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Hannah et Darwin ont pris le jet hier soir et sont rentrés respectivement à Jacksonville et à San Francisco, puis l'avion est revenu nous prendre, America et moi, ce matin. 

Je suis surexcité.

En effet, Peter vient me chercher à l'aéroport. De plus, nous allons en boîte ensemble, ce soir. 

Le vol passe vite, heureusement. Je ne tiens plus en place. 

Nous nous posons à 13h34. 

Je reveil America qui à dormi tout le trajet, et nous descendons du jet. 

La pauvre, elle à pris un gros coup de soleil sur la nuque, se qui l'oblige à laisser libre sa crinière blonde, et par cette chaleur, ce n'est pas se qu'il y a de plus agréable. 

En effet, il doit faire au moins trente degrés, à New York.

Pour ma part, je me suis attaché les cheveux en une queue haute. 

Je fais la bise à mon amie, puis me dirige vers le hall, laissant Ros s'occuper des bagages. 

J'explore la grande pièce du regard, le cherchant.

Peter.

Mon Peter.

Enfin, je le repère -malheureusement, je remarque aussi quelques jeunes filles le matant sans gène. 

Il est à moi, vous comprenez, petasses ?

 Nos regards se croisent, et le temps se fige. 

Il est là, pour moi !

Ses yeux limpides me sondent, lisent en moi. 

Ses cheveux bruns sont en bataille, se qui le rend encore plus sexy.

Je me mords la lèvre inconsciemment, en le détaillant. Ses yeux s'assombrissent.

Je ne peux pas résister, je me mets à courir vers lui.

Soudain, le charme se rompt, et je suis bousculé par un jeune homme, qui aussitôt, m'insulte.

-Va te faire foutre, salope ! 

Quoi ?! Attends, repère un peu, pour voir !

Il s'apprête à s'en aller, mais je le saisie par le bras. 

Il se retourne, le regard mauvais. 

Je lui en colle une de toutes mes forces. 

Il bat des cils, sonné.

Je prends ma voix la plus froide et implacable. 

-La prochaine fois que tu parle comme ça à quelqu'un, rappelle toi de ça, compris ? Maintenant, hors de ma vue. 

La joue marquée d'une trace de main, il s'enfuit le plus vite possible. 

Soudain, un pied se glisse derrière mes jambes, et, d'un mouvement vif, me balaye. 

Je pousse un petit cris surpris, puis des bras solides me réceptionnent tel un danseur avec sa compagne. 

Je bats des cils, le visage quelques centimètres de celui de Peter. 

Sa voix est suave et sexy par dessus le marcher, lorsqu'il me murmure à l'oreille : 

-Salut, trigresse. 

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Enfin, les retrouvailles !

Ce chapitre ?

Que va t'il se passer, ce soir, en boîte de nuit ? 

Bientôt la suite

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