Dignité ( Mékra ) ( /!\ HISTOIRE SENSIBLE /!\)

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Plusieurs jours plus tard

J'ouvre les yeux épuiser, le carrelage de la buanderie est froid, j'ai mal au dos, enfaîte j'ai mal partout. Le soleil se lève tout juste, je me lève et quitte la buanderie, je me rend dans la cuisine, et me met à faire le petit déjeuner, je me dépêche de le faire, M.Kalifah se lève plus tôt qu'avant. Le café est juste près quand il arrive. Les pieds sous la table, je lui sert, et dépose les tranches de pain près de lui.

- Bonjours, lui dis-je.

Je n'obtiens pas de réponse, je retourne à la cuisine et fait le ménage. Sa femme arrive, je lui sert son thé. Une fois que M.Kalifah soit parti, je me retrouve seule avec sa femme. Elle ne me jette même pas un coup d'œil.

- Il y a le salon à nettoyer, nous recevons du monde ce soir, tu nous prépare de quoi dîner, il y a les courses aussi à faire.

- Très bien madame.

Les jours passe et je suis épuiser, je ne me rappelle pas du dernier repas que j'ai pris, sa fait à peine une semaine que je suis de retours et la seul chose dont j'ai envie, c'est mourir... Hakim me manque et je doute qu'il me recherche, il finira par m'oublié et il trouvera une autre femme avec qui partager sa vie.

Point de vue Hakim

Je tourne en rond dans mon salon, mon téléphone en haut parleur, j'attends qu'on nous répondent, Laura est assise sur un des fauteuils, mon frère dans un autre.

- Allo, dit une voix féminine.

- Oui, bonjours, je vous appel ces pour un renseignement, je recherche une personne.

- Désoler M, nous ne donnons pas de renseignement sur les immigré.

- S'il vous plais Madame c'est vraiment important, elle est encore peut être dans votre centre.

- Désoler M. C'est la lois, je ne peux rien dire.

Elle nous raccroche au nez, j'ai envie de tout casser, Laura regarde le sol, mon frère me regarde moi.

- Je suis sûr qu'on va la retrouver, me dit-il.

- T'est sûr? C'est le troisième centre que j'appel et rien, dis-je en m'installant.

- Où est ce qu'elle vivait avant de venir ici? Nous demande Laura.

- Au Maroc, à Fès.

- Et si on allait voir là-bas? nous dit-elle.

- Faut bien commencer par quelque parts, ajoute Framal.

- Oui.

J'attrape mon ordinateur et nous prends plusieurs billet pour Fès, nous entendons sonner, Ken entre seul dans mon appartement, j'en eux toujours à Flo, Ken me jette toujours un regards noir, mais je m'en fous, si c'était elle qu'on avait enlever, je suis sûr qu'il m'en voudrait aussi. Je me dirige vers mon balcon. Ken sur mes talons.

- Des nouvelles? me demande-t-il.

- Non, les centre ne veulent rien dire.

- Je suis désoler Mek, mais Flo ni ai pour rien.

- Si, j'aurai été là, quand ils l'aurai embarquer Ken, je l'ai aurai empêcher.

- Flo ne fait que pleurer, va t'excuser s'il te plais.

- Je m'excuserai simplement si j'arrive à retrouver la femme que j'aime, lui dis-je.

Ken ne répond rien.

- C'est bon, j'ai pris les billets pour le prochain vole de demain.

- Vous allez où? demande Ken.

- A Fès, peut être qu'elle est là-bas, lui dit Framal.

- D'accord, dit-il.

Le téléphone de Laura se met à sonner, elle part répondre dans la cuisine. Je me tourne vers la ville.

Ella, ma Ella, tiens bon, j'arrive, je ne sais pas où tu est, mais je te retrouverai, je serai l'homme que tu a toujours rêver, je serai l'homme qui te protégera jusqu'à la fin de ta vie, tu ne manquera de rien avec moi, je te le promet ma belle, je t'emmènerai là où tu n'ai jamais aller, je te ferai découvrir un monde, mon monde. Mais tiens bon ma Ella, tiens bon.

Point de vue Ella

Allonger sur le carrelage, je ne dors pas bien, alors quand la porte s'ouvre avec fracas, je sens une main m'attraper le t-shirt et me traîner dans le salon, M. Kalifah est fou de rage. Il lève son bras et me gifle le plus fort possible, je tombe par terre, je vois Mme. Kalifah pleurer dans son coin, mais je me reconcentre sur lui, il a la rage et sa se lis dans ces yeux. D'autre coup pleuvent sur mon corps, je ne m'était pas remis de la dernière fois, avec sa fille, mais lui frappe plus fort, j'ai le goût du sang dans la bouche. Je le vois se rapprocher, il m'attrape le t-shirt et me soulève, je me retrouve a quelques centimètre de son visage.

- La police Française m'a appeler, ma fille a été arrêter à cause de toi! Elles aurai dû t'achever la dernière fois! Tu ne t'ai jamais demander comment ce faisait-t-il qu'elles était toujours au même endroit! Tu m'a coûter chère Ella, j'ai dû engager un pauvre type pour te suivre, alors j'espère que tes sortis avec ton pauvre petit rappeur ton plus, que tu en gardera un bon souvenir, maintenant c'est terminer. Si m'a fille va en prison, je te prévient tout de suite que tu ne t'en sortira pas vivante!

Il me lâche et recommencer à me frapper, je n'ai plus de larmes, je regarde Mme. Kalifah qui pleurent toujours, je sens les coups, ces mains frapper mon corps quasi inerte. Je ne dit rien, je ne cris pas, j'encaisse.

Les lumières du salon finissent par s'éteindre, je suis toujours allonger sur le carrelage, je ne bouge pas. C'est la pleine lune aujourd'hui, j'ai toujours trouver la lune jolie, je reste la fixer pendant pas mal de temps. Les membres de mon corps son engourdi, la douleur commence à se faire ressentir. J'ai mal. Je ne sais pas combien de temps je reste là, comme ça. Mais le soleil commence a se lever quand je me relève, ma tête tourne, après quelque minutes. Il y a pas mal de dégâts dans le salon. Il faut que je nettoie tout, j'ai dû mal je n'en peut plus. Je pourrait m'en allez, me sauver, mais pour aller où? De toute façons il me retrouvera et cette fois-ci, il m'ôtera la vie. C'est certain.

La journée commence, comme les autres, le petit déjeuner prêt, je fini de nettoyer le désordre, le couple Kalifah est à table quand on sonne à la porte. Il part ouvrir, je me fige en entendant la voix.

- Bonjours, j'espère que vous pouvez m'aider, je recherche cette jeune femme.

Je lâche ce que j'était en train de faire, et courre vers l'entrée. Mais Mme. Kalifah m'attrape le bras.

- Vient par là toi! crie-t-elle.

Elle pose sa main sur ma bouche pour m'empêcher de parler, a ce simple contact j'ai mal partout.

- Désoler, je ne sais pas qui sait, répond-t-il.

J'entends la porte se refermer, elle fini par me relâcher.

- Dépêche toi de te remettre au travaille, me dit-elle.

Je baisse les yeux et m'y remet.

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Voici un nouveau chapitre! Vous en pensez quoi? Des idées pour la suite?

Sinon nouvel histoire que Framal qui change un peu ( enfin je pense mdr)

Bisous