Partie 18

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***Suite****

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***Suite****

Après le départ de Yacine je me suis levée et je suis allié finir de préparer le sac des petits. Je récupérais dans la chambre de Amine et Samy quelques vêtements et quand je revins dans ma chambre pour les mettre dans le sac qu'on allait emporter, je suis tombais nez à nez avec Rayan.

- Tu vas quelque part.
- Je vous ai entendus j'étais dans le balcon à coté, je sais que les flics arrivent.

Il me regardait surprit sans rien dire, je rentrais dans ma chambre mis les vêtements dans le sac sur les armes et l'argent que je n'avais pas rangé correctement au fond du sac. Rayan poussa la porte de ma chambre et vint s'assoir sur le lit.

- Je peux te poser en ville si tu veux à la frontière même si ça peut t'arranger.
- Pourquoi tu es gentil avec moi.
- Je veux juste t'aider Rahma, ça t'arranges?
- Oui ça m'arrange. Merci.

Un petit silence s'installa. Il était assis sur mon lit et fixait ses mains. Il finit par casser le silencze en me disant:,

- Dans moins d'une heure, soyez près.

Il se leva et ce dirigea vers la porte mais juste avant qu'il sorte je lui dis:
- Merci Rayan.
Il se retourna me regarda et repartit.

Je me dépêcha de réveiller les garçons de les habiller et de les faire passer aux toilettes et à 3h on était assit dans la voiture.

Rayan finissait de mettre des choses dans le coffres. Puis on partit.

Au bout d'une demie heure de route on croisa un convoit de voitures de polices et de blindés qui allaient dans la direction opposée à la notre.

- On a échappé de peu me dit Rayan.

On roula encore une heure et demie puis on s'arrêta dans le parking d'une station service.

Les petits dormaient à l'arrière. Rayan sortit et alluma une clope. Je sortis aussi et alla vers lui. Il me dit.

- On est à 20 kilomètre de la France. Tu veux que je te dépose ou?
- je sais pas dans une grande ville
- Je passe par Lyon je te laisse là c'est bon.
- Oui ça ira.
- Tu as de l'argent?
- Oui un peu.
- Prend ça.
Il me tendis une liasse de billets de banque. J'hésitais un moment puis je finis par lui dire que je n'en avais pas besoin. Il insista puis voyant que je ne changeais pas d'avis il fit une grimace et rangea son argent. Un court moment de silence suivit qu'il coupa en se retournant vers moi et en me fixant droit dans les yeux.

- Pourquoi Rahma, pourquoi es tu comme ça?

 VIVRE ou MOURIR ( terminée )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant