Bordel je peux pas laisser faire ça! Je sors dehors sous les questions de Deen, je regarde dans la rue, mais elle est vide, juste un coup de vent qui me glace le sang, je traverse la rue et essaie d'ouvrir la porte de l'immeuble, elle est fermer, putain fait le code et je suis sûr que ce n'ai pas le même que Deen. J'essaie mais rien, la porte ne s'ouvre pas. Je souffle en tapent dans la porte, je sais qu'il y a quelques chose qui ne va pas. J'ai vue la marque sur sa joue. Je retourne chez Deen, une fois que j'ai refermer la porte, il me regarde bizarrement.
- Je suis sûr qu'il y a quelques chose qui ne va pas!
- Je sais pas, je ne l'a connais pas, me dit-il.
- Elle n'était pas comme ça quand on a manger ensemble! Et ta vue sa joue? C'est pas normal, dis-je. Y'a quelques chose qui ne va pas. J'en suis certain.
- Elle est entrée avec les filles, elle doit être en sécurité maintenant, me dit Deen.
Je l'espère...
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
J'ouvre les yeux difficilement, j'ai mal partout, il fait noir dans l'appartement, j'ouvre a peine la bouche que celle-ci me fait horriblement mal. Je me lève mais me tiens au mur, mes yeux finisse par s'habituer dans le noir. Je suis dans le couloir de l'entrée, j'atteint la lumière du couloir, je regarde autour de moi. Il y a plein de sang sur le sol. J'avance dans la cuisine, où de la vaisselles sale est entasser dans l'évier, l'heure du four indique 4h30, j'attrape le seau, le remplis d'eau et puis retourne dans l'entrée nettoyer le sang. Je sais qu'il m'appartiens, je vois les bleues se former sur mes bras, quand je touche mon visage, j'ai terriblement mal. Une fois que j'ai terminer, je fait la vaisselle, ensuite je pars dans ma "chambre", je m'installe contre le mur.
Je n'imaginais pas perdre ma virginité comme ça, j'ai tellement mal, partout, même ça on me la enlevée, mais c'était ça mon destin, privée de toute chaleur humaine, de toute dignité. Je rêvais de passer cette grande étape de ma vie, avec l'homme que j'aimerais, il m'aurai regarder amoureusement, m'aurait dit que tous se passerai bien, qu'il ne m'aurai fait aucun mal... Mais c'était tout le contraire, dans la violence, dans la vulgarité.
J'entends qu'elles se lève, puis la serrure se tournée, elle m'a enfermer dans la pièce. Je pleure dans le plus grand silence, elle a même retiré l'ampoule de la pièce, je suis dans le noir complet... Je ne sais pas combien de temps je reste là, je sais juste que j'ai du mal a garder les yeux ouvert.
- Debout sale pute!
Je ne l'ai même pas entendu arriver. Je ne me lève pas tout de suite, elle s'approche de moi et sa main claque ma joue très fort. Elle m'attrape ensuite le bras et me lève de force, ma tête me fait souffrir. Elle m'emmène dans la cuisine, nous sommes seul, peut être que Yasmina est enfin rentrée chez elle.
- Fait le ménage et commence a préparer a bouffer, mon père arrive à 20h00.
Je ne répond rien.
- Après tu ira prendre une douche, ta du sang partout.
Je ne répond toujours pas.
- Je t'ai parler! me crie-t-elle dessus.
- Oui Mlle, fini-je par dire.
Je la vois partir vers sa chambre, j'entends sa porte claquer, je me dépêche de faire le peu de ménage qu'il faut, je met ensuite en route le dîner, je n'ai pas la force de faire de grande chose... Après avoir mis le poulet à cuire, je pars prendre ma douche. J'en sort cinq minute plus tard, j'évite le miroir, mon visage a changer de couleur, mes yeux son entourer de bleue, j'ai une coupure sur le nez, qu'il c'est remis a saignée après que j'ai passer un coup d'eau. Ca a piquer, ça ma fait mal, horriblement mal. Après mettre habiller, je retourne dans la cuisine, j'ai mis la table, j'ai préparer ce qu'il restait à faire. J'entends sonner, je me fige.
- Va ouvrir!
J'abandonne le torchon et pars ouvrir. Je me retrouve devant M.Kalifah, il me regarde de la tête en bas. Je me pousse de la porte, il laisse son sac à mes pieds, je m'empresse de le récupéré. Je referme la porte derrière lui. Il est déjà au salon quand j'y arrive.
- Ta dû faire une sacrée connerie pour avoir cette gueule là.
Je baisse les yeux, alors que sa fille entre dans le salon.
- Papa! crie-t-elle.
Ils se prennent dans les bras. Je ne me rappelle plus de quand date la dernière fois où mon père m'a pris dans ces bras, les années passe et malheureusement son visage s'efface d'année en année.
- Ta fini de rêver! me dit Kenza.
Ils se mettent à table, je l'ai sers.
- Comment ça se passe? Lui demande son père.
- Très bien papa, c'est cool ici.
- Et tu t'en sort avec...
- Oui, des fois j'ai du mal, mais je lui fait vite comprendre qui est le parton, dit-elle avec un grand sourire.
- C'est bien m'a chérie, lui répond-t-il. Mon verre est vide!
J'apporte la bouteille de vin, les serrent. Ils continus à discuter comme si de rien n'était. Vers les minuit quand M.Kalifah s'en ai allé, Kenza est partie ce coucher, je me retrouve dans un appartement silencieux, j'ai tout nettoyer.
Le samedi suivant, je suis épuiser, mon visage à dégonflé, mais j'ai toujours mal. Je n'ai pas manger depuis plusieurs jours, j'ai mal au ventre, mal au jambes, à la tête. Les filles son au salon, je me sens vraiment pas bien, ma tête tourne de plus en plus. J'arrive au salon.
- On a faim! me dit Yasmina.
Je passe derrière les fourneaux, je ne sais pas trop ce que je fait, j'attrape des trucs au hasard dans le frigo. Les met à cuire. Je leurs met ensuite la table alors qu'elle son en train de fumé dans le salon.
- Après t'ira prendre une douche, on sort.
J'apporte le plat.
- Non, s'il te plais.
Mon estomac se retourne, j'ai envie de vomir.
- J'ai pas demander ton avis, me dit-elle.
- J'ai encore mal, lui dis-je.
- T'ose te plaindre?! Me dit Yasmina.
- S'il vous plait non... dis-je en pleurant.
- Et maintenant elle va se mettre a chialer, bordel mais arrête! C'est pour notre bien. Tu doit faire ça! T'est notre chien n'oublie pas.
Le plat n'arrive pas jusqu'à la table, il s'écrase par terre dans un bruit ahurissant. Mes larmes se mette a couler sur mes joues. Kenza s'approche de moi et me fait tomber par terre, je glisse dans la sauce du plat. Ma tête cogne par terre. Leurs deux visages s'approche et leurs mains viennent de nouveau rencontrer ma peau. Je tourne mon visage vers la baie vitré, je ne sens plus les coups quels me donnent, pourtant je vois leurs corps bouger au dessus de moi.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
J'ai passer toute la semaine à guetter l'immeuble, mais rien aucune trace. Je suis sur le balcon en train de fumé, j'aime pas fumé à l'intérieur de l'appartement. Putain!
Je jette ma clope dans le vide, quitte l'appartement en courant, j'entends plusieurs pas me suivre, j'arrive dans la rue, par chance un mec est en train d'ouvrir la porte de l'immeuble, j'entends mon prénom dans l'air, mais je ne m'arrête pas. L'ascenseur trop long, alors je prends les escalier, je cours, monte les marche quarte par quatre...
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Salut! Alors voilà u nouveau chapitre!
Vous en pensez quoi? Des idées pour la suite?
Vous trouvez que mon histoires est cohérente? Vous la trouvez comment?
Bisous
VOUS LISEZ
Dignité ( Mékra ) ( /!\ HISTOIRE SENSIBLE /!\)
FanfictionLa dignité est le respect, la considération ou les égards que mérite quelqu'un ou quelque chose. La dignité de la personne humaine est le principe selon lequel une personne ne doit jamais être traitée comme un objet ou comme un moyen, mais comme une...