« Stupide cowboy ! »

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Le cowboy souris, séduisant à l'archer en face de lui. Celui ci, ne lui rendis pas son sourire, mais un rictus coléreux, et lui dit, sèchement.

« Cesse de me regarder comme ça, stupide cowboy. Le " cowboy " rigola, et lui fit un clin d'œil.
— Je n'y peux rien si mon cœur bat follement pour toi, chérie. Surtout dans cette position ! En effet, ces deux là étaient enfermés dans une boite, bien trop petite pour eux deux.
— Arrête de m'appeler " chérie " comme si je suis une femme !
— On peut toujours avoir un doute.. Tu veux qu'on vérifie ? »

Il approcha sa main de son entre-jambe, mais le japonais lui enfonça son poing dans la figure, en le menaçant de mort si il recommençait. Mais comment on t'ils fait pour se retrouver là ?

L'homme aux traits asiatiques se réveilla doucement, pour une journée normale, dans les quartiers d'Overwatch. Il s'habilla, déjeuna, et se lava, et, comme à son habitude, il était tôt, et il attrapa son arc pour s'entraîner.

L'Américain, lui, dormait toujours.

L'archer se nommait Hanzo Shimada.

Le cowboy, Jesse McCree. Et il dormait toujours.

Hanzo, lui, dès 5 heures du matin, s'entraînait durement, même aux exercices les plus simples.

Le hasard était que l'espace de tir à l'arc soit juste en dessous de la chambre de Jesse.

L'archer s'entraînait jusqu'à midi.

Le cowboy se réveillait vers onze heures. Disons qu'il observait pendant une petite heure Hanzo s'entraîner, et pensait à des multiples choses, comme à son corps suant contre le sien. Jesse n'était pas gay. Il aimait juste les hommes. Enfin, d'après lui.

Hanzo, lui, ne remarquait pas Jesse, bien trop occupé. Après midi, il mangeait, avec son frère et d'autre gens, mais restant pas très sociable.

Jesse, lui, prenait un petit déjeuné au chips, et il dormait. Encore. La vie était très fatigante pour lui.

L'asiatique, japonais pour être précis, avait un emplois du temps chargé et précis. Uniquement remplis d'entraînement et de méditation, avec une alimentation saine et équilibrée.

L'Americain avait beaucoup de succès auprès des femmes. Ça lui servait souvent durant les missions. On peut dire qu'il collectait les informations.

Hanzo lui, n'avait pas trop de succès. Jadis, ils passait toujours derrière son frère en matière de filles, et de toutes façons, il ne s'intéressait pas à ça. Il était plutôt du genre à attendre dans l'ombre, et frapper au bon moment. C'était un bon sniper. Mais à l'arc.

Quand (enfin) Jesse sortait de sa chambre pour la première fois de la journée, c'était pour aller faire ses besoins. Et il s'arrangeait toujours pour croiser Hanzo sur le chemin se baladant torse nu, et lui faire des clins d'œil, ou même lui toucher les fesses (mais il l'avait fait qu'une fois, car ensuite, il avait eu un œil au bords noirs pendant une semaine).

Le japonais ne savait pas d'où venait cette manie de le draguer dès qu'il sortait, mais il prenait ça pour des blagues, car cet homme l'énervait au plus haut point.

Le fameux cowboy ne pensait pourtant pas à mal. Il faisait simplement ce qu'il voulait faire. Et se prendre des " râteaux " à chaque fois, ne faisait que grandir son envie de draguer l'aîné des Shimada.

En bref, ils avaient une relation plutôt anormale, et leur vie continuait sur cette voix.

Jusqu'à ce jour. Winston, leur " boss ", malgré le fait que celui-ci ne se considère pas comme tel, leur attribua une mission spéciale à tous. Genji et Ange, le petit couple de l'association, partirent en Suisse pour régler quelques petites choses bien cordiales, et Tracer, D.Va, et Lucío partirent en Australie pour arrêter un duo qui semait le trouble dans le pays.

Et au désespoir d'Hanzo, lui et Jesse devaient partir espionner un président chinois, qui faisait, de rumeur, un trafic d'armes pas très légal. Le cowboy, lui, était ravi. Enfin ses moments privilégiés avec cet mystérieux asiatique qui, à part pour l'insulter, ne lui avait jamais adresser la parole.

Ils partirent, donc, à l'aéroport de Paris, pour prendre 12 heures l'avion direction la Chine. Sauf qu'à l'aéroport, tout ne se passa pas comme prévus. Un homme, visiblement très riche, allait prendre le même avion qu'eux. C'est là que tout avait dérapé. Jesse avait tourné le dos à l'homme, et pris Hanzo à part.

« Chérie, on a un problème. Hanzo avait rougit atrocement, et avait enfoncé son coude dans les côtes du cowboy.
— Cessez ce surnom idiot.
— C'est plus grave que ça. On ne doit pas prendre cet avion ! Hanzo avait soufflé d'énervement.
— Encore une de vos plaisanteries idiotes ? »

Jesse avait pris la main de l'asiatique et l'avait entraîné hors de la salle d'attente, de force, évidement. Il l'avait pris par les épaules, et lui avait dit, avec les plus grand sérieux du monde.

« On prendra le prochain. Hanzo s'était s'énerva, ne voulant pas passer une minutes de plus de ce qui était convenu avec lui.
— C'est hors de question !
— Cet homme, qu'on a croisé, je suis quasiment sûr qu'il vient marchander avec notre chinois.
— Raison de plus pour prendre cet avion ! Jesse s'était frotter la barbe, gêné.
— Voilà. Mais je le connais vaguement... Et qu'il ne m'aime pas trop... Hanzo avait eu peur de comprendre.
— Qu'avez vous fais ?
— Disons que j'ai couché avec sa sœur, sa femme, et sa fille. L'archer s'était écarter du cowboy, et l'avait regarder avec dégoût. Ne me regarde pas comme ça, chérie. C'est elles.
— Stupide cowboy. Mais vous et moi devons prendre et avion. Cet homme nous mènera directement à la cachette du président...
— Je crois que j'ai une idée. »

Il lui avait fait signe de le suivre, dans le couloir du personnel de l'avion. Ils contournèrent l'avion, et rentrèrent dans la soute. Ils s'étaient assis parmi les bagages, et pour le moment, tout ce passait pour le mieux. Jesse avait même glissé à Hanzo qu'il voulait qu'il arrête de le vouvoyer. Et celui-ci n'avait même pas eu le temps de lui répondre, qu'un employé faisait le tour de la soute, avant le départ.

Vus qu'Hanzo n'avait pas trop l'air de s'inquiéter, Jesse le poussa dans une boîte de bois, a peine assez grande pour eux. Et l'employé, pour couronner le tout, avait marmonné :

« Rah, ils ont oublié de fermer une boite... »

Et, il l'avait fermé lui même, sans vérifier ce qu'il y avait dedans. Et les deux agents d'Overwatch, s'était retrouvés enfermés dans une boite pour 12 heures qui allaient passer très lentement pour Hanzo. Du moins, c'est ce qu'il avait pensé.

Dans la boite | McHanzoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant