""Yassine, prend mon journal et tu comprendras comment j'en suis arrivée là. Je t'en suplie veille sur eux et ne les laisse pas mourrir. Je crois que ma vie s'arrêtera bientôt mais ne soit pas triste mon amour, ne soit pas triste.""
Vu à 12h30
Bonne...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Dehors il faisait presque nuit. J'étais à Lyion une ville qui m'était complétement inconnu. Les gens rentraient du travail. Des groupes d'amis étaient sur les terrasses des cafés. Ils parlaient, rigolaient. Ils avaient l'air d'être heureux. Je les anviais.
Je ne savais pas où aller. Ça n'était pas nouveau. Cela devenait une habitude.
*******
On pourrait dans une moindre mesure résumer ma vie à cela: " La fille qui ne savait jamais où aller mais qui arrivait toujours quelque-part "
J'avais finis par entrer dans un café, je m'étais assise au fond et j'avais commandé un café. Cela faisait deux heures ou trois que j'étais là, j'essayais de faire passer le temps comme je pouvais.
J'écoutais les conversations des gens, je regardais la télévision. Le café m'avait donné un peut de force. J'étais fatigué mais je n'avais plus autant envie de m'affaler sur la table et de m'en dormir. Pour ma sécurité je ne pouvais pas me permettre de dormir.
J'allais au toilettes me rafraichir un peu. Elle était propre et parfumée. J'avais limite pas envie de rentrer dedans, ma szule présence suffisait à les salir et à changé l'odeur.
Un grand miroir m'envoyait mon portrait en pleine face. Pour la première fois de ma vie je sursautais en me voyant moi même.
J'étais horrible, mon visage était d'une pâleur extrême. Des cernes creusés et noire descendaient jusqu'à la moitié de mes joues. Mes os étaient apparant, mes yeux injectaient de sang me donné l'air d'une droguée. Mes vêtements sales et usés me donnaisyq l'impression s'être une clocharde.
Ce que j'oubliais à ce moment c'est que j'en étais presque une.
Mais j'avais le morale cette nuit la et je redoutais de me voire dans un mirroire depuis un moment. Je m'y étais presque préparée.
Je me lavai le visage avec de l'eau fraîche. Je rattacha mes cheveux correctement et je sortis rapidement ne supportons plus mon portrait.
Vers 3h du matin le barman demanda à un groupe d'homme de s'en aller. Il allait fermer le bar. J'attendais que le groupe sorte pour me lever.
Je me retrouvais dans la rue. Il faisait maintenant vraiment froid et le sweet que j'avais était trop légé. Oh Lilia tu aurais pue me mettre une veste.
Lilia mais oui c'était là-bas que je devais aller. Le souvenir de l'argent que j'avais ammassé me revint alors. Comment j'avais pu oublier ça, je pourrais recommencer ma vie avec cette argent puis quand ça sera possible je ferais une demande pour entre la tutrice de mes frères.
L'endroit où je devais allée devenait clair. Je devais allé récupérer cette argent.
Je me rappellais vaguement de la ville où habitait Lilia. Elle ne devait pas être très loin de Lyon.
J'allais à la gare ou je cherchais un plan de Lyon et sa banlieue. Je le trouvais, je cherchai la ville de Lilia que je trouvais aussi. Très bien je prendrais le premier train qui ira là-bas demain.
Je me posais sur un banc et commençai à somnoler. À un moment, je sentis une main dans mon dos. Je sursautai et fis volte face.
