finir de ranger. J'attrappais le balais et la serpillère et commença les chambres de mes frères puis la mienne. Cette maison n'avait pas étaient lavé correctement depuis des années je pense tellement il y avait de poussières. Lavé m'occupais l'esprit et sa me faisait du bien. En l'avant j'entendis un bruit dehors je mis ma tête par la fenêtre pour voire d'où cela pouvait venir et je vis Yacine ouvrir le garage. Il ressortit en grosse cylindré noire aux vitres teinté, sayez il partait. Je ne savais pas où il allait, ni ce qu'il allait faire mais je poserais des questions à Rayan et il me répondra sûrement. Et puis Yacine pouvait faire ce qu'il voulait il fallait que je me mette dans la tête qu'il avait aucun compte à me rendre.
