Chapitre 46

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Amélie se mit en tailleur devant moi. Je voyais toute la peur et l'angoisse dans ses yeux. J'avais attendu ce moment pendant plusieurs semaines et maintenant qu'on y était j'avais peur.
J'inspirai.

-Je me suis toujours senti coupable. Je t'avais déjà expliqué qu'un jeu s'était installé entre nous, non . On se rendait jalouse l'une et l'autre. On était censées coucher avec des gens. C'est ce que tu faisais, je pense... J'ai couché avec une seule personne à part toi. Et puis, après cet épisode, tu t'es mis avec Marie. Tout allez bien jusque-là. Mais tu es tombée amoureuse de Marie. Tu tenais tellement à elle. Le problème, c'est que tu étais amoureuse de moi aussi. Tu m'aimais, mais tu pensais que je jouais avec toi et en même temps il y avait Marie. Marie qui avait toujours été là pour toi. J'ai eu l'idée d'écrire se livre, pour te prouvait mon amour envers toi. Je t'ai rendue confise sans le vouloir. Tu étais amoureuse de deux personnes. Une que tu désirais plus que tout mais qui te faisait souffrir et un qui t'ennuyer mais à la quel tu tenais. Tu m'as dit que tu voulais qu'elle soit heureuse et peu importe si toi, ça te tuait alors tu ma quitter. Tu es devenu de plus en plus accros à toutes ses merdes. Tu disais que tu te sentais mieux, que tout était plus simple. Il y avait Liam aussi. Si j'ai commencé à sortir avec lui, c'est dans le seul but de me rapprocher de toi. Le problème, c'est que tu ne voulais que je le quitte. Tu le haïssais par ce qu'il était un des murs qui se dressaient devant notre amour mais en même temps tu ne voulais pas le faire souffrir par ce que tu tenais à lui. Tu as fait plusieurs tentatives de suicide. Et à la 3e, on a décidé de t'interner. Ça a été 2 mois de souffrance pour toi. Je ne pouvais pas tenir plus de 1 semaine sans toi. Quand tu es sortie, moi et les autres, on a insistait pour que tu viennes à une fête. On s'est dit que c'était pour fêter la nouvelle Élisabeth. J'avais eu le temps de réfléchir. Je voulais arrêter toutes ses conneries. Oui mais voilà, j'ai voulu qu'on parte. J'étais triste et tu voulais me réconforter.

Flashback

-je t'aime dis je à Amélie, je ne veux plus jamais qu'on soit séparé. Viens on se tire. Juste une soirée, loin des problèmes. On reviendra demain matin.
Je suivis Amélie qui montait dans sa voiture.
Il faisait nuit dehors. L'air était chaud. La route était complètement déserte et noire. Je mis de la musique à fond. Je voulais toute oublier. Ce qu'avait été ma relation avec Amélie. Je l'aimais plus que tout et c'est tout ce quo comptait.
Je voyais Amélie appuyait de plus en plus sur l'accélérateur. La vitesse augmentait de plus en plus. Elle grillait tous les feux et ne faisait attention à rien.
On avait conscience que c'était dangereux mais on s'en fichait.
On voulait juste être libre, fuite nos problèmes et cette putain de ville qui n'avait causé que des problèmes.
Je voulais même disparaitre. Si seulement c'était possible. Faire croire à tout le monde que l'on est mort. Mais on ne pouvait pas, par ce qu'il y avait Marie, Jaden, James, Liam et tout le reste.
La nuit, c'est mon moment de la journée préférer. C'est le moment où je peux montrer à Amélie que je l'aime. La journée, on fait semblant et la nuit on est enfin nous. Nous sans aucun problème.

Je relevai les yeux quand tout d'un coup j'entendis des bruits de roues, des crie et un bruit sourd.
Je me retrouvai par terre dans l'herbe fraiche. J'avais mal à la tête et je luttais pour ne pas fermer les yeux. Un liquide chaud coulait le long de mon front. Au-dessus de moi, il y avait la nuit étoilée. Je fixais la lune qui devenait de plus en plus floue.

-Élisabeth, mon amour je t'en supplie reste avec moi. L'ambulance arrive. Ne ferme pas les yeux, je t'en supplie. Je t'aime tu comprends . Accroches-toi.

Son visage se positionna au-dessus du mien. Je lui souris. Je voulais ne lui dore que tout aller bien que moi aussi je l'aimais. Mais tout ce Mis à tourner autour de moi et c'était de plus en plus difficile de ne pas fermer les yeux. La dernière chose que je vis était Amélie me répétant qu'elle m'aimait.

Après tout est flou. Du noir et des voix lointaines. C'est tout ce dont je me souviens.

Fin flashback

Amélie était devant moi en pleure

-Si tu savais comme je m'en veux. J'ai essayé de sortir de ta vie parce que c'était mieux pour toi mais je ne pouvais pas. Tu es tout pour moi.

De mes yeux coulaient aussi des larmes.

-je comprends si tu ne veux plus me parler.

Je fronçai les sourcils, ne plus lui parler . Pourquoi

-pourquoi ne voudrais je plus à te parler.

-par ce que tout est de ma faute. Parce que si on en est là c'est a cause de moi.
Je n'avais jamais entendu quelques choses d'aussi débile

-on est toutes les deux fautives. On a un peu détruit tout le monde autour de nous juste par ce qu'on était des gamines qui ne connaissaient rien à l'amour. La cause dz nos problèmes c'est nous. On sait créer des embrouilles nous-même. C'était tellement simple pourtant mais il a fallu que l'on envenime tout ça. Mais maintenant tout ça est fini. On est libre. On n'a plus aucune obligation. Il y a juste toi et moi. On peut enfin tout recommençait à zéro. Comme si le passer n'existait pas. La passer est une leçon à retenir. On ne fera plus les mêmes erreurs maintenant.

Amélie souriait devant moi. Elle avait se sourire Bea aux lèvres.

-si tu savais depuis combien de temps je rêve d'entendre ça.

Elle m'embrassa. J'aime ses lèvres. J'aime leur goût. Elles sont douces.

-je t'aime dis je

-je t'aime répéta Amélie

Je pris le livre en main.

-je t'ai écrit des lettres quand tu étais dans le coma. Si tu le veux, tu peux mes lires.

Je hochai la tête.

-pas aujourd'hui. J'ai eu assez d'émotion aujourd'hui comme ça.

Amélie rigola.

On passa la journée ensemble à rigoler. J'étais bien. Je me sentais enfin heureuse et complète depuis tellement longtemps.

life backOù les histoires vivent. Découvrez maintenant