~ Lucky en média~
PDV Cameron:
Je lui enlève la capuche et ce que je vois me mais hors de moi et je sors les poings prêt à lui donner une bonne leçon.
- Qu'est-ce que tu fous ici Jordan ? Lui dis-je énerver.
Il ne me répond pas et se lève avec difficulté et me regarde le sourire aux lèvres. Je serre encore plus les poings et le regarde méchamment.
- Alors Cameron je tes vue hier soir, derrière les arbres. J'espère que tu n'es pas trop triste. Me dit-il sarcastiquement.
- Ha bah je ne sais pas ce que tu as vue mais ce n'étais pas moi hier soir. Et tu n'as pas répondue à ma question qu'est-ce que tu fais ici ? Lui redemandais-je en m'approchant dangereusement de lui.
Il est hors de question qu'il sache que j'étais là il faut que je le fasse douter.
- Ha oui ! Pourtant il te ressembler beaucoup mais bon si tu dis que ce n'ai pas toi... Et pour ta question sa te regarde pas. Me dit-il en souriant et en s'approchant de moi.
- Ah ouais tu ne devrais pas être ici, tu étais de passage ici à ce que je sache. Lui dis-je en le regardant droit dans les yeux.
- Ha mais ça te regard pas ? Comment tu le sais ? Me demande-t-il en s'éloignant de moi.
Je souris mais le regarde toujours avec mon regard de tueur.
- J'ai mes sources et je ne te dirais pas comment je l'ai sue.
Il s'approche de moi en souriant méchamment et en me regardant.
- En tous cas Mélissa est un très bon coup sur ceux bonne journée.
Il aller se retournée mais je me jette sur lui et lui donne plusieurs coups de poing tellement je suis en colère. Il tombe à terre et je continue de le frappé. D'un coup je sens des bras me retenir et me reculer de cet abruti.
- Cameron arrête tu vas le tuer. Me cris Nash et Shawn en m'éloignant de lui.
Je me dégage de leur emprise et me dirige à l'intérieur du lycée les laissant seul.
PDV Mélissa:
Je le pousse avec ma main et il pleure, je regarde l'heure sur mon téléphone et je vois qu'il est 11h 25, je nai pas beaucoup dormi même avec le manque de sommeil je n'arrive pas à dormir. Je caresse le petit chiot et me lève en poussant un gémissement de douleur ce qui a fait peur au petit chiot. J'ai oublié à quelle point mes blessures étais douloureuses. Je me calme et fais quelques pas et me sent mieux le petit chiot sort sa petite tête de l'encadrement de la porte et me regarde puis s'approche de moi. Il regarde ma jambe et pose sa patte tous doucement sur une rougeur de ma jambe. Je n'en crois pas mes yeux on dirait qu'il sait que j'ai mal et qu'il essaye de trouver quelque chose pour me soulager. Je me baisse tous doucement et le caresse il me lèche la main avec sa petite langue toute chaude. Il bouge sa queue de droite à gauche pour montrer à quelle point il est content. Après deux petite minute de caresse il se recule et cours dans la pièce où il était. Je l'appelle mais il ne vient pas. Je décide donc d'aller voir et marche, puis je le vois avec un petit bâton dans la gueule. Il me l'apporte, je lui tends la main et il me pose le bâton dans ma main et il me fait aller dehors derrière la maison. Il y a un petit jardin tous mignons. Le petit chiot émet un petit gémissement alors je lui lance le petit bout de bois et il court le chercher. Je souris et il s'approche de moi avec le bâton. Je tends le bras pour qu'il me le donne et il recule. Je fronce les sourcils et me remet debout et avance vers lui puis il recule encore, il recule plusieurs fois. Je me relève et essayé de comprendre pourquoi il a fait ça. D'un coup je sens une petite patte de poser sur ma jambe. Je le regarde et vois que je suis au fond du jardin. Je le prends dans mes bras et lui fais plein de câlin et de bisou. Il a fait tout ça pour que je ne pense plus à mes blessures et ça a marché. Je vois qu'il est tous content. Je souris et on retourne à l'intérieur de la maison je regarde l'heure et je vois qu'il est quatorze heure je décide donc à partir travailler. Je me baisse et le caresse.
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L'Amour D'un Père
AcciónATTENTION SCENE VIOLENTE DANS MON RECIT. TOUTE LES AME SENSIBLE SON PRIER DE S'ABSTENIR. SCARIFICATION, TENTATIVE DE VIOLE,MALTRAITENCE ET HUMEUR NOIR SONT DECRITES. Grandir avec un parent violent n'a rien d'anodin. Vivre dans la peur, la violence...