La dignité est le respect, la considération ou les égards que mérite quelqu'un ou quelque chose. La dignité de la personne humaine est le principe selon lequel une personne ne doit jamais être traitée comme un objet ou comme un moyen, mais comme une...
J'arrive à son étage, sans m'en rendre vraiment compte j'ai défoncer la porte, les deux femmes se sont même pas relevé, elles continue a frapper la jeune femme au sol, j'entends un gémissement qui me glace le sang, je coure vers elle, poussent les filles, qui se retrouve contre le mur, leurs mains pleine de sang, Kenza a des flammes pleins les yeux, j'entends un nouveau gémissement, je me retourne, le visage de Raffaella est pleins de sang. Je m'accroupie et pose mes mains sur ces joue, c'est yeux sont dans le vide.
- Oh mon Dieu.
Je reconnais la voix de Floriane la copine de Ken. Elle s'approche de moi, de nous.
- Faut l'emmener à l'hôpital! me dit-elle.
Les autre garçons sont là aussi.
- Certainement pas! Nous crache Kenza. Elle est a moi! mon père la acheter quand elle avais huit ans, elle ne bougera pas d'ici.
Je regarde Floriane, c'est poings se serre. Ken le remarque aussi.
- Elle est a moi, a mon service! nous crie Kenza.
Elle s'approche des filles, j'entends ensuite des hurlements, je quitte un instant Raffaella des yeux, pour voir que Floriane est en train de frapper Kenza, Yasmina ne bouge pas. Un nouveau gémissement me fait revenir à la réalité, je la prends dans mes bras. Elle se met a crier, je sais que je doit lui faire mal, mais j'irai plus vite que les pompiers. Les garçons on fini par séparer Floriane et Kenza. Je monte à l'arrière et Framal prend le volant, je ne la quitte pas des yeux.
- Reste réveiller Rafaella, s'il te plais, reste réveiller.
Mais c'est yeux son toujours dans le vague et finissent même par se fermer.
- Va plus vite! Dis-je a mon frère.
- J'essaie, me dit-il.
Après de longue minutes interminable, sont arrivons au urgence, Framal c'est arrêter devant les portes, il m'aide a sortir et je me précipite à l'intérieur.
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Tous le monde me regarde choquer, Rafaella est inerte dans mes bras, un infirmier se précipite vers nous, il me la prends des bras, je le suis, mais un autre m'arrête dans ma course.
- Vous ne pouvez pas les suivre, attendez ici.
Je regarde les portes se refermer. Framal arrive. Aucuns de nous ne parle. Une heure, deux heures. Le soleil commence a se lever et je suis toujours là, à attendre. Idriss est rentrée depuis des heures. Je n'ai reçu aucune nouvelle, rien...
- Vous devriez rentré chez vous M, elle est en soin intensif pour le moment.
Je souffle.
- Vous pouvez prendre mon numéro et m'appeler quand elle sera sorti.
Il me fait un mince sourire.
- Oui, me dit-il.
Il me donne un papier et un crayon, je griffonne les chiffres, et sort de l'hôpital. Je me rends chez Framal. M'allonge dans son canapé et fini par m'endormir.
