partie 32

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Le sac finit par s'ouvrir et je pus aspirer de l'air glacé

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Le sac finit par s'ouvrir et je pus aspirer de l'air glacé. Ça n'était pas grâce à moi qu'il c'était ouvert.

Des gens étaient dans la caravanes et me frappaient. Je me sentis soulevée du sol et jetée à l'extérieur de la caravane. J'atteris dans la boue. Je commençais à prendre conscience de ce qui ce passait, on était en train de me tabasser. Je crue d'abord à un règlement de compte de la part de la bonne femme de toute à l'heure, mais j'entendis:

- Tu vas creuver Teddy.

Je compris alors que c'était pas moi qu'on venait chercher. Mais j'arrivais pas à m'exprimer les coups de pieds continuaient à me venir de partout, mon visage n'était pas epargné. Un coup de pied au ventre m'avait bloqué la respiration. Et un hoquet s'était emparé de tout mon corps. Je cherchais à respirer deseperemment. Les coups s'étaient arrêtés de pleuvoir.

L'air ne revenait pas et je commençais à m'asfixier. Dans un geste désespéré de survie je m'assis et me mis à tapper frénétiquement sur le haut de mon ventre. L'aire recommença à passer doucement dans mes poumons. Une vague de soulagement m'znvahie. Je recommençais à respirer doucement profitant de chaque inspirations. Quand je sentis que je n'étais plus en danger de mort mes yeux se levèrent et devant moi trois hommes me regardaient. Deux d'entre eux tenaient des barres de fer dans leur main. Je ne distinguait pas les traits des visages.

- Je suis pas Teddy murmurais-je.

Quand j'entendis mon murmur je pris conscience que je pouvais parler.

-  C'est pas moi, c'est pas moi, C'EST PAS MOI. JE SUIS PAS TEDDY.

Un homme s'approcha de moi et me mit le flache de son portable dans la gueule.

- Putain de merde c'est pas elle. Ris c'est pas cette meuf bâtard. Tu viens de niquer une inconnue.

- Quelle une inconnue elle était dans la caravane de l'autre pute.

Le mec avec son flach toujours braqué sur moi: Tu connais Teddy?

- Moi: Oui.

- Lui: Tu sais ou elle a mit la cam?

- Moi: Nan je sais pas de quoi vous parlez.

- Un mec avec une casquette: Lâche là Khalil elle a rien à voire la dedans.

Khalil: Tu sais pas elle est où?

Je fis un signe négatif de la tête.

Le gars à la casquette: Allez on dégage.

Ils montèrent sur des motos et disparurent dans la nuit.

Je retombais sur la boue fraiche qui me donnait un certain réconfort à ce moment. Mes yeux étaient lourd et douloureux ils se fermèrent et je tombais pour la énième fois de ma vie dans les pommes.

Quelqu'un était sur moi et me touchait partout. J'ouvris mes yeux, un homme était sur moi je le repoussais avec toutes mes forces. Mais cela ne devait pas valoir grand chose. Ces mains commençaient à aller sous mon tee-shirt. Je me mis à hurler de toute mes forces. Cela ne changea rien. L'homme arracha mon pantalon et l'inévitable ce produisit. J'hurlais à m'en défaire les poumons. Je chérchais à m'extirper de son emprise par tous les moyens, mais je n'y arrivais pas. La douleur envahie tout mon corp brutalement.

 VIVRE ou MOURIR ( terminée )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant