VIVRE ou MOURIR ( terminée )

Partie 43

Comme promis et avec beaucoup de joie je publie la suite. J'espère que ça va vous plaire bisou💟💟

« « « « « « « « « « « « « SALIM » » » » » » » » » » » » » »

Je ne pouvais pas fuir mon apparte plus longtemps, j'avais froid et très envie de nhess. Et puis qui j'étais pour avoir peur d'une meuf. MOI SALIM BEN...... j'avais la shouma d'une petite gamine.

Bien décidé à gravir ma peur qui m'avait forcé une bonne partie de la journée à traîner en bas des blocs. Je ne pouvais plus me mentir à moi-même cette petite me manquait affreusement. Je montais les escaliers 3 par 3 tourna la clés dans la serrure et entra, je pris un moment pour comprendre que Rahma avait fait le ménage, elle n'était pas enfermée dans sa chambre comme elle l'était la plus part du temps. Nan il y avait des bruits dans la cuisine, j'essayais de m'approcher sans faire de bruit pour voir ce qu'elle faisait et ce que je vis me laissa sans voix. La miss était assise droite sur une chaise, une boîte de mayonnaise à la main, son autre main avec une cuillère faisant des allées retours entre sa bouche et la boîte. Je ne pouvais pas la laisser faire plus longtemps et quand je m'approchais d'elle pour la lui arracher elle recula en me dévisageant.

- Laisse-moi tranquille, me dit-elle en éloignant la boîte de moi.

- Rahma il t'arrive quoi ? Pourquoi tu manges de la mayonnaise comme si c'était une Danette.

Elle me fixa un long moment puis elle regarda ce qu'elle tenait dans la main, puis délaissant sa boite presque vide de mayonnaise elle mit sa tête dans ses bras.

- Rahma tu as faim ?

Tout d'un coup j'eu très honte de ma question car la réponse était évidente alors cherchant à réparer ma connerie je lui dis :

- Ca te dirais que l'on commande des pizzas,

Elle me regarda et me sourit, c'était la première fois que je la voyais sourire. E Masha Allah elle avait vraiment un beau sourir.

Elle me fit un petit ok de la tête et je partis dans le salon appelé je commandais deux pizzas, elle me rejoignit après un petit moment et elle s'assit à côté de moi sur le canapé.

Je n'avais pas vu le salon aussi propre depuis des années et tout ça grâce à ma petite Rahma, il était évident pour moi que je m'attachais à elle, pourtant quelque chose chez elle me troublait. Le souvenir de son petit corps chaud contre moi me hantait depuis des heures, et l'avoir maintenant si près de moi n'arrangeais pas la situation. J'allumais la télé pour combler le silence qui s'installé entre nous et la rendait je pense mal à l'aise. Elle semblait avoir changé du tout au tout en une journée, elle mangeait, souriait, se lavait, elle rangeait même la maison. Cela se pouvait-il qu'elle reprenne goût à la vie. Je la revoyais collée à moi son corps tremblant et traversait de hoquets, j'étais complètement trompé de ses larmes et pourtant je voulais qu'elle continue, que je sois la personne sur laque elle pouvait se consoler, et moi à côté de ça pour une vielle meuf je pleuré, hchouma. La fille qui fixait ses doigts à côté de moi sembler avoir tellement souffert, Yassine m'avait racontait son histoire en transversale et sans même la connaître à ce moment là j'avais ressentis une immense peine pour elle, rajoutais à ça trois mois où je la cherchais partout, mais à ce moment là je n'aurais jamais cru que s'était une telle personne que j'allais rencontrais. Je mourrais d'envie qu'elle se confit à moi, qu'elle me raconte tout. Je voulais la serrer dans mes bras et la consoler encore et encore, j'étais en train de m'attacher à elle cela ne faisait aucun doute.

Je frémis et lui jeta un regard, elle était toujours plongée dans la contemplation de ses doigts. Alors je restais à la regarder. J'étais comme incroyablement choquée par sa beauté s'était incroyable, je ne sais pas ce qui m'arrivait, la miss remarqua mon regard sur elle et je la sentis gênée alors à regret je détournais le regard.