VIVRE ou MOURIR ( terminée )

Partie 15

________

J'ouvrais la vitre et je rentrais dans la chambre, c'était bien la chambre de Yacine. C'était le bordel, des vêtements partout, mélangés à des restes de pizza. Des canettes de bières partout au sols.

La chambre était dégueulasse, seul le lit était à peu près vide.
Je commencais alors a fouiller et j'allais de découvertes en découvertes.

Sous son matelat je trouvais de l'argent beaucoup, beaucoup d'argent. Une vingtaine de coupure de billet de cent. Dans ces tiroirs sous ses sous vêtements je trouvais deux petites armes.

Je savais qu'ils étaient dans le banditisme mais maintenant j'en étais certaine.

Sa ne s'arrêtait pas, plus je fouillais et plus je découvrais des choses.

Sous son lit je trouvais un sac rempli d'armes,

je reculais un peu effrayée je n'en n'avais jamais vue autant d'aussi près.

Mais qu'est ce qu'il foutait avec ça, je commençais à m'inquiéter et à me demander si on était pas mieux loin d'eux. Je refermais le sac et je remis tous sous le lit.

Je commençais à fouiller l'armoire, mais il n'y avait rien à part des vétements.

Mais tout en haut il y avait un carton . je ne l'ateignais pas et je due décaler le fauteuil pour réussir à l'ateindre.

Je l'attrapais et le descendais sur le lit. Dans le carton il y avait du gros bordel. Des stylos, des photos, carnez breff c'était un four tout mais alors que j'allais refermer le couvercle je tombais sur un morceau de vase. Mon coeur s'arrêta de battre et le lien se dessinait clairement dans mon esprit.

Ce bout de vase était une partie du vase qui m'avait servi à assommer mon père. Je n'y croyais pas mais ça ne s'arrété pas là.

Après le choc je pris le morceau de vase et je refermais le carton, je remontais sur le fauteuil pour le remettre dans le compartiment du haut de l'armoire quant je vis collait dans le coin à gauche un porte monnaie gris.

C'était le porte monnaie de mon père. Je le pris descendis et je m'assayais sur le fauteuil il fallait que je me calme mon coeur battait bien trop vite.

Mais je n'eu pas le temps, j'entendis un cri de Sabri dans le jardin et sans réflechir je courue vers le balcon pour voire ce qui ce passait, mais les petit n'étaient pas là. Paniquais, j'escaladais le petit grillage et je descendis en courant dans le jardin.

Sabri était tomber de l'arbre qu'il grimpait pour se cacher.

Je l'emmenais à l'intérieur les autre me suivirent et je le soignais, c'est alors qu'on entendit des bruits de voitures.

Ahmed et Amine allèrent voir par la fenêtre et me crièrent que Rayan et Yacine revenaient.

Et merde j'avais laissé le bordel dans la chambre de Rayan et il fallait que je me grouille d'aller ranger.

Moi: Samy il faut que j'aille faire une douche ne sortait pas dehors, j'arrive

Je montais les marches en deux deux je courais dans la chambre des petits et je vis par la fenêtre les voitures dans l'allée qui arrivaient je sortis dans le balcon escalada le grillage et remis en place le carton, les boites. Je refermais l'armoire remis le fauteuil à sa place.

Je refermais le balcon et j'allais escalader la barrière quant je me rendis compte qu'ils étaient juste devant la maison et que en sautant ils risqueraient de relever la tête. Ils rigolait tout les deux pour je sais pas quoi.

Mais j'entendis Yacine répondre
" C'est un phénomène cette fille"
Yacine tira les clef et ouvrit la porte de la maison. Ils rentrèrent et j'en profitais pour escalader la barrière sauter de l'autre coté du balcon et redescendre dans le salon.

Yacine et Rayan donnaient des bisous aux petits ils avaient l'aire très fatigues.

Rayan: Salam ma belle elle était bien ta douche.

Moi: Ma douche eh oui géniale.

Lui: Tu t'es bien débrouillée sans nous?

Moi: Oui ça va.

Lui: Il ne sait rien passé de grave.

Moi: Non. Je suis désolée j'aurais su que vous veniez j'aurais préparé quelques choses.

Lui: Non c'est notre faute on ne t'a pas prévenir.

L'atmosphère était extrêmement tendu entre nous deux le souvenir de ces avances était encore bien présent dans nos esprit.
Yacine était occupé avec les petits, il ne m'avait fait qu'un petit signe de la main en me voyant descendre.
Tout s'était enchainé trop vite et je me suis retrouvée dans la cuisine à couper des escalada.

je ne comprenais pas comment ils pouvait avoir ces choses qui étaient au dernière nouvelles chez nous à Paris. Si Yacine les avaient c'est qu'il était allé à Paris les chercher.

Mais alors c'est lui qui a du amener la police. La porte de chez nous été fermée a clef et la clef est encore dans mon sac il a du défoncé la porte ce qui expliquaitt que l'on ai finis par découvrir le corp.

Mais une question me vint alors à l'esprit avait t'il trouvé mon père mort ou l'avait t'il trouvé vivant?

Peut être après tout que je ne lui avais pas mit le coup mortel.

Yacine m'avais laissé lui raconter mon histoire, me blotir dans ces bras sans me dire qu'il revenait d'une petite visite chez moi.

Mon esprit ce brouillait un peu je revoyais les armes, l'argent.

C'étaient des personnes dangereuses et je commençais à regretter de mettre laissée aider par eux. Yacine était un manipulateur et Rayan me voyais comme un steak de viande.

Si j'étais seule je serais partie sur le champs mais j'avais Ahmed, Sabri, Amine et Samy et j'avais fait l'expérience de me balader avec eux.

On attirait l'attention et la le risque était maintenant trop grand. Il fallait donc que je commence un jeu d'hypocrisie et que je sois sur mes gardes et dés que les choses se tasseront je trouverais une solution mais pour le moment la seule solution était de rester gentil car je ne pouvais pas me demerder seule.

J'avais finis de préparer la sauce des pâtes et je me retournais pour chercher le couvercle de la casserole quand je vis Yacine, il était debout à l'embouchure de la porte et me il me regardait.

J'étais extrêmement choquée et énervée et je devais être en train de le fusiller du regard.

Puis une petite voix intérieur vint me dire

"Rahma non, Rahma sourit soit accueillante ne montre pas tes vraies sentiment Rahma"

Je lui fis alors un sourire avec toutes mes dents qui devait plus faire flipper qu'autre chose et lui dit:

*****La suite bientôt *****