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Je sens une main moite m'agripper le biceps, et je comprends tout de suite qu'il ne s'agit pas de Peter. 

La peur me serre les entrailles. 

-Lâchez moi ! , je souffle d'une voix faible. 

J'entends un rire rauque, qui me fais frissonner. 

La poigne de l'inconnu se resserre, et il me plaque contre le mur. L'homme est grand, baraqué, et il doit avoir une quarantaine d'années, peut être moins. À se que j'en vois, dans l''obscurité, il à les cheveux bruns, et son visage est fin et anguleux.

-Si tu cris, je te fais mal, me préviens t'il. 

Il m'accule, et me surplombe d'au moins vingts centimètres. 

-Tu as compris ? 

Je reste figée, mes yeux lançant des éclairs. 

Il répète sa question bien plus brutalement.

-Tu as compris, salope ?! 

Il me gifle violemment. Je pousse un cris, et il agrippe mes cheveux. Il les tires pour exposer ma gorge. La panique commence à me submerger. Il pose ses lèvres sur mon cou. 

NON NON NON !

Sa main s'insinue dans mon dos, et descend jusqu'a m'aggriper les fesses. 

Son autre main me maintient mes poignets au dessus de ma tête, tandis qu'il se presse contre moi pour éviter que je ne tente un quelconque mouvement remontant du genoux. 

Je me mords la lèvres jusqu'au sang pour éviter de hurler. 

Soudain, j'entends des bruits de pas, au moment où sa main s'aventure sur mon ventre jusqu'a ma poitrine. 

Stop, connard !

Je pousse un cris déchirant. 

Cela le surprend, et il s'écarte un peu de moi. 

J'en profite pour envoyer mon genoux droit entre les jambes. 

Il hurle.

-Katherina ?! 

La voix de Peter me réconforte, m'apaise. Je le vois arriver, et jaugé la situation du regard, en une demi seconde. 

-ESPÈCE DE SALE CONNARD ! 

Il se précipite vers l'homme, qui vient de se relever et qui comprend que les dés sont passés dans l'autre camp. 

Peter ne lui laisse aucun répit, et lui envoi une droite dans la mâchoire. Il continue avec un uppercut dans le ventre, et le balaye pour le faire s'écrouler à terre. 

Je dois sortir d'ici, j'étouffe. 

Je me précipite vers la boîte, tandis que Peter fini le sale pervers. 

Je traverse rapidement la foule, en me remémorant les mains moites sur moi. 

Je frissonne de plus en plus, malgré la chaleur. J'ai la tête qui tourne. 

Je sors en trombe du club, et entends un vague "Katherina !" derrière moi. Je titube quelques mètres, puis, c'est le noir. 

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J'ai quelques nouvelles à vous annoncer. 

Premièrement, j'ai complètement changé le scénario prévu au début, ce qui peut engendrer la perte du titre "dernière carte". Alors, je me demandais si vous n'aviez pas de petites idées pour un nouveau titre. 

Sinon, nouveau retournement de situation.

Idées ? Avis ?

Bientôt la suite 

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