Partie 41

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Désolée pour cette longue absence, je n'avais pas vrm le temps d'écrire mais je vais reprendre le fil insha Allah. 💟

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J'en avais rien à faire, j'etais préoccupée par Salim. Voudrait-il encore de moi? Je montais rapidement les éscaliers trois par trois et j'arrivai devant la porte férmée.

Et si il refusait de m'ouvrir?

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Je me souvins alors que j'avais les clés dans une des poches de mon jeen. Il était trop tot pour que je rentre maintenant.

Je m'assis sur un banc dans le détour d'un parc. Ici j'étais trankil pour un moment au moins.

Je mis ma tête dans mes mains et je plongais dans mes pensées. Absorbée je ne vis pas le temps passer et quand je relevais la téte la nuit était tombée. J'étais plongée dans une sorte d'd'hébetement.

Un vent glacial me fit sortir de la profondeur de mes pensées. Je n'avais aucunes idée de l'heure oû meme du jour ou encore du mois oû l'on était. J'étais perdue complétement perdue. Je serrais quelque chose dans mes mains. Je descendis le regard et je vis les clefs.

Comme une morte vivante je me trainais jusqu'a l'appartement.
Je voulais juste m'effondrer quelque part oû on ne pouvait pas me faire de mal.

Sans trop savoir comment je m'étais débrouillée pour rentrer, je tombais sur mon lit toute habillée et m'en alla dans un profond sommeil. Qui pour quelques heures me donnerait du répit.

Je fus réveillée par des coups donnés dans ma porte. Prise de panique je me levais et j'attrappais le couteau sous mon oreillée.

- C'est Salim, ouvres.

Je pris quelques minutes pour digérer l'info. Je remis le couteau à sa place.

~ Rahma je veux juste parler.

Sa voix était entrecoupée de sanglots.

Je me dirigeais vers la porte et j'ouvris le loquet.
Il tourna la poigné et apparut devant moi. Il faisait vraiment sombre et je ne le voyais pas bien. Il alla s'asseoir sur mon lit et se mit à pleurer très fort comme un gosse.

Je ne comprenais rien et je ne pouvais pas gérer maintenant Salim. J'étais moi même dans un état plus que déplorable.
Je voulais juste me rendormir. Mais Salim était dans mon lit en train de renifler. La situation me parut tout d'un coup complètement ridicule et je pus m'empêcher d'exploser de rire. Un rire histérique

Salim releva la tête vers moi et sans que je ne sache vraiment pourquoi je me m'avancais vers lui

Je suis donc allée m'asseoir à coté de lui et je l'entendais pleurer encore et encore. Puis je pris conscience qu'il me parlait. Je comprenais rien.
J'etais moi même pas bien du tout et l'entendre pleurer n'arrangé rien. Il entoura ces bras autour de moi sans que je m'y attende et je n'eu pas envie de m'enfuire au contraire il me rappelait les petits frères et leurs crises de larmes. Une vague de tristesse s'empara alors de moi. J'avais tout fais pour ne pas penser à eux depuis des mois. Mais là le souvenir de leurs petites tétes blotties contre moi à la recherche de réconfort finis de briser mon coeur. Et la téte enfuie dans le coup de Salim je me mis aussi à sanglotter en silence.

 VIVRE ou MOURIR ( terminée )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant