Dignité ( Mékra ) ( /!\ HISTOIRE SENSIBLE /!\)

06

Plusieurs jours plus tard, la maison est propre, pour l'invité de ce soir, les filles ne sont pas là de la journée, elle ne rentre que vers les 17h00. J'ai déjà mis la table pour ce soir, malgré mon rhume j'ai décider de sortir un peu, l'air frais me ferait peut être du bien. Une fois dehors, je marche sans trop savoir où aller, les rues son remplis de monde, je me fait bousculer, on me lance des regards de dégoût, je traverse vite la rue, c'était peut être pas une bonne idée de traverser, il y a tous pleins de magasins de nourriture et vue l'heures, l'odeur va me rendre folle, j'ai super faim, mon ventre me fait horriblement mal. Je passe devant plusieurs grecs, chinois, où autre trucs, que même-ci ce n'ai pas bon pour la santé, j'en mangerais des tonnes pour ne plus avoir faim. Ma tête tourne, je trouve un petit banc plus loin, je m'y installe le temps que ma tête cesse de tournée.

Plusieurs groupe de jeune passe devant moi, j'entends leurs ricanement, et a chaque fois j'ai des regards... Mais pourquoi je suis sorti? J'aurai dû rester enfermer dans l'appartement, en plus si Kenza vois que je suis sorti, ça ne va pas le faire, mais pas du tout.

- Salut.

Je relève la tête, vers la voix grave qui m'a sorti de mon combat intérieur. Je détourne vite les yeux.

- Salut, lui dis-je a mon tour.

- Qu'est ce que tu fait là?

- Rien, je prend l'air.

- Ta l'air d'aller mieux, me demande Hakim.

- Oui.

Je ne le regarde toujours pas.

- Ta manger?

J'ai envie de rire, je ne sais pas a quand remonte mon dernier vrai repas...

- Non.

- On mange ensemble? me demande-t-il.

- Pourquoi? lui demandais-je.

- Comme ça, et puis comme tes une des voisines de Deen, c'est toujours bien d'apprendre a vous connaître.

- Je vais rentrée, c'est mieux, lui dis-je.

Je me lève, sans doute un peu trop vite. 

- Ca va? me demande-t-il.

- Oui, c'est bon.

Je secoue la tête.

- Un grec, juste un, me dit-il.

- J'ai pas d'argent, dis-je en regardant les voitures qui passe.

- Sa tombe bien, c'est moi qui paie, me dit-il.

Il se lève a son tour, puis il commence a marcher. Mais il s'arrête après quelque pas.

- S'il te plais Raffaella.

Je baisse les yeux, c'est un grec mais on moins sa remplira mon estomac. Je relève la tête il me regarde toujours, je marche dans sa direction. Le chemin jusqu'au restaurant se passe dans le silence. Il entre dans premier dans le restaurant rapide, je le suis, il donne sa commande à l'homme qui tiens la caisse. Il me regarde ensuite.

- Pareil, dis-je sans trop avoir compris ce que je venait de demander.

Nous partons nous installé à une table. Je regarde autour de moi. A part manger du pain sec, des choses périmer, bu de l'eau quasiment toute ma vie. Je me retrouve à manger dans un grec, avec un homme que je ne connais pas, à boire une canette rouge qui pique, et super sucré. J'ai même les yeux qui pique et le nez après avoir bu une gorgée de la canette route et au logos blanc. L'homme de tout a l'heure dépose devant nous deux plateaux. Je le regarde avec de grand yeux. On dirai un chaton devant un sapin de noël.

- Bonne appétit, me dit-il.

- Merci, a toi aussi.

Je regarde mon plateaux sans trop savoir par où attaquer, j'attrape le tout et mord dedans, j'ai du m'en mette par tous sur mon visage, mais je m'en fous. C'est super bon. Je le termine vite ainsi que les frites. Quand je relève la tête, Hakim me regarde surpris, j'ai tout terminer alors que lui en ai a sa moitié.

- On dirait que tu a jamais manger de ta vie, me dit-il.

Je baisse les yeux...

- Oui, c'est juste que j'avais super faim...

- Tu en veux un autre?

C'est peut être un peu trop? même-ci j'ai encore un peu faim.

- Non c'est bon, lui dis-je.

- Sinon tu fait quoi dans la vie? me demande-t-il.

- Je fait du ménage, des trucs comme ça.

- Et sa te plais?

- J'ai jamais rien connu d'autre, lui dis-je.

- Ah bon, mais t'est jeune, ta quel âge 23-24 ans?

Je cherche dans ma mémoire. Je regarde la pendule et vois qu'elle y affiche 13h30.

- C'est l'heure ça? lui demandais-je.

Il se tourne et regarde la pendule.

- Euh oui, pourquoi tu est pr....

Je ne le laisse pas terminer.

- Faut que j'y aille, dis-je en me levant et en quittant l'établissement.

Je traverse la rue et marche vite pour l'appartement. Je suis déjà en retard pour préparer le dîner de ce soir. Elle veux un couscous. Une fois dans l'appartement, je met mon tablier et me met derrière les fourneaux.

A 17h00 pile, les filles sont de retour, je ne sais même pas où elles on passé l'après-midi.

- Sa a intérêt a être bon Ella!

Moi aussi je l'espère. 20h00, on sonne à la porte et je pars ouvrir, l'homme me regarde de la tête aux pieds, j'en suis presque gêner. Ce que je trouve étrange c'est que cette fois-ci elle me demande de faire le servir, elle ne m'envoie pas dans la buanderie. Je leurs serre à boire, j'entends quelques morceaux de la conversation.

- Elle ai...

- Bien sur.

- Combien?

- 2000, lui dit Kenza.

- D'accord. J'ai la personne qu'il faut.

- Super, entendais-je de Kenza.

Le dîner continu, l'homme s'en va vers les 00h00, les filles aussi. Bien sur j'ai pour ordre de tout ranger et nettoyer. Une fois terminer je passe le ballet. Devant la baie vitrée, Deen m'observe. Je m'approche du boutons et le volet descend, pour se fermer complétement. Une fois le ménage terminer, la vaisselle fêtes, je me dirige vers la buanderie.

Plusieurs jours ce sont écouler, je suis en train de nettoyer le plan de travail, quand Kenza entre et me jette une boîte devant moi.

- C'est quoi? lui demandais-je.

- Pour que tu reste en forme, tu en prend une tout les jours.

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Alors ce chapitre? Vous en pensez quoi?  Des idées pour la suite? Des avis?

Bisous