Je suis allongée dans mon lit, mes yeux plongée dans le plafond, j'ai passer une très bonne journée avec Floriane, je n'ai pas vue Hakim aujourd'hui et a vrai dire c'est vraiment étrange... Je n'arrive pas à dormir ce soir, je ne fait que tournée et tournée dans mon lit, enfin sur la couette que Hakim m'a préparer. Les heures défilent, je repense a ce que m'a dit Ken. Qu'ils seront toujours là pour moi... dois-je vraiment les croire? Je l'espère, je voudrais tellement être une fille normal, avoir des amies sur qui compter, un amoureux, un appartement, un travaille. Peut être que je trouverai en temps que femme de ménage... J'ai pas mal d'expérience... mais comment je peut faire de l'humour sur ma propre vie plus que misérable, je n'ai rien connu d'autre, vraiment rien, je n'ai pas vraiment eu d'amies, ni de petit copain, enfin j'ai failli...
C'était il y a plusieurs années, j'ai rencontrer Nabil voisin des Kalifah, ces parent aussi riche qu'eux, a chaque fois qu'il me voyait, il me souriais, pendant plusieurs jours j'ai trouver des roses avec une petit étiquette où était inscrit mon prénom, au début je ne savais pas du tout qui c'était, alors je suis rester éveillée toute la nuit, mais il n'y a plus rien eu, jusqu'au jours où je devait sortir les poubelles, j'avais oublier de la faire le soir, tout le monde dormais alors j'en ai profité, je ne voulais pas recevoir de punition de leurs pars... j'ai ouvert la porte et je suis tomber sur lui, sur Nabil, un sourire timide sur ces lèvres charnue, une rose entre les mains, de ça main libre, il l'a poser sur sa nuque. Il m'a ensuite tendu sa main où se trouvais la rose. Je l'ai prise et la Latifa est arrivée derrière moi et dans la journée tous le monde la su, les parents de Nabil l'on envoyé à Londres et je ne l'ai jamais revue... C'est sûr que c'était la honte d'être avec une fille comme moi, une simple servante, qui n'a ni famille, ni argent.
Je suis sorti de mes pensées par le chant des oiseaux, le soleil commence à pointer son nez. De toute façons je ne dormirai plus alors au temps se lever, je sort de la chambre et commence a préparer le petit déjeuner, je sort tout ce qu'il faut. Dès qu'il y a une tache, je nettoie, c'est devenue un tic peut être que Floriane à raison, je devrait aller voir quelqu'un. Il est encore très tôt, je décide d'aller dans le canapé en attendant qu'elle se lève, j'ai allumer la télé et je suis tomber sur des dessins animés, je n'ai pas retenue le titre, mais c'est l'histoire de trois lycéennes qui sont devenues espionnes et qui sauvent le monde.
- Tu est déjà levée?
Je sursaute, Floriane me regarde en souriant, encore endormi, elle ne porte qu'un short, un débardeur et un pull à capuche noir avec une inscription en blanc dessous. Nous prenons notre petit déjeuner ensemble.
- Tu sais Floriane, j'ai bien réfléchie et peut être que vous avez raison, je dois voir quelqu'un.
- D'accord, je vais faire le nécessaire, me dit-elle.
Encore une journée sans voir Hakim... peut être qu'il regrette, qu'il ne veut plus me voir ni me parler? Je me retrouve avec Floriane dans la salle d'attente d'un médecin, ma jambe n'arrête pas de sauter toute seule, nous sommes seul dans la salle, Floriane lis un magasine qui se trouvait sur la petite table basse, la porte fini par s'ouvrir sur un homme, assez grand, des cheveux poivre et sel, il nous regarde en souriant.
- Ella, c'est a votre tours.
- Je t'attends en face, me dit Floriane.
Je lui attrape la main et la serre assez fort.
- Tu ne vient pas avec moi?! Lui demandais-je.
- Non, mais je ne serai pas loin, je te le promet.
Je lâche son poignet et me dirige vers l'homme qui se trouve toujours dans l'encadrement de la porte. Il me sourit quand je passe devant lui, son bureau est aussi grand que la salle d'attente, un bureau, une bibliothèque bien remplis, un petit salon. Il se dirige vers celui-ci.
- Installée vous, me dit-il.
Je m'installe sur la canapé noir assez loin de lui, il prends un carnet et un crayons, je le vois griffonné quelques chose puis il relève sa tête et me regarde.
- Alors comment allez vous?
- Ca va.
- Pourquoi être venu me voir Ella? me demande-t-il
- Il paraît que ces pour mon bien, lui dis-je.
- Vous ne le pensez pas?
- Je ne sais pas... a vrai dire.
- Je suis là... pour vous écouter, vous pouvez me parler de tout, je ne vous jugerai pas Ella. Jamais.
- Je ne sais pas par où commencer, lui dis-je, c'est compliquer, vraiment.
- Prenez votre temps, parlez moi quand vous serez prête, continu-t-il.
- D'accord, lui dis-je.
Mais aucun mots ne sort de ma bouche, la séance se termine comme ça, je le remercie même-ci je ne lui ai rien dit et quitte son cabinet, je me retrouve dehors, le ciel est gris et quelques goutes de pluies commence à tomber sur le sol parisiens. Je regarde autour de moi, mais ne vois ni de bar ni de Floriane, je commence à paniquer, pourtant elle m'avait dit qu'elle serai là. Je marche sur le trottoir, je regarde autours de moi, plusieurs personnes marches, me dépasse, concentré sur leurs portables où avec de la musique dans leurs oreilles.
- Ella!
Je me retourne et cherche la personne qui m'a appeler, je m'arrête net quand je vous Kenza et Yasmina, elles sont assez loin, mais quand je vois qu'elles marchent dans ma direction, je me retourne et me met à marcher vite, puis je fini par courir, je ne sais pas où je vais, je cours, je ne veux pas que sa recommence, jamais. Je n'ai plus de souffle, j'ai un point de côté, je n'en peut plus, les gens me regarde comme-ci j'étais folle de courir comme ça. Je m'arrête et entends mon cœur cognée contre ma poitrine. J'entends de nouveau mon prénom, une main se pose sur mon bras et m'attire vers l'entrée d'un bâtiment...
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Moi je trouve qu'elle part un peu en cacahuète ! J'attends vos avis
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Dignité ( Mékra ) ( /!\ HISTOIRE SENSIBLE /!\)
FanfictionLa dignité est le respect, la considération ou les égards que mérite quelqu'un ou quelque chose. La dignité de la personne humaine est le principe selon lequel une personne ne doit jamais être traitée comme un objet ou comme un moyen, mais comme une...