Chapitre 44

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Moi qui pensais être intouchable, je me trompait. J'en ai pour 15 ans de prisons et ça, c'est que le début, mon procès prochain procès est dans 15 ans et ça se pourrait qu'on rallonge mon séjour en prison mais je ne resterai pas plus d'un mois dans ce trou à ras. En effet, ça ne fait qu'une minute que je suis dans cette prison et j'ai déjà l'intention de m'évader. Je ne resterai pas plus qu'un mois dans cette prison, il me faut juste le temps de faire un plan, de trouver toute les portes de sorti et de trouver des personnes qui veulent partir avec moi. Je sais que cette prison regroupe les plus dangereuses personnes des Amériques, c'est presque un honneur pour moi. La plupart des personnes de cette prison sont des hommes. Ils sont pratiquement tous des chefs de gangs et je me doute bien qu'ils ont déjà essayer de s'évader mais ils ne connaissent pas la façon de Frankenstein.

Je suis ici pour le meurtre d'un gang mais pas pour avoir tuer et dealer de la drogue et des armes. Ils ne savent pas qu'ils ont attraper Frankenstein et ça, c'est un avantage pour moi, ils pensent que je suis faible mais en fait, je suis la personne la plus forte de cette prison. Malheureusement, je n'ai aucun contact de l'extérieur. C'est pour cette raison qu'il va falloir que je me fasse quelque petit ami. Tout le monde est prêt à être amis avec tous le monde pour pouvoir sortir d'ici.

J'entra dans la prison tête baisser et plus je marchais plus je relevais la tête. 2 policiers m'amenèrent dans la cafétéria où je dus faire la file pour avoir un plat contenant des patates liquides, des petits pois et un petit morceau de viande qui me semblait être de faible qualité. Je m'installa à une table libre et je commença à manger. Les patates ne goûtaient rien et la viande était tellement petite qu'un bébé ne pourrait même pas s'étouffer avec. Les petites pois étaient la seule chose qui goûtait la même chose mais je n'aime pas les petits pois.

Au loin, je voyais un gars me regarder. Il avait l'air d'être le boss. Une gang de gars étaient installés à l'entoure de lui et les autres gars ne fessait que je regarder ce qu'il fait. Je fini de manger, je mis mon plateau par-dessus les autres et je parti me promener dans la prison. Je savais qu'il y avait une salle d'entraînement et peut-être une salle de boxe. Pour l'instant je voulais seulement trouver le niveau de sécurité de la prison pour savoir à quoi m'en tenir. Il y avait 2 gardiens a l'entrée de la cafétéria et environ 5 gardiens qui rodent dans les couloirs. Les gardes n'avaient pas l'air de ce soucier qu'un prisonnier passe dans les couloirs ce qui étaient assez bon signe. Je marcha pendant une minute avant d'arriver à la salle d'entraînement qui servaient aussi de salle de boxe. Si on marchait un peu plus, il y avait une porte, je n'ai pas pu me rendre à celle-ci mais je me doute bien qu'elle sera entouré de grille. Je commença à frapper dans un sac sans gant jusqu'à ce que quelqu'un entre. En temps normal, je ne me serais pas arrêter mais j'ai perdu mes repères en entrant ici. Il s'avérait que le gars qui me regardait un peu plus tôt dans la cafétéria venait d'entrer, il s'approcha de moi jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'un petit centimètre et là, il dit.

Lui- Je suis le boss ici. Si tu ne l'as pas remarquer, tout le monde fait ce que je leur dis et ce n'est pas une petite fille comme toi qui va défier mon autorités. Je ne sais pas ce que tu as fait pour te ramasser ici mais arrête de te prendre pour quelqu'un d'autre parce que je vais te faire redescendre de ton pied d'estrade, princesse.

Moi- Tu vois, ça fait que 5 minutes que je suis arriver et t'as déjà peur que je prenne ta place. Faut croire que mon "pied d'estrade" est trop haut pour que tu puisses me faire tomber, quel dommage!

3 autres gars entrèrent dans la salle, l'un d'eux s'approcha de nous et "le boss" s'éloigna. Alors, il allait tous me faire la morale un par un, quelle belle accueille!

Gars1- Et en plus elle tient tête au boss la petite. Elle ne connait pas encore notre monde, hein ma jolie?

A ce moment, je vis 2 gardes nous regarder de l'autre côté de la porte. En temps normal, je lui aurais mis mon poings au milieu de la face mais les gardes n'attendaient juste que je fasse un faut pas pour pouvoir aggraver ma peine. Ils se doutaient qu'une personne ne fait pas que tuer 50 personnes d'un coup et que ça s'arrête là mais j'avais fait un faux pas dans vie et je n'allais pas en faire un deuxième lorsque je ne me suis même pas relever de mon premier. Je suis tomber tellement bas.

My two lifes [en correction] [terminer]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant