~ couteau en média ~
Attention scène choquante !!!! Âme sensible s'abstenir !
PDV Mélissa :
- Je vais te tuer avec le même couteau qui ma servie à tuer ta sœur ! Me dit-il en me soufflant dans le visage son haleine dégueulasse.
Mon cœur s'est arrêté de battre pendant quelque seconde. Comment ose-t-il parler d'elle, celle qui est morte devant mes yeux, celle qui est morte à ma place. C'est moi qui aurais dû mourir ce jour-là. Je pleure toutes les larmes de mon corps et lui, il se contente de rigoler comme un vulgaire psychopathe.
Il me laisse là se retourne et prend une ceinture sur la table. Il respire un coup et se tourne vers moi le regard noir mais heureux à la fois puis il commence à me frappe de toute c'est force, je sens un liquide chaud couler le long de mon corps. Je sens des bleus ce formé sur ma peau. Je crie et hurle de douleur. Il approche un gros rouleau de scotche et je le mets de force sur la bouche pour étouffer mes hurlement. Puis il me fouette jusqu'à que je sois à la limite de la mort.
D'un seul coup il s'arrête et me fixe.
- Tu me regarde de la même façon qu'elle la fait, avec pitié mais pourquoi a tu pitié de moi ? Me demande-t-il.
- Je.. je. ne...sais....pas ! Lui répondis-je en reprenant mon souffle et en essayant de lui répondre à travers le scotche. Je ne sais même pas comment je suis toujours vivante.
- Tu ne sais pas ! Voyons tu peux faire un effort pour elle. Me dit-il le sourire aux lèvres.
Je ferme les yeux et aimerais qu'il en finisse je veux plus souffrir. C'est tellement dure j'y arrive plus, j'abandonne. Je ne réponds rien et ne fais rien. J'ouvre les yeux et sent quelque chose en moi qui me dit de me battre et de ne pas le laisser avoir ce qu'il veut. Cette force et si puissante que je ne me rends pas compte que mon père n'est plus là. Je vois la porte du sous-sol ouverte. Il est parti chercher quelque chose pour en finir. Je sens que mes jambes ne répondent plus à mes envies et je crois que je ne suis pas au bout de mes surprises. Mes jambes sont prises d'un élan de je ne sais pas quoi et je me retrouve debout. Je m'accroche à ce petit espoir qui vie en moi et agrippe la rampe d'escaliers. J'enlève le scotche qui m'empêche de bien respiré et le met dans la cheminer en tendant le bras. Je me rattrape de justesse à la rampe. J'entends les pas de mon père monté les escaliers et se rapprocher dangereusement vers moi. Je ne réfléchis pas et avance jusqu'à la fenêtre et miracle j'arrive à marcher mais j'ai mal partout à chaque mouvement. J'ai mal mais cette force me dit de faire barrage contre la douleur. Je ne sais pas ce qu'est cette force mais elle est vraiment puissante.
- Viens ici espèce de salope ? Cris une vois que je reconnais que trop bien et qui fais froid dans le dos.
Il se jette sur moi me fessant tombé par terre juste devant la fenêtre: La liberté.
- Tu croyais pourvoir m'échappé hein petite bonne à rien, dommage pour toi mais c'est maintenant que tu vas aller la rejoindre en enfer.
Il lève se couteaux en l'air je vois qu'il sourit, le sourire de vainqueur et de haine qu'il a en mon égard. Quand un cri ce fait entendre, je n'ai pas le temps de voir ce que cest, mais je cris de douleur en sentant un poids sur moi. J'entends deux cris, lun est un cri de douleur et de souffrance et l'autre et comme si un fantôme étais apparu et qu'il ne s'attendait pas à le voir. Je regarde à côté de moi et là je vois la chose la plus horrible qu'un enfant puisse voir. Ma mère allongée au sol avec le couteau planté dans la poitrine.
- Tu as tué ta mère, la femme qui ta mise au monde, tu es un monstre, une criminelle ! Me cri-t-il en la regardant allonger.
Il me regarde en pleurant et il part au sous-sol. Je ne sais pas quoi faire je suis tétanisée. Quand je sens sa main si douce me touché la joue.
- Tien.....prend.....ça....ma....chérie ! Me dit-t-elle faiblement en me désignant sa poche.
J'approche ma main délicatement en en sort un petit pendentif.
- Cache.. le.. et....ne reviens.....jamais.... vers...ton.....père..... ! Me dit-elle en me regardant.
- Non reste avec moi ne me laisse pas, s'il te plait maman. Pleurai-je en mettant mes mains vers le couteau et en m'asseyant.
Je fais abstraction de la douleur que j'ai et elle me prit les mains et respira très fort et très rapidement. Quelque seconde plus tard elle me regarda et là je compris qu'elle aller partir et que je ne pouvais rien faire pour l'aidé.
- Non..ma.... chérie... tu....sauras....te débrouiller..toute....seule....toute les.....chose que....tu dois ... savoir.....sont...là ! Me dit-elle en pointant ce pendentif en forme de cur et assez gros.
Je fronce les sourcils ne sachant pas ce quelle a voulu dire.
- Je....t'aime....Amanda ! Me dit-elle en me regardant.
Quoi mais comment elle le sait ? Je croyais qu'elle ne se doutait de rien ? Je me pose pleins de question est la vois sourire. Je sourie et je vis sa main tombé le long de son corps. Je cache instinctivement le pendentif qu'elle ma donner sur mon collier que j'ai toujours autour de mon coup et le cache sous mon tee-shirt. Je la regarde une dernière fois et m'éloigne d'elle. Je vis un couteau vers le canapé alors je le prix et le cacha dans mon pantalon. Mon père remonte vers nous.
- Monte dans ta chambre et ne redescend jamais ! Me dit-il en enlevant le couteau de ma mère.
Je le regardais faire, il prit le même couteau et le frotta contre la main de ma mère puis le remis dans sa poitrine. Je restais la sent rien faire, ne comprenant pas ce qu'il fessait. Jétais perdu et terrifier. Il me regarda et me lança le couteau qui a servi à tuer ma mère à mes pieds.
- Va le nettoyer et garde le ça te fera un souvenir ! Me dit-il en souriant cruellement, et sadiquement.
Je regardais le couteau couvert de son sang à elle. J'étais pétrifié. Je ne pouvais plus bouger.
- Fais ce que je te dis sinon je te tue de la même façon que tu la tué ! Me cris mon père avec colère, haine et dégout.
Je pleurais et pris le couteau avec le pouce et l'index et tend mon bras le plus loin de moi pour éviter de me blesser. Je monte à l'étage en m'accrochant à la rampe des escaliers. Arriver en haut je vais dans la salle de bain et pose le couteau dans le lavabo. Je fais couler de l'eau pour enlever le sang. Une fois fini j'arrête le robinet. Je me regarde dans le miroir et recule en voyant comment je suis. Je suis couverte de sang et mon tee-shirt et déchiré a plusieurs endroit. On voit ma cicatrice qui saigne. Sil avait continué elle ce serait ouvert et je serais morte en me vidant de mon sang. Je prends le couteau et vais dans ma chambre. Quelque minute plus tard j'entends des pas dans les escaliers. Je tremble à lidée que mon père me tue. Quand je vois mon père passer la porte de ma chambre, mon cur se met à battre vite et fort dans ma poitrine.
- Va te nettoyer et demain je ne veux pas te voir dans la maison ou le quartier tu reviendras quand je t'appellerais. Me dit-il en me regardant tous sourire.
Je fais un oui de la tête et il redescend. Je prends de vieille affaire ample pour cacher les deux couteaux et le pendentif. Je me dirige difficilement dans la salle de bain et ferme la porte à clé. Je m'appuie sur le lavabo et souffle un coup et ferme les yeux. Je reste comme ça pendant deux minutes à réfléchir ce que je vais faire mais je ne trouve rien. Je ne peux pas me voir dans cette état alors je me tourne de façon à être dos au miroir, puis je prends le bas de mon tee-shirt déchiré et lève les bras délicatement en serrant les dents. Je le laisse tombé par terre et me retourne face au miroir.
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- Qui est véritablement Amanda ?
- Que va faire Mélissa ?
- Que va-t-il se passer après la mort de Camélia ?
- De quoi Camélia parle-t-elle ? Que contient ce pendentif ?
- Que va faire le père de Mélissa ?
Voilà le chapitre 22, quand pensez vous? Qui est Amanda ? Que va-t-il ce passer maintenant? Voter si vous avez aimé. Mettais un commentaire pour me dire comment vous voyer la suite. Vous pouvez me donner des idées :)
Merci à tous !!!!
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L'Amour D'un Père
AcciónATTENTION SCENE VIOLENTE DANS MON RECIT. TOUTE LES AME SENSIBLE SON PRIER DE S'ABSTENIR. SCARIFICATION, TENTATIVE DE VIOLE,MALTRAITENCE ET HUMEUR NOIR SONT DECRITES. Grandir avec un parent violent n'a rien d'anodin. Vivre dans la peur, la violence...