« Cela ne fait que commencer ! »

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Les deux collèges (ou bien plus que cela maintenant) marchèrent sans aucuns bruits dans le petit escalier de l'avion. Jesse grogna et lança en chuchotant à Hanzo.

« Je suis sûr que Vladimir est derrière tout ça. L'asiatique se tourna vers lui en fronçant les sourcils.
Vladimir ? L'américain eu un rire discret.
— Oui, le russe de la salle d'accueil à Paris. Tu ne te souviens pas pourquoi on à fini dans la soute, dans une boite ? Tout les deux ? »

Le noiraud rougis en sursaut en repensant à tout ce qui c'était passé. Le cowboy en profita pour faufiler ses doigts sur sa taille, et murmurer avec un air sensuel.

« Tu m'aime tellement, que tu as oublié ? Il le repoussa légèrement, cramant sur place.
— N'importe quoi. Dit moi plutôt comment tu t'es retrouvé avec cet homme sur le dos.
— Alors, c'est une histoire de dingue. J'étais tranquille en train de tuer quelques bandits polonais qui m'avait échapper entre les doigts il y avait une semaine. Donc, je m'en débarrasse facilement... »

Il bomba le torse, fier de son exploits, mais ce n'était pas ça qui impressionna son collègue. Il continua donc.

« Et donc pour fêter ça, (tout seul) je me suis rendu au bistro du coin, pour boire quelques bières, tranquilou bilou. Et après trois belles blondes sont rentrées dans le bar, sa femme, sa sœur et sa fille. Il leva les deux mains en l'air. Mais ça, je le savais pas j'te jure ! Donc elles m'ont un peu allumé, et que j'étais... Il montra le signe " un petit peu " de ses doigts. Un tout petit peu bourré.. Et ben c'est partis en partouze. »

Hanzo le regarda, répugné. " Partouze ? C'était quoi ça ? " Il se doutait que ce n'était pas un truc très catholique, mais il n'avait jamais entendu ce mot jusqu'à maintenant. Il ne dit rien, honteux, et regarda un peu gêné Jesse pour la suite de son histoire.

« Et après ça, sans savoir pourquoi, je me suis retrouvé à poil dans la neige, avec mes vêtements à côté de moi devant la porte de l'hôtel. Sauf qu'il me manquait mes flingues. Donc j'étais énervé, et je suis re rentrer dans l'hôtel, habillé évidement, pour reprendre mes chéris. Et par chance cet hôtel, qui de un, vendait de la drogue, et deux deux des armes était aussi celui de Vladimir et de toute sa petite famille. Quand les filles m'ont vu, elles ont crier, mais j'ai moi je les ai vue qu'à l'étage, et vu que j'avais la gueule de bois j'étais pas trop sûr que c'étaient elles, mais bon trois blondes qui se ressemblent dans la même ville, y'en a pas trente mille. Donc, avec toute ma virilité j'ai crié à un russe qui était à l'accueil en tirant dans tout les côtés de la pièce : »

Il leva les mains en l'air en imitant les coups de feu avec ses mains comme dès pistolet, un grand sourire au lèvres.

« " J'ai couché avec ta femme, ta sœur et ta fille, enculé ! Tu penseras à te souvenir de McCree ! " Donc là, pan, pan, et pan, je tire sur tout ce qui bouge, et même sur ce qui bouge pas. Et là, petite baston avec le russe, et j'en sort idem dans un avion direction le Nouveau Mexique. Qu'est-ce que t'en pense ? Jesse le regarda d'une façon séductrice, tandis qu'Hanzo l'observait à moitié choqué et en colère. Il tenta de ne pas lui hurler dessus, ses phalanges en payant le prix.
— Ce que j'en pense ? Je pense que tu es le DERNIER DES CRÉTINS ! »

Il soupira bruyamment de colère et se retourna pour regarder à travers le petit hublot de la porte menant au commandes de l'avion. Ce qu'il vit ne le choqua pas. Un énorme gaillard tenait un flingue sur la nuque du pilote, celui-ci suant comme un porc tellement il avait peur. L'avion était bien détourné. Il colla discrètement son dos à la porte et regarda le cowboy. Il allait parler, mais Jesse le coupa, le regard à moitié gêné, à moitié amusé.

« Mais tu sais, je ne regrette pas vraiment ! L'archer roula des yeux.
— Jesse... Il continua, en regardant Hanzo de façon bizarre.
— Mais tu sais, c'était sa fille était la plus bonne des trois ! »

Le japonais fronça le nez. " Bonne ? Quelle était cette expression encore ? " Il ne dit rien, encore une fois, et se retourna pour réfléchir à comment se débarrasser de ses barbares. L'américain lui attrapa les épaules et l'enlaça doucement en lui murmurant dans le cou.

« Hey... T'es pas jaloux ? Hanzo tressaillit et le repoussa, l'air dégoûté.
— Pardon ? Jaloux de prostituées ? Non merci. »

Jesse ne répondit rien. Évidement qu'il était jaloux. Mais pas des femmes. De lui même. C'était très bizarre de savoir cela. Jaloux de ne pas pouvoir se laisser aller, comme il voulait le faire, jaloux de ne pas pouvoir accorder sa pleine confiance à son collègue, malgré lui. Il soupira et regarda le cowboy une énième fois, celui-ci avait un grand sourire accroché au visage.

« J'adore quand tu es comme ça !
— Stupide. Voilà ce que es. Bon, tu va faire une diversion, et moi, j'irais voir ce qui se passe du côté des passagers. D'accord ?
— Quoi ? Et qu'est-ce que je vais faire sans mes armes ? Hanzo tourna son visage orné d'un sourire amusé vers le cowboy.
— Ne me dit pas que tu ne sait rien faire sans tes petits pistolets... L'américain écarquilla les yeux. Et souris de manière sournoise.
— Mais tu me prend pour qui ? »

Il déposa un baisé sur les lèvres du japonais, qui crama instantanément. Et d'un geste sec, il ouvrit la porte violemment, et hurla.

« Hey ! Comment ça boume ? Le grand musclé, bien plus que le Jesse, grogna, pointant son flingue sur lui.
— Qui es tu ? Le cowboy regarda ses ongles de manière à se la péter.
— Ne me dit pas que tu ne connais pas le grand Jesse McCree ? L'homme resta silencieux.
— ... Non. Jesse suffoqua.
— Quoi ? Mais tu connais bien Overwatch, non ? Ce fut au malfrat de suffoquer.
— Over-
— Et bien voilà ! »

Alors que l'homme allait tirer, Hanzo passa derrière lui et l'assomma. L'asiatique s'adressa au pilote et au copilote.

« Nous nous occupons de ça, c'est bientôt finis. Jesse ria et pris l'arme du briguant. Il eu un sourire sadique.
— Voyons, cela ne fais que commencer ! »

Dans la boite | McHanzoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant