LOTTO » taekook

Chapitre 4

Flashback.

La pièce n'était qu'éclairée que des bougies parfumées de la mère, alors que le père venait de souffler il y a plutôt, ses bougies.

— Taehyung, n'oublie pas..je t'ai toujours aimé-

— Papa..qu'est-ce-que tu racontes..?

Aujourd'hui, était l'anniversaire de son père et également celui du vote de la loi du lotto. Ironique étais-cela, aux yeux de son fils.

Il se demandait en ce jour, à chaque années si lui ou sa mère seraient toujours présent pour le fêter à ses côtés.

A vrai dire, d'après les dires du père c'était plutôt ce dernier qui se demandait si il serait toujours vivant pour son prochain anniversaire.

— Je suis désolé.. Murmura-t-il entre ses pleurs tout en fixant son fils.

Mon père venait de souffler ses dernières bougies devant mes yeux.

Les yeux du fils dévenèrent vitreux à l'instant même où sa mère tomba au sol en sombrant en larme tout en ayant le ticket de lotto de son père entre les mains.

Minuit avait sonné, et chaque secondes que pouvait affiché l'horloge sous la tête de son père, Taehyung voyait la mort de ce dernier arriver à taton dans la pénombre de la nuit

— Et c'est seulement maintenant que tu oses nous l'avouer ? On avait deux heures pour te sauver!!

Hurle-t-il à son père en sombra également au sol auprès de sa mère tout en laissant sa tête s'enfouir dans ses bras se trouvant sur la table devant le gâteau d'anniversaire.

Son père avait choisi de garder le silence pendant ces deux heures où le tirage avait été diffusé en direct et minuit où commençait les exécutions.

Il était persuadé que sa famille chercherait toutes les solutions possibles pour le sauver et le cacher.

Durant ses dernières minutes qui lui parassait des heures durant. Taehyung n'avait d'autre choix que de se plier aux demandes de son père et se cacher avec sa mère dans la chambre afin de ne pas assister à sa mort.

Pour autant lorsqu'il entendît la porte d'entré s'ouvrir, il sortit de sa chambre sous les hurlements de sa mère en acourant au salon tout en priant dans ces dernieres secondes un quelconque dieu divin qui puisse l'écouter.

À cette instant, il n'avait pas hésité une seconde à s'aventurer au salon déterminé à surement, donné sa vie à la place de celle de son père. En ignorant à l'époque que les tueurs ne devaient qu'exécuter que ceux tiré et non une autre personne.

Quand soudain, il entendît et vu la balle traverser le salon avant de se loger dans le coeur de son père qui retomba contre son gâteau. À l'entente des pas de l'enfant, le tueur n'avait aucunement hésité à tirer malgré tout. Sans pitié, était leur devise.