VIVRE ou MOURIR ( terminée )

Fin

Je vous laisse ici la dernière partie en espérant que mon histoire vous ai plu ❤
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..........Rahma..........

Le ciel de cette journée était bleu, d'un bleu parfait, je ne sais pas pourquoi je me rappelle de se détail mais l'horloge indiquait 16h pil. J'étais allongée dans cette chambre d'un blanc éclatant, un blanc tellement blanc, tellement net qu'il en devenait effrayant. Je fixais le ciel bleu par la petite vitre. Je pensais voir son âme se promenait dans le ciel. Je ne sais si j'alucinais ou si je voyais vraiment mon fils se jour là, une petite lumière blanche voltigeant dans le ciel au dessus de ma fenêtre. Je restais à la suivre des yeux jusqu'à que je ne puisse plus l'apercevoir par la fenètre. "nan reviens, me laisse pas" je soulevais mon corps douloureux et me dirigea vers la fenètre, je l'ouvris toute grand et chercha mon fils, ma lumière"reviens" "reviens il est trop tôt" je cherchais dans le ciel de tout les côtes, il n'était plus là. "me laisse pas s'il te plait reviens" je montais sur la rampe de la fenêtre pour voir plus loin mais je ne voyais plus ma lumière "mon bébé revient, je t'en supplie". Il ne pouvait pas partir, pas maintenant. C'était pas possible j'avais besoin de lui " Reviens s'il te plait reviens" je ne lui ai même pas dit que je l'aimais, il va penser que je ne l'aime pas.

Je me sentis tirée et empoignée vers l'arrière.

Je raterie dans cette chambre trop blanche Yassine était accroché à moi et m'hurlait dessus.
- Laisse moi Yassine, il faut que je dise au revoir à mon bébé.

Je voulais me détacher de lui et aller chercher mon ange pour lui dire que je l'aimais et que j'étais désolé avant qu'il ne disparaisse complétement, Yassine m'empechait d'acceder à la fenètre alors je me rappelle avoir fais tout ce que je pus, je le poussait violemment, le frappais, griffais, mordais, tirais. Il ne me laissa pas réacceder à la fenètre, je sentais l'urgence monter en moi comme si j'étais en train de rater un instant primordiale. Un frisson me parcouru de haut en bas et je compris que c'était finit. Mon fils avait rejoint Dieu. Je me retrouvais seule une énième fois pleine de tristesse, de souffrance, de haine et de colère.

Je voulais mourir, je voulais mourir et ma pensée devint parole.
- je veux mourir, je veux mourir, je veux les rejoindre. Dieu je t'en supplie prend moi maintenant, tout de suite.

Ma vie défila alors devant moi, je me voyais petite avec ma mère, entourée de mes frères, dans la cuisine, à l'école, au lycée, à la boulangerie
Je voyais ma vie défiler devant moi à une vitesse incroyable et dans l'ordre chronologique. J'arrivais à prendre connaissance de chaques souvenirs. Le dernier des souvenirs que je vis n'en était pas un.

Il ne s'était jamais passé, j'étais dans un jardin, je tenais un petit enfant dans mes brats, mes frères étaient autour de moi et un homme venait avec un plateau, je finis par distinguer son visage au fur et à mesure qu'il s'approchait de moi: il s'agissait de Yassine.

Aujourd'hui assise sur l'herbe de ce même jardin vue 10 ans plutôt à la suite de la mort de Malik. Une larme glisse le long de mon visage et tombe sur mon clavier.

Dieu est Grand.