« En effet. »

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Jack demanda à Ancy de venir lui parler un instant. Hanzo regarda Jesse, et devina ses pensées meurtrières à l'égard des garçons qui pipaillaient autour de sa chère fille. L'archer grogna, et envoya légèrement son coude dans les côtes du cowboy.

« Si tu as une idée malsaine derrière la tête, je te conseille de l'oublier rapidement. Surprit, le brun ria maladroitement.
— Mais ça serait tellement dommage qu'un malheureux accident se produise ! Le japonais le fusilla du regard et grinça des dents. Mais hors de question qu'il y est un meurtre à la fête de mariage de son frère.
— En effet. »

Genji s'assit aux côtés de son frère, et ayant entendu toute la conversation, ôta son masque, et regarda le cowboy avec une petite lueur haine dans le regard.

« Tu veux les faire partir ? L'américain eu un sourire féroce.
— Oui. Toi aussi ? »

Sans répondre, Genji montra du doigt Angela, qui discutait activement avec un des garçons. Elle n'avais pas d'arrières pensées, mais son air juvénile semblait beaucoup plaire aux adolescents. Hanzo repensa en effet, dans la machine du passé au Japon, que son frère du passé était énormément attiré par la médecin du présent.

Mais là, c'était des gamins dont Genji ne connaissait même pas le nom, et cela lui plaisait pas du tout. Jesse se tourna vers lui, et d'un grand sourire, et déclara.

« Je propose de remettre BlackWatch à flot. Qu'est-ce que t'en dit ? Le même sourire fendit les lèvres du cyborg.
— Qu'elle bonne idée tu as là. Dommage que mon armure ne soit plus la même. Ça m'aurais rappelé des souvenirs.
— Attention ! Pas le BlackWatch d'avant ! Le BlackWatch 2.0 ! Et comme aucun de nous deux pense la même chose qu'avant, je propose- Le ninja finissa sa phrase, avec un sourire cette fois heureux.
— Qu'on le renomme WhiteWatch ! Le cowboy prit un air intelligent.
— Quelle clairvoyance ! Ça sonne mieux, qu'en dis tu ?
— Tellement mieux ! Nous agissons pour le bien de la communauté !
— Oui ! Et notre emblème, ça sera LA LICORNE !!!
— OUIIII !!! LA LICORNE !!! »

Les deux amis se retournèrent vers Hanzo un grand sourire qui voulait tout dire aux lèvres. L'américain allait parler, mais l'archer le fit à sa place.

« C'est non. Faites votre bazar seuls. Le brun fit une moue triste.
— Roh s'te plaît !
— Non. Mais Genji regarda son frère, d'un air sournois et se déplaça à ses côtés pour mettre son bras sur ses épaules.
— Tu sais mon frère...
— Ne cherche pas, c'est non.
— Laisse moi parler. Ces gens là, il n'y a pas que notre esprit personnel qui veut les détruire... Mais aussi notre raison. Imagine, ce sont des espions. Imagine, ils veulent nous tuer ! Rien ne nous dit que ce sont des alliés... Mais dans un autre cas, ce sont aussi nos fans. Tu sais, il y a vraiment des fans tarés ! Ils peuvent s'introduire dans ton lit la nuit ! Et je parle en connaissance de cause. Hanzo blanchit et se rappela la fille dans sa jeunesse qui avais installé une caméra dans sa douche, croyant que c'était la chambre de Genji. Et si ils font ça, à ton avis, que découvront ils ? L'aîné des japonais compris, et son cadet lui chuchota. Si par hasard, Jesse est dans ton lit cette nuit là, ils- Le noiraud s'écarta alors, en détournant le regard.
— C'est bon. Je suis avec vous. Les deux amis ressemblaient maintenant à des gamins, quand ils dirent.
— Ouiiii ! »

|...|

Le cowboy remit son chapeau en place, et s'approcha d'Abran. Il appela.

« Eh ! Bryan ! Tu peux venir un instant ? Le blond cessa de parler tout seul à Ancy, pour se tourner vers lui avec un grand sourire.
— Bien sûr ! Mais mon nom c'est-
— Ta gueule. Viens juste ici. Le jeune espagnol s'approcha docilement, et demanda.
— Qu'avez vous ?
— À vrai dire, je me demandais quand est-ce que tu compte partir toi et tout tes amis.. En parlant, le cowboy marcha un peu, vers le couloir des toilettes de la salle des fêtes.
— Eh bien je sais pas trop. Pourquoi, vous- »

Il n'eu pas le temps de finir sa phrase. Un sac noir vint s'empaler soudainement sur sa tête, et il fut assommé. Personne ne vit l'action.

Quand l'adolescent rouvrit les yeux, et voulu se masser sa tête douloureuse, mais il s'aperçut que ses mains étaient attachées sur le dossier d'une chaise de bois. Il était devant une table, où était installé tout un attirail de torture. Des sueurs froides parcoururent son dos, et il claqua des dents.

La pièce où il était était très sombre. Il n'arrivait pas à distinguer les murs autour de lui. Seulement une petite lumière blanche grésillait au dessus de sa tête, provoquant une ambiance qui franchement, le faisait flipper. Un petit cercle rouge lumineux s'alluma en face de lui.

Suivit par une dizaine d'autre. Rapidement, il reconnu Genji, dont l'armure avait changé de couleur. Celui-ci se mit debout, mains à plat à côté des ustensiles, non pas de cuisine, mais bien de torture. On ne pouvait pas deviner l'expression sous son masque. Abran osa.

« Euh... Genji Shimada ? Où sommes nous ? »

Le cyborg resta silencieux, alourdissant encore plus l'atmosphère. Le ninja lui tourna autours comme un psychopathe, et l'adolescent eu la chaire de poule. Sans prévenir, un autre homme, pendant qu'il avait la tête retournée de l'autre côté, s'approcha de l'autre côté, et murmura.

« Bouh. »

L'effet fut immédiat. Le jeune espagnol hurla de toutes ses forces, et dans un rire de véritable tueur en série, l'autre homme disparut aussitôt dans l'ombre, sans que le blond ne puisse le reconnaître. Quand il reporta dans un sursaut son regard vers Genji, celui-là avait de nouveau disparut.

Il essayait de regardait de tout les côtés, en espérant trouver quelque chose, sans succès. Il eu de nouveau l'impression d'être seul, même si il savait cette hypothèse impossible. Sa respiration et son cœur s'accélérèrent, et enfin, le deuxième homme vint se poster à la lumière.

McCree. Il avait changé son chapeau jadis d'un brun clair, pour un autre d'un cuir sombre, et son six-coup avait quelques LEDS rouges sur son côté. En soufflant sa fumée de cigare à la tête de l'adolescent, qui plissa des yeux, il eu un sourire féroce.

« Très cher Bryan...  Apeuré, Abran n'eu pas le courage de le corriger. Le brun continua donc. On va simplement parler. »

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Coucou les gens ! Alors si vous lisez ça... Je pense que vous savez à quoi vous attendre.... Eh, oui, je repars à mon camping demain, pour une durée indéterminée ! C'est à dire que je sais absolument pas quand je rentrerais ! Ça saura en fonction de la météo, qui, on va pas se mentir, est merdique pour la période d'été. Vos gueules ceux du sud.

Évidement, comme d'habitude pas d'électricité, pas de wifi ! J'essayerais d'avancer mais je ne vous promet rien ! La bise !

Dans la boite | McHanzoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant