VIVRE ou MOURIR ( terminée )

Parti 7

Suite_

-Allo.

-Allo tata Fatma.

-C'est qui ?

-Rahma la fille de ta sœur jumelle.

-.......Rahma, Rahma ma fille comment tu vas, comment ce porte ta mère ? ( elle n'était donc pas au courant, mais comment sa ce fait, je ne comprenais plus rien.)

-Tata ton frère ne ta pas prévee pour Mama ?

-Prévenue de quoi Rahma, je n'ai plus aucun contacte ni avec lui ni avec ta mère depuis presque 11 ans. Mais hier j'ai reçu plusieurs appelles d'un numéros inconnu, je ne pouvais pas décrocher car je travaillé et le soir j'étais trop fatiguée et j'ai oublié.

-Mama est morte hier pendant la nuit à l'hôpital après une chut sur la table basse du salon. dis je le plus doucement possible. Pour ne pas que les petits m'entendent, ils étaient occupés a ce bagarrer pour les dernier ships du paquet.

-...................Allah ou Akbar, Allah ou Akbar. Allah ou Akbar. Ma tante répétait en pleurant des choses comme celle là et d'autres que je ne comprenais pas en arabe. Elle me fit monter les larmes aux yeux. On aurait dit qu'elle implorait le ciel.

Je ne comprend pas l'arabe, ou presque pas. De ma religion d'origine je connais que très peu de choses.

Quand ma tante finis par ce calmer elle me demanda :

-Ma fille qu'est ce que je peux faire pour toi ?

-Ma tante on s'est enfui de la maison et je ne sais pas vraiment ou aller .
- Ma fille vient chez moi, je serais heureuse de d'accueillir.

-On ne te dérangera pas longtemps juste le temps pour moi de trouver une solution.

-Ma fille c'est qui on ? Tu es pas seule ?

-Ma tante j'ai 4 petits frères, Samy, Amine, Ahmed et Sabri.

-Ohh Dieu est grand, Dieu est grand. Les pleurs et les prières recommençaient de plus belles.

- Ma fille écris mon adresse. 22 Rue Lafayette Marseille. Dis moi tu es ou ?

-Je suis pas très loin de Clermont Ferrand Tata.

-Ma fille la bas prend le direct pour Marseille, tu as un peut d'argent sinon je t'envoie Yacine ?

-Oui j'ai assez tata, je prends le train le plus vite possible.

-C'est bien, fait vite je veux vous prendre dans mes bras et voire mes neveux. Avant d'arriver appelle moi j'enverrai Yacine te chercher à la gare.

-Merci pour tout, merci Tata.

-Tu es comme ma fille maintenant, faite très attention sur la route. Envoie-moi un message quand vous êtes dans le train.

On se laissa de manière très émouvante. Je l'avais complètement chamboulée la pauvre. Quand je raccrochais j'avais 8 yeux braqué sur moi.

Moi: - Les loulous on va à Marseille, voir la sœur de Mama.

-Comme sa elle va nous dire ou es Mama dit Ahmed en souriant jusqu'au oreille.

Je ne me sentais pas capable de lui dire la vérité, je lui rendis un petit sourire et lui fit un hochement de la tête.

On trouva ensuite un bus qui nous ramena à la gare de Clermont Ferrand là-bas le prochain train pour Marseille partait à 14h45. J'achetais des billets pour tout le monde, et on était partis pour Marseille.

On s'installa dans le train et il partit quelques minutes après. Les petits étaient calment, je savais qu'ils étaient triste comme je l'étais. Je ne pouvais rien faire contre ça. Dieu avait choisit ce qui nous arrivé. Il devait avoir une bonne raison enfin je l'espérait. Les douleurs que j'avais au ventre s'intensifiait et ma tête tournait. Mon visage était ouvert à différent endroit. Des coupures qui avaient laissé place à des croutes. J'étais à ce moment là de ma vie je dois bien l'avouer dans un état terrible. Je tenais debout grâce à une force surnaturel. Pourtant dans ce train chaud et silencieux je m'endormis pour me réveiller quelques heures plu tard dans le même état de souffrance. Amine et Samy parlaient de Mama.

- C'est sur que Mama est morte Samy, Rahma mens je l'ai entendu tout à l'heure le dire à Tata.

-Arrêté de mentir répondit Sami d'une voie énervait.

Je ne pouvais plus continuer à leur mentir comme je le faisais.

Moi: -Amine tu as raison Mama est partie pour ne plus jamais revenir. Elle nous à laissé seule ici et je mens par ce que je sais pas quoi faire d'autre. Je sais pas non plus ce que je vais faire de vous de moi de nous. J'ai besoin de vous Amine et Samy il faut qu'on se sert les coudes. On est que nous maintenant et on va s'en sortir. Samy!

Il me regarda et je lus clairement sur son visage la déception et la tristesse qu'il ressentait. Il me fit une grimace et ce mis à pleurer silencieusement. Les larmes me montèrent aux yeux et je me mis aussi à pleurer. Amine s'y mettant aussi. On pleuré to les trois Mama on pleurait ton départ pour la demeure de Dieu. P Dieu t'y avait préparé une place car il savait que tu étais trop bien pour cette vie. Mama merci de t'être sacrifiée pour moi, merci Mama. Tu c'est Ahmed et Sabri te réclame sans arrêt. Il faut que je leur disent que tu es allé rejoindre Dieu mais Mama je n'ai pas la force de le faire, de leur dire, de voire leur tristesse, leurs pleurs, leurs cris. Mama je n'ai plus la force de rien. Je veux te rejoindre. Mama je sais pas comment on va s'en sortir mais d'où tu es je t'en supplie garde un œil sur nous. Je vais voire ta soeur aujourd'hui Mama que Dieu nous l'apporte en aide.
J'étais à ce moment persuadé qu'elle n'entendait, qu'elle me voyait et qu'elle me comprenait.

Je me sentais toujours aussi mal, bien que les 4 dolipranes que j'avais pris tout à l'heure faisait un peu d'éffet sur mon mal de crane, j'avais toujours affreusement mal au ventre peut être plus qu'avant.

Le train finis par arrivé à destination. On trouva difficilement la sorti de la gare. Devant la gare il y avait pleins de monde, de taxi. On a attendait depuis 10 minutes quand je reçus un appelle :

Yacine: -Allo ouia t'es ou.

-Eh devant la gare à coté d'un vendeur de journaux.

Yacine: -Ah sayez jte vois, ah ouai mais toi aussi tu es habillais comme un mec.

il me raccrocha à la gueule je regardais autour de moi pour voire si je ne voyais quelqu'un avec un tel.

Quelqu'un pausa sa main sur mon épaule je me retournais et le vis Yacine.

Yacine: -Salam moi c'est Yacine c'est Fatma qui m'envoi, tu es bien Rahma ?

-Oui c'est sa.

-Et c'est petits bonhommes se sont tes frères.

Je lui fis un signe de tête. Il leurs donna une petite tape sur la tête.

-Bon venaient ma caisse est plus loin.

On le suivit en silence, les petits montèrent à l'arrière et moi à l'avant.