Le bureau d'Anthony Stark est immense. Plus grand que ma maison. Il est rempli de toutes sortes de machines et d'ordinateurs bien plus sophistiqués qu'ils ne devraient. Le millionnaire nous attend devant l'un d'eux. Il a un air concentré sur le visage et tape sur son clavier à la vitesse de l'éclair.
- FRIDAY, montre moi tout ce que t'as sur les dernières affaires de New York, lance-t-il.
Immédiatement, la voix qui nous a surpris tout à l'heure, s'élève dans la salle et des dizaines d'articles s'affichent sur l'écran transparent du génie.
- Ah les jeunes, vous êtes là. Venez, j'ai commencé quelques recherches.
Peter et moi rejoignons Stark et le laissons nous montrer les brochures qui recensent les affaires que Peter et moi avons déjoué durant ces derniers mois.
- Vous avez fait du bon boulot à ce que je vois.
Je souris, satisfaite que le célèbre Iron Man s'en rende compte.
- Donc, les affaires sans explications remontent à deux semaines. Il y en a eu quatre. Une au Met Breuer, deux dans l'Upper East Side et une à Times Square.
- Quatre vous dites ? m'étonné-je.
- Je me suis occupé des deux dernières. Tu n'étais pas dans ton assiette durant cette période, explique Peter.
J'ouvre la bouche, puis la referme aussi sec. C'était juste après ma rupture avec Hunter, quand je restais cloitrée chez moi et me morfondais. Je n'arrive pas à croire que j'ai laissé Peter s'occuper de ça tout seul.
- A chacune d'entre elle, reprend Tony, des personnes plutôt aisées se mettaient à faire n'importe quoi et à détruire tout sur leur passage. Certains d'entre eux ont du rembourser énormément de dégâts, d'autres ont fait faillite et d'autres encore sont en plein procès.
- Qu'est-ce que ça veut dire ? s'enquiert Peter. Que quelqu'un veut foutre la pagaille à New York ?
- FRIDAY, établit un profil personnel de l'individu.
- Il semblerait que cet homme ou cette femme voue une haine contre les mondains et les hautes sociétés. Il les pousse ainsi à commettre des actes irréversibles ce qui engendre, pour la plupart, la perte d'une grosse somme d'argent.
- Vous voyez ? dit Tony. Il s'en prend aux riches. C'est une sorte de Robin des Bois.
- Sauf qu'il ne donne pas aux pauvres, fais-je remarquer.
- Tu as raison. FRIDAY, recoupe toutes les caméras autour de ces quatre affaires et dis-moi si quelqu'un se trouvait sur chacun des lieux.
Des milliers d'images défilent à la vitesse de la lumière sur l'écran et Tony se lève.
- Ça va prendre plusieurs minutes, vous voulez quelque chose à boire ?
- Non merci, répondons Peter et moi en cœur.
Stark se sert une tasse de café avec une de ses drôles de machine et avale une gorgée avant de me fixer longuement.
- J'aimerais beaucoup prendre tes mesures.
- Je vous demande pardon ? m'exclamé-je.
- Excuse-moi, c'était maladroit, conçoit le millionnaire. Ce que je veux dire, c'est que je pourrai te faire une costume un peu plus perfectionné que le tien. Pour ça, il me faudrait tes mesures.
- Vous voulez me confectionner un costume ?
- Peter est très content du sien. N'est-ce pas Peter ?
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Outbreak Tome 2 ► Marvel ✓
Fiksi Penggemar| FANFICTION TERMINEE | "Even the darkest night will end and the sun will rise" - Victor Hugo Tome 2 - Destruction Après sa confrontation avec Steel Laser, le robot qui a bien failli détruire sa ville et tuer ses proches, Evangeline Mulligan a...
