life back

Chapitre 24

PDV Amélie

J'étais dans la salle de bain. Ça faisait longtemps que je n'étais pas venu ici ayant passé presque la totalité de cette année chez les parents d'Elle . Ils m'avaient beaucoup aidé même s'ils n'en étaient pas conscients.
Je fixais le miroir. Il était brisé. Il avait été briser par El' lors de notre dernière dispute ici. Elle avait été vraiment violente. Je pense que c'était une des pires que l'on est eut.
Les jeux de moi et El' avaient toujours été de se rendre jalouses l'une l'autre. À vrai dire je ne l'avais jamais vraiment trompé alors que je savais pertinemment qu'elle ne se gêner pas pour le faire. Je ne l'ai jamais trompé sauf ce jour-là.
El était rentré pour me faire une surprise, à vrai dire je savais pertinemment qu'elle rentrerait. À ce moment-là, plus rien allez. Je me sentais mal et j'avais un peu lâcher Eĺ' . Je l'aimais toujours mais elle était de plus en plus distante....

Enfin ce jour-là, elle avait pété un câble. Le plus gros câble que je n'ai jamais vu. Elle m'avait faite tellement peur.

Flashback

J'avais fait partir la fille avec qui j'avais trompé El'. Je m'en voulais tellement je ne savais pas ce qui s'était passé dans ma tête. Mais je voulais juste me venger d'elle. Je m'étais dit qu'après tout elle vivait une relation en parallèle à la nôtre.
Dans l'appartement régnait une tension considérable. J'étais assise dans le canapé et fixé Élisabeth. Celle-ci était dos à moi et ses bras étaient croisés.
J'avais un peu peur je savais qu'elle va gueuler. Je sentais sa colère irradier jusqu'as moi mais j'avais tout de même un sourire aux lèvres. Après tout ça avait toujours été ainsi entre elle et moi. Je l'aimais et elle non. enfin, Élisabeth m'aimait peut-être mais elle ne savait ce qu'était l'amour. Après tout ce n'était encore qu'une gamine. Elle ne pensait qu'à jouer contrôler par ses hormones
Mon cœur fit à bond dans ma poitrine quand je l'entendis renifler. Elle pleurait . Élisabeth pleurait . Nan c'était juste impossible.

-Élisabeth dit je inquiète en me levant rapidement du canapé.

-quoi me dit elle en essayant de cacher son état.

Mais je sentais déjà son souffle se couper et je voyais qu'elle n'allait pas tarder à faire une de ses crises.

-Retourne-toi dit je calmement

-nan

Je me précipitai vers elle et la retournai d'un coup. Ce que je vis me brisa le cœur. J'avais déjà vu El' dans des états impossibles mais là. Je ne savais pas trop ce qui changer mais il y avait quelque chose. Quelque chose qui me fit extrêmement mal. Comme si on avait pris mon cœur et on s'amuser à le torturer. je regrettai directement ce que j'avais pensé quelques minutes aux parts avant. Serait-il possible qu'elle se soit rendu qu'elle m'aimait ? serait ce possible qu'elle ne veille plus à jouer ?

El avait les yeux et les lèvres rouges. Dès ses yeux perlaient des larmes. Des larmes de souffrance. Je ne comprenais plus.

-Élisabeth pourquoi tu pleures

Elle secoua la tête, la baissa et partit vers notre salle de bain.
Je la suivis en criant après elle, désemparer.
Elle se figea devant le miroir.
On resta ainsi pendant quelque temps. Elle fixant son reflet et moi la regardant sans savoir quoi faire.

-je ne sais plus quoi faire me dit-elle sans émotion

-Explique-moi El'

je voulais la comprendre. Je réussissais pourtant à la percer à jour d'habitude.

-je ne sais plus quoi faire, j'ai essayé de t'oublier Amélie. Tu sais avec Marie. Je l'aime. Elle est parfaite. Elle m'aime, elle me connaît par cœur et elle passe son temps à me dire je t'aime. Elle m'à fidèle. Elle est vraiment jolie et bordel ce que je l'aime. Ses yeux, son regard. Tout chez elle me plaît. Elle ne joue pas. Elle m'aime pour ce que je suis tu sais. Elle m'aime avec mes défauts. Elle m'aime même quand je pète des câbles, quand je veux me couper les veines, même quand je la traite comme un merde. Elle m'aime plus que jamais personne ne pourrait m'aimer.
Entendre tout ça me briser le cœur. Moi aussi je l'aime. Moi aussi je la supporte dans ses pires moments. Ne me voit elle que comme la fille qui la fait souffrir ?J'allais partir. La laisser là. Des larmes commençaient à couler. Ça faisait affreusement mal. Mais elle continua son monologue.
-et pourtant, je n'y arrive pas. Elle se retourna vers moi en me regardant dans les yeux. Pourquoi Amélie ! Putain sort de ma tête. Pourquoi je suis tombé pour toi ? Elle est si parfaite et pourtant...elle n'est pas toi. Je l'aime mais pas autant que je t'aime toi.
Elle serra les poings. Que ce que tu m'as fait Amélie. Pourquoi à chaque fois que je la vois je pense à toi ? Pourquoi est ce qu'à chaque fois que je fais un pas tu es là, dans ma tête. Elle m'a reconstruit près que tu m'aies brisé. Elle m'a fait retrouver le goût à la vie. Mais elle n'a pas ton odeur, elle n'a pas ton passé, elle n'a pas non plus ta façon de me toucher ni tes mots pour me réconforter. Je l'aime comme une folle mais je suis tellement accro à toi que s'en est insupportable. Ça me tue, ça me consume de l'intérieur.

J'essayai de m'approcher d'elle. Mais au moment où j'allais la toucher. Elle hurla.

-je te déteste tellement... Je te déteste autant que je t'aime putain. Je n'en peux plus.

Elle donna un coup de poing dans le miroir le brisant en mille morceaux. Des morceaux de verre c'était incruster dans sa main et du sang dégoulinant de celle-ci.
Elle se mit à genoux. Mettant du sang sur le carrelage blanc. Je voulais m'approcher d'elle pour la soigner et la prendre dans mes bras.

-j'ai essayé de m'éloigner de toi. J'ai essayé de te sortir de la tête. J'ai essayons de t'oublier avec elle. Tes défauts, tu les fautes, ton goût pour les autres. Tout ça. Mais tout ce que j'ai fait c'est déverser ma colère contre elle. Je l'ai fait devenir comme moi. Tout à basculer. Elle est accro. Elle va souffrir et tout ça a cause de moi. Je ne veux pas Amélie tu comprends . Je t'aime. Je t'aime tellement que je pourrais en crever et pourtant... Marie est là. Je ne peux pas la voir souffrir. Je préfère être malheureuse toute ma vie. Je veux que Marie soit heureuse. Je ne veux pas qu'elle devienne comme moi. À courir après quelqu'un qu'elle ne pourra jamais avoir. À déprimer. Si tu savais comme je veux crever. Si tu savais comme je me hais.
Je suis désolé, c'est fini...

Elle se leva. Elle me quittait . Élisabeth m'a quitté...

-nan hurlait je en larme la rattrapant pas les poignets.

-fou moi la paix Amélie. Va te taper qui tu veux. C'est plus mon problème. Tu avais qu'as compris que ça avait dépassé le stade du jeu depuis longtemps. Je ne joue plus tu comprends . Vas-y fait cocu mon frère autant que tu veux mais laisse-moi tranquille.

-je t'aime lui dis je

-Ferme-la-me dit-elle sèchement

-mais c'est vrai...

-c'est ce que tu essayes de te faire croire. Mais regarde les choses en face Amélie. Tu ne peux pas aimer quelqu'un. Tout ce qui t'intéresse c'est baiser. Je veux plus être ta pute personnelle.

Elle courut vers la porte

-Élisabeth s'il te plaît

-adieu me dit-elle avant de claquer la porte

Après son départ je m'étais écrouler au sol. Je l'aimais pourtant tellement. Ce n'était plus un jeu pour moi non plus. Mais je pensais qu'elle aimait ça. Je m'étais dit que je pouvais passer au-dessus du sentiment pour elle. Je ne connaissais rien de ce bordel qu'était l'amour. Je ne savais pas comment communiquer avec elle. Comment n'avais pas je plus remarquais qu'elle s'éloigner de moi ? Comment avais je pus la laisser partir.

Fin Flashback

C'était la pire période de ma vie. Après ça c'était enchaîné une suite d'événements. Je l'avais récupéré pour la perdre ensuite.
Je soupirai en remarquais que des larmes voulaient sur mes joues. Ça me fait encore si mal. Je me relevai en me promettant de réparer ce miroir de malheur. J'allais aller dans mon bureau pour continuer à écrire un peu quand mon portable sonna.
Le nom de Liam apparut. Que pouvait-il bien me vouloir ?