partie 25

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Je rentrais dans ma cellule, il faisait maintenant complètement nuit. Je m'allongeais sur ma couchette et me mis à penser au lendemain et à mon passage devant la juge. J'étais contente d'avoir pris un peu de force. Je ne voulais pas penser, je voulais juste dormir.

Heureusement le sommeil ne tarda pas.

Malheureusement je fus réveillée au milieu de la nuit par une tempête il pleuvait fort, les orages grondaient et un vent glacé entrait par ma fenêtre cassée.

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Je frissonnais sur ma couchette, j'allais me chercher un autre drap et m'enroulais dedans. Chaque grondement me faisais paniquer. Le drap ne me réchauffait pas et il me semblait impossible que je me rendors cette nuit. Je me mis donc à attendre que l'on vienne me chercher, essayant de préparer mes propos pour qu'ils paraissent le plus plausible possible.

Puis j'entrepris de me démêler les cheveux et de me brosser les dent pour paraitre la moins misérable possible. Je remercié le ciel de ne pas avoir mit de miroirs devant moi à ce moment. Je crois que cela aurait fini par flinguer le peu de motivation que j'avais à ce moment .

Le matin arriva vite et on vint me prendre pour me ramener au palais de justice. La-bas on me mit dans une sorte de salle ou je devais attendre mon tour de passage. Je me demandais si des gens que je connaissais été venu me soutenir. Si ils m'attendaient dans le tribunal.

Quand mon tour vint enfin, il etait a peut près 11h, on m'enleva les mznottes et deux policiers m'escortèrent dans la chambre jusqu'au banc des accusés. Mon avocat était là avec une pile de dossiers. Un rapide coup d'œil à la sale me fis comprendre que personne était la pour moi.

La juge commença à lire mon dossier fort, puis elle énonça les preuves a charges. Mon avocat prix la parole et mis en avant tout des circonstances atténuantes.
L'avocat parla de mon père de son alcoolisme de sa violence, de la tentative de meurtre sur ma mère et sur moi. Il énonça le fait que j'avais étais livrée très tôt a une vie difficile. Il mit en avant la légitime défonce. Il me décrit comme une femme fragile qui essayée juste de protéger ses frères.

La juge semblait compatissante, le ministère public demanda 2 mois de prisons avec sursis et un suivit.
La juge me demanda si j'avais quelques chose à dire avant que l'affaire soit mise en délibéré.

Ma bouche s'ouvrit pour parler mais aucuns son ne sortaient. Je n'arrivais pas à m'exprimer.  La juge attenda quelques minutes. Puis quand elle vu que je ne parlez pas elle continua .

La décision aura lieu après le délibéré, affaire suivante.

Les deux policiers  me ramenèrent hors de la salle à l'endroit où j'avais attendu avant.

Je m'assis sur le banc et mi la tête dans mes mains, pourquoi je n'avais pas pu parler pourquoi je n'avais pas pu défendre mais enterré. J'étais dégoûtée. J'attendais le verdict seule ça avait de l'importance maintenant.

Mon cœur battait la chamade, je n'arrivais plus à respirer correctement. Et au fur et à mesure que le temps passé mon état empiré.

Je cru que le moment n'arriverait jamais. Mais il arrive après 3h d'attente un policier vins me chercher. Il me demanda de le suivre. Les délibérés étaient finis et la juge rendait les jugements.

Étant passé dans les dernières mon jugement arrivé à la fin, je regardais les personnes qui avait commis des délits et des crimes défilé devant moi jusqu'à ce que mon tour vienne.
- l'affaire 223.

le policier me fait rentrer dans la chambre correctionnel je m'assis les yeux fixés sur le jury .

le juge commença à énoncer son verdict

 VIVRE ou MOURIR ( terminée )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant