Chapitre 13

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On discuta légèrement quand je reçu un coup de téléphone d'un numéro inconnu. Je ne répondis pas, des groupies réussissaient souvent à tracer mon numéro et j'avais maintenant pour habitude de ne plus répondre aux numéros dont je ne connaissais pas l'existence. On termina de petit déjeuner et on se renda au lycée sans soucis. Arriver là-bas Ali ouvre ses bras pour accueillir son amoureux mais se détacha rapidement avant de se jeter littéralement sur moi.

- Lucas, tu reviens à la maison ce soir ? Enfin je sais ce que tu vas répondre « Mais pour qui tu me prends ? Il n'a pas le droit de ma parler comme çaBlaBlaBla »... Ali continua ainsi en parlant à toute vitesse.

- Ali... J'avais beau essayer de la couper, sans cesse elle revenait avec son monologue. Ali... J'appuyer sur le « i » afin de lui faire comprendre qu'elle pouvait s'arrêter mais rien. Ali ! Arrête toi, je rentre ce soir !

Ses yeux pétillaient à présent et ça suffisait à me convaincre d'avoir pris une bonne décision. Elle me raconta globalement la même chose qu'y hier soir mais je voyais bien que cela l'affecter je dirai même la touchée. Ça la touchée car d'une part j'étais son frère et d'autre part que cette histoire « stupide » a plus d'une fois faillit détruire notre famille. La cloche venait de sonner quand deux petites mains se posèrent délicatement sur mes yeux .

Une odeur légère vint se glisser dans mes narines et mon visage neutre laissa place à un sourire radieux. J'enlève rapidement les mains de Marie, me retourna et la pris par la taille l'entourant maintenant à mon corps plus imposant que le sien. De légère pressions de mes lèvres sur sa tempe j'étais heureux de pouvoir enfin mélanger travail et peut-être « amour » ? Enfin « Amour » c'est un bien grand mot. L'amour aujourd'hui s'arrête simplement sur trois petit mots que certains d'entre nous, je dirai même plus, beaucoup d'entre nous utilise comme il utilise papier toilette pour se torcher le Cu. Je pense que c'est trop mots sont utilisés pour tout et rien aujourd'hui et vous pouvez me trouvez « vieux jeu » mais quand je dirai c'est trois petits mots (enfin si je les dits un jour) cette personne devenu « spéciale » sera que mes sentiments sont réels, vrai, existant simplement... Mais ne rêvaient pas se n'est pas pour demain !

- Qu'es que tu fais ici ? Je ne pensais pas que tu prendrais au sérieux ce que je t'ai dit hier ? Toujours dans mes bras tous les regards sont tournés vers nous.

- Et bien le lycée m'a appelée hier soir et ils m'ont dit que je pourrai venir à partir de Lundi mais après négociations et en raison des évènements récents je me suis dit que le mieux serait de venir à partir d'aujourd'hui. Je sens son sourire contre mon torse. Bonne idée n'es ce pas ?

- La meilleure. Je lui fais un dernier baiser et prends sa main l'amenant jusqu'à sa première salle.

Nous parcourons les couloirs et arrivant dans la salle je la retiens une dernière fois, lui déposa de nouveau un baiser et la laissa toquer.

- Entrez. Ce cher professeur était un des meilleurs. J'avais veillez à ce qu'elle soit dans la meilleure classe.

Je repars en direction de ma classe et après quelques pas retrouve Louis en salle.

Les heures passèrent assez rapidement et il me tarder de retrouver ma petite amie à la première pause de la journée. Je regarder chaque secondes défilées sur l'horloge de la salle et quand le dernier tour d'aiguille fut passé je me précipitai en dehors de la salle. J'étais installé un peu en retrait, appuyé sur un mur attendant que Marie sorte de sa classe. Quand elle sorta, je vis qu'elle chercher quelque chose ou du moins quelqu'un. Elle me passa devant, ne me voyant pas et je m'approcha l'enlaçant par la taille et lui glissa quelques mots doux dans le creux de son oreilles ; enfin des « mots » que « je » qualifie de « doux » :

- J'ai envie de toi princesse. Elle se tourna vers moi affichant une mine semi dégoûté, semi surprise.

- Alors je tiens à te préciser que ce genre de penser ne m'intéresse AB-SO-LU-MENT pas et ensuite es que tu pourras calmer tes hormones faisant précisons sur mon fessier ? Je la lâcha et d'un regard tout sauf discret regarda mon entre jambe. En effet un début d'érection était présent, mais quand on avait la semaine passée une activité sexuel plus qu'active, faire un sevrage est plutôt...compliquer.

- Oh putain, je suis vraiment désoler mais d'un côté tu sais que c'est un compliment ?

- Donc ce que tu es entrain de me dire que c'est flatteur pour moi de te faire bander ? Son visage rieur est trahi par un fou rire qui risque de ne pas être retenu très longtemps.

- Oui ?

Son fou rire fut communicatif et les larmes nous montèrent rapidement aux yeux. Quand Ali nous rejoignit elle nous dévisagea longuement nous laissant le temps de nous reprendre puis nous proposa de partir manger en ville.

Nous mangeons rarement en ville elle et moi les journalistes étant la principale cause. Mais voyant que cela faisais très plaisir à Marie j'acquiesçai et nous mettons en route.

Sur la route Louis et Alicia nous distancés légèrement ce qui me laissai le champs libre pour pouvoir parler à Marie des journaux de ce matin.

- Dis moi, tu as vue les journaux de ce matin ?

- Hum... Non je ne me souviens pas en avoir acheté un aujourd'hui. Pourquoi ? Es qu'il y a encore des ragots sur toi ou moi ? Elle me regardait droit dans les yeux essayant de lire en moi.

- Non, je ne dirai pas ragots pour une fois mais je trouve vraiment étrange que les journaux soit aussi vite au courant de mon « accrochage » avec mon paternel, regarde. Je lui tend l'objet. Il y a des détails extrêmement précis sur hier soir. Que se soit l'heure, mon état, le déclenchement... Tout y est !

- Effectivement... Tu pense que quelqu'un aurait pus faire fuiter quelques informations à la presse ?

- Non, à pars Louis et toi autant de détails est impossible crois moi.

- Et tu pense qu'un de tes employés ou de Louis aurait put pour une belle somme donner des détails ? Mes Employés ? Impossible ! Ceux de Louis me connaissent bien et même si j'en doute je pense que certains en manque d'argent ou voulant des vacances plus longues aurait peut-être et je dis bien peut-être laisser échapper quelques informations.

- C'est une hypothèse plausible, j'en parlerai ce soir au Roi que l'on se renseigne sur la personne qui a écris ces articles.

- C'est une idée plus que mature mon chère ! Elle me sourit et me fis un baiser sur la joue. Mais tu sais, tu ne devrais pas en vouloir aux employés ou aux journalistes après tout ils sont là pour ça. Sur cette phrase je me dis qu'elle avait sûrement raison mais j'étais loin de me douter des proportions que cela entraînerai.

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NB: À l'heure pour une fois ><
Un grand merci à vous qui êtes de plus en plus nombreux à lire et voter ça me fais vraiment plaisir, dites moi ce que vous pensez de TLP bisous la...? Une idée de nom de team ?

The Little PrinceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant