Chapitre 18

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PDV Amélie

Quand j'avais vu les premiers signe d'une crise d'angoisse arrivé j'avais pris peur et j'avais été tellement blessée. Elle avait fait une crise d'angoisse par ce qu'elle veinais habiter chez moi. Lui faisais je peur ? Je me mordu l'intérieur de la joue. Elle avait changer. Elle était une autre personne. Elle était autant fragile que forte . Elle avait ses moments d'impulsions comme elle pouvait avoir ceux de faiblesse. J'avais tellement peur qu'elle me rejette. Quel ne veule plus de moi. Et ma peur avait été confirmer quand elle m'avait demander de la laisser tranquille. Ce rendait elle compte d'a quel point tout ceci me faisais mal . Ce m'était elle à ma place . Imaginait elle que cela faisais près de 3 ans que je lui courait après. Que moi aussi j'avais souffert. Qu'elle n'avait arrêter de revenir vers moi pour mieux repartir et une fois de plus m'abandonné. Et pourtant je ne lui en voulais pas. Par ce que je savais que moi aussi je l'avais faite souffrir et que j'était la cause de tout ses malheures. Je ne cessais  de me répéter qu'il fallait que je parte, en vain. Je l'aimais... Je l'avais dans la peau et ça jusqu'as ma mort. Je le savais, je l'avais toujours su. Je n'en revenais pas qu'elle se serve de mes sentiments... Je n'en reviens toujours pas. Mais je la comprenais. Je m'était mise à sa place. Alors j'avais décidé une chose. J'allais la reconquérir. Je savais qu'il restait quelque chose au fond elle. Je savais qu'elle m'avais elle aussi dans la peau. Coma ou pas. Perte de mémoire ou pas. Rien ne peut effacer l'amour. Rien...même pas la mort. J'allais la laisser. J'allais arrêter d'être trop proche et trop impulsive. Le problème était ma jalousie maladive. Ça avait toujours été aussi. J'était même jalouse de son frère beaucoup trop proche d'elle a mon goût. Je savais que c'était bête. Mais je n'y pouvais rien . Quand elle avait accepter le pacte. Un nouvelle espoir était né en moi. Une nouvelle Amélie allais naître. Pour elle...pour nous . J'était sortie de sa chambre directement après qu'elle est accepter. J'avais eu envie de l'embrasser juste pour celé se pacte mais m'était retenue. Je m'était promise une chose et je compter bien tenir cette promesse aussi dur l'air soit la tâche. Le plus gros problème que j'avais été son frère. Je ne savais pas si il était encore amoureux de moi. Je n'en avais pas l'impression mais je ne voulais pas le quitter. El' ne voulait venir chez moi et même si elle avait acceptèrent le pacte je savais qu'elle sauterait sur l'occasion pour ne pas venir. Il en était hors de question. Pourtant je savais que si je ne le quittai pas, El' ne sortirai jamais avec moi. Là encore je la comprenais. Elle était beaucoup plus proche de son frère maintenant. Avant elle le détester. Elle recentrait une certaine jalousie envers lui. Par ce que à ses yeux il était parfait et elle n'était rien. Ça me fait mal de repenser à cette époque.
Je le souviens de cette El détruite.

Flashback :

J'était installé dans le lit de Eĺ. Il était 3 heures du matin et nous étions en plaine hiver. Marie était partie en pleurant comme à son habitude et en s'apitoyant sur son sort. Je détester cette fille. Déjà elle se taper Ma Élisabeth mais en plus elle était insupportablement égoïste. Je ne savais comment El' pouvais la supporter et franchement je doutait qu'elle y arrive vraiment. Elle était juste un moyen de se venger de moi. Je soupira. Je m'inquiétais énormément. Je ne savais jamais comment El' aller rentrer ni qu'elle face de sa personnalité remercie surgir. En parlant du loups. J'entendu quelqu'un renifler dans les escaliers. Ce bruit me brisa le cœur. Elle entra. Ha l'époque, elle avait les cheveux blond. Celle faisais parfaitement ressortir ses yeux. Ses cheveux était tous emmêler. Le mascara voulais de sous ses yeux. Elle me faisait tellement de peine. Ses yeux était remplis de larme. Je détester voir se jolie yeux rouge. D'ailleurs, il était beaucoup trop rouge pour que ce soit uniquement à cause de ses larmes et ses pupilles était beaucoup trop dilatée. Elle c'était encore droguée. Son pantalon noir trouer était sale et ses genoux était égratigné. Sa chemise était à moitié ouverte , on voyais la moitié de son ventre et de sa poitrine. Je ressentit un pointe de jalousie en pensent que des autres que moi avait plus la voir ainsi mais je me dit que ce n'était pas le moment. Elle empester l'alcool et la cigarette. Je la fis s'allonger sur le lit . J'avais tellement l'habitude que mes gestes était machinale. Elle ne se mutile pas encore à ce moment là. Elle était endroits vêtement devant moi. J'examina son corps et j'observa aucune trace suspecte à mon grand bonheur. Je désinfecta ses plaies et lui passa un t-shirt trop large. Puis elle toute en fixant le plan fond elle se mis à parler. Je savais qu'elle n'était pas tout à fait la et que dès le lendemain elle aurait oublier cette soirée.

-je suis tellement nul, commença-t-elle, un déchet humain

-ne dit pas ça lui dis je en la prenant dans les bras avant de me glisser dans les draps avec elle

Elle avait son visage dans mon cou et je sentais ses larmes y ruisseler.

-personne me m'aime. Je ne suis rien pour personne

-moi je t'aime

-c'est faux ,dit elle en secouant la tête frénétiquement et exagérément, je suis juste ton plan cul . Une putain de pute à tes yeux. Je suis un jouet pour toi. Un pantin bon qu'as baiser. D'ailleurs je suis bonne qu'as ça, baiser.

Mon cœur se brisa en mille morceau. Comment pouvait elle penser ça d'elle. Comment pouvait on arriver à se haire autant ?

-je t'aime tu le sais lui dis la voix effacer

-nan, tu aime mon frère. Il est tellement parfait . Il a des amis géniale, une petite amie et il a de bon résultat à l'école. Tu sais je l'admire autant que je le déteste. Moi je suis la risée de la famille. Heureusement qu'il es la pour rendre fière maman et Fred.

-El'. Ils sont fière de toi aussi. C'est juste que tu travers une mauvaise passe en ce moment.

-je ne sert à rien, continua t'elle comme ci je n'avais rien dit, je veux mourir. Amélie tu m'aime ? Tue moi. S'il te plait. Je ne supporte plus la vie . Je n'est aucun avenir.

Des larmes commencèrent à couler

-dit pas n'importe quoi dis je ma voix craquant

-tu voix je te fait souffrir toi aussi . Pourquoi tu reste avec moi ? Tu sais que je suis une merde . Rien je ne te rattache à moi. Je n'es pas de futur Amélie . J'suis un putain de déchet bon à foutre à la déchèterie.

Puis elle éclata en sanglot et répéta "je veux mourir" avant de s'endormir dans mes bras.

Mais avant elle m'avais chuchoter  une chose qui m'avais aussi  tôt  réchauffer le cœur : " j'suis peut être une merde humaine mais ne doute jamais de mon amour pour toi. Je t'aime tellement Amel'

J'avais pleurer pendant un certain temps et avait dessiner El' telle que je la voyais maintenant . Les yeux gonfler, les cheveux décoiffer mais un sourire au lèvre.
J'avais ensuite était me coucher et le lendemain. Comme je l'avais prédit El' ne se souvenait de rien . Je m'était toujours demander si elle ne me menteur pas . J'avais toujours eu un doute la dessus

Fin flashback

Quelque larmes coulèrent de mes yeux à se souvenir douloureux mais je les fit rapidement disparaître. Tout ça était du passé, du moins je l'espérais.

life backOù les histoires vivent. Découvrez maintenant