Quand je sortis de l'hopitale il faisait nuit dehors et un vent glacial me transperçait le corp encore meurti par l'agression que j'avais subi quelques jours plutôt. Je pouvais à peine bouger sans que mon corp ne me fasse des représailles. Je ne pensais pas aller au centre. Sans savoir éxactemznt pourquoi l'idée d'y aller me dégoutais et pourtant je savais que je n'avais pas vraiment le choix, je n'avais nul par d'autre où aller.
Le médecin était gentil, il m'avait réconforté comme il avait pu. En me donnant les papiers de ma sortie un peu plus tôt il avait glissé un billet de 50e entre les pages que je n'avais trouvé que bien plus tard. Depuis je cherchais un hotel pour passer la nuit. J'étais éffrayée à l'idée de réster dehors. Moi d'habitude si courageuse je sursautais maintenant à chaque bruit dans la rue. Je suivais des yeux chaque passant. Je me retournais toutes les 5 secondes pour voir si personne ne me suivait.
Je finis par trouver un hôtel où la chambre avait un aspect miteu et sale mais pour 20e je ne pouvais pas m'attendre à un hôtel de luxe. De toute façon je ne demandais que à allonger mon corp douloureux quelque part en sécurité. Après avoir férmé le verrou de la chambre je m'éffondrais sur le lit sans même avoir retiré les couvertures où avoir enlevé mes chaussures. Je fermais les yeux et je tombais dans un lourd sommeil sans rève.Le landemain matin je fus réveillée par un hommes qui tappait contre ma porte.
- Vous devez libérer la chambre à 10h et il est 11h passé.
- je sors dans 5 minutes. Dis je en m'assayant sur le lit. Mon corp me faisait toujours aussi mal. Mais j'allais mieux qu'hier. Je me levais étira mes muscles douleureux et j'entrais dans les toilettes pour m'aspérger le visage d'eau glacé.
Dieu du ciel que j'étais pale. Mon reflet sur la glace me fit penser à une morte vivante. Mes cheuveux noir était gras est tombé tous lisse autour de mon visage faisant un contraste avec la paleur éxtrème de ma peau. Mes yeux avaient l'aire immensse dans mon visage devenu squelettiques. La crème cicatrisante du médecins avait fait des miracles. Il ne réstait que quelques petites traces des émmatomes sur ma bouche et mon oeil droit J'attachais mes cheuveux en queu de cheval et détourna mes yeux de la glace. Allez Rahma tu vas reprendre des couleurs et du poid ne t'inquiète pas. Ça va regarde tu es vivante c'est déjâ ça de gagnéJ'éssayais tant bien que mal de garder un peu le moral. Car je sentais toute une partie de moi qui avait envie de mourrir, de lacher l'affaire et de se laisser succomber au désespoir. Comment ne pas comprendre, rien n'allait et la chance était décidée à ne jamais me sourir.
Je sortis de l'hotel se matin là déterminée à ne pas sombrer dans le désespoir. Je devais me battre et j'allais arriver à me relever.
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VIVRE ou MOURIR ( terminée )
Teen Fiction""Yassine, prend mon journal et tu comprendras comment j'en suis arrivée là. Je t'en suplie veille sur eux et ne les laisse pas mourrir. Je crois que ma vie s'arrêtera bientôt mais ne soit pas triste mon amour, ne soit pas triste."" Vu à 12h30 Bonne...