""Yassine, prend mon journal et tu comprendras comment j'en suis arrivée là. Je t'en suplie veille sur eux et ne les laisse pas mourrir. Je crois que ma vie s'arrêtera bientôt mais ne soit pas triste mon amour, ne soit pas triste.""
Vu à 12h30
Bonne...
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La foi suivante j'ouvris les yeux dans un lit médicalisé, j'avais la gorge très très sec. Des tuyaux étaient en moi. J'étais perdu je ne comprenais rien. Je me rendormais ensuite pour me réveiller dans le même endroit. Cela a du m'arriver trois ou quatres fois,
Puis une fois je me suis réveillée,q j'étais allongé dans le même lit mais j'avais beaucoup moins de tuyaux accroché à moi juste un dans la main et la machine pour respirer. J'étais encore dans les vappes et je n'arrivais pas à avoir une pensé sensée. Comme ci mon cerveau été embrumé. Mais contrairement aux autres fois cela ne se terminait pas par le sommeil. Je restais réveillé dans cette état,
C'était bien j'étais comme dans un nuage chaud et protecteur, ce nuage été peut être du à ce qui coulait dans le tube planté dans ma main
Petit à petit je retrouvais un semblant de lucidité et l'image de mes frères me vain a l'esprit mais comme je le dis rien de claire de compréhensible j'avais l'impression que mon cerveau été devenu incapable de lié toutes les informations
Je me décidais à retirer la perfusion planté dans ma main comprenant enfin qu'elle avait un rapport avec mon état. Quelques minutes plus tard plusieurs personnes entraient dans la pièce. Des hommes en blouse, d'autre en uniforme de police. Je comprenais toujours pas grand chose. On me remis la perfusion malgré moi, on me mit les sangles de sécurité et je re sombrais dans un sommeil profond.
La fois suivante fut la bonne, quand mes yeux s'ouvrirent je n'avais plus rien d'accroché à moi, mes pensées été embrumé mais rien de comparable au autres fois. Je compris où j'étais, sûrement à l'hôpital, je me souvenais être tombé malade.
Quelqu'un ouvrit la porte de la pièce où j'étais, une porte assez bizarre pour uns chambre d'hôpital dailleurs. Très épaisse et en fer avec un petit écran rouge. Une petite femme entra me dit quelque chose que je ne compris pas je beuguais sur la porte bizarre.
J'essayais de me redresser un peu, je m'appuya sur ma main et la le petit bracelet accroché à mon poignée me fit comprendre. On poivait lire dessus "détenue n°345".
Je lâcha alors. - Je suis en prison. La petite femme qui parlait avant sans que je n'ai saisie un mot de ce qu'elle disait me répondit. - Non pas tout à fait comme je vous l'expliquait, vous êtes dans un établissement médicale pénitencier. Vous êtes traité ici depuis 1 mois, on vous a ramèné ici après un moi de traitement à l'hôpital de Lille.
J'ingurgitais les informations sans rien dire. Elle fit une petite pause et reprit.
- Vous avez un vaisseau sanguin qui a éclaté dans l'estomac. La situation à empiré à cause du retard du diagnostique. Vous avez perdu beaucoup de sang et vos muscles cérébraux ont lâché prisent quelques temps. On a du vous plonger dans un coma superficiel trois semaines.
Encore une pause.
- La bonne nouvelle c'est que vous êtes presque sortit d'état. Il faut maintenant que vous reprenez à utilisé votre estomac. Cela va se faire doucement car la parois et encore très fragile.
Elle me lança un regard et continua.
- Vous auriez pu y rester mademoiselle, un jour de plus sans traitement aurait été décisif.
J'écoutais mais je me rendais pas compte de la gravité de ces paroles, j'aurais pu mourir mais la je ne l'étais suis pas. Depuis que j'avais vu mon bracelet une autre chose hanté mon esprit. Je me décidais à la dire.
