Chapitre 20

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Après deux heures de travail plus ou moins sérieux, je décide de rentrer à la maison, la deuxième étape de l'apprentissage de Marie n'est autre que le repas ; une des choses le plus difficile.

Il est actuellement 19h et j'ai demandé à Alicia d'informer les employés ainsi que mes parents de la présence de Marie ce soir, même si je dois l'avouer, j'aurai préféré qu'elle ne rencontre jamais mon père... Nous rentrons dans l'enceinte quand Alicia vient nous saluer accompagner de Louis. Tiens, si mon meilleur ami est ici, c'est qu'Alicia et lui savaient parfaitement que je ne tiendrai pas en face de se menteur professionnelle, enfin le Roi des menteurs serait le nom parfait ! Mais passons, j'invite ma petite amie à me suivre dans ma chambre, nous serons beaucoup mieux et pourrons discuter du déroulement du bal, elle commençait à me poser beaucoup de question quand nous étions là-haut, j'ai donc pensé qu'il était temps de rentrer.

Nous arrivons à mon étage, et j'ouvre la porte à mon invitée qui y pénètre timidement. Je la referme derrière moi et me glisse doucement dans son dos, ses petites mains encercle mes bras, et je me pose ma tête sur son épaule. La Baie vitrée laisse percevoir le début du crépuscule et ses magnifiques yeux bleus observent ce spectacle de la nature. D'humeur joueuse, je commence à embrasser sa tempe, puis je descend progressivement vers sa joue, je m'arrête à la commissure de ses lèvres, les yeux fermés elle se mord la lèvre inférieur. Satisfait, je reprends mon ascension vers son cou. Je suçote légèrement sa peau fraîche et y dépose une marque rouge plutôt discrète, mais alors que j'allais continuer Marie se retourne brusquement de moi et de ses mains experte rapproche son visage du mien. Je suis agréablement surpris d'elle et de ses initiatives et pendant ce baisé passionné je ne peux m'empêcher de sourire. Nos langues danses comme jamais elles n'ont dansaient, mes mains descendent le long de ses fesses et je la soulève la collant ainsi contre la grande baie vitrée, nos respirations sont lourde et saccadées, ne tenant plus je la déplace jusqu'à mon lit, je descend de nouveau mes baisés à son cou et me rapproche dangereusement de sa poitrine généreuse. Dans un élan de lucidité je demande ;

- Bébé, dis moi stop tout de suite. Mes lèvres se baladent toujours et quand elle cambre je sais que je ne pourrai bientôt plus retenir Jean-Michel. Bébé, il faut que tu me le dise maintenant vraiment !

- Lucas... Alors que Marie toujours sous mon emprise allait répondre à ma question, la porte s'ouvre brusquement et se referme aussi vite pour laisser place à un homme de dos ; Alvin.

- Monsieur, je suis sincèrement désolé de vous déranger mais la Reine mère vous réclame depuis quelques minutes, elle souhaiterait commencer le dîner par une mise en bouche. Pendant qu'Alvin toujours de dos nous explique cela, je vois au visage de Marie qu'elle est mal à l'aise alors avant de répondre à Alvin, je lui dépose un léger baisé sur le front avant de lui lancé un clin d'œil, vous savez ce qui disent « T'inquiète pas, je gère princesse ».

- Très bien, merci Alvin et, Je me rapproche de lui. Merci de... d'avoir...

- J'ai compris monsieur, ne vous en faîtes pas. Il me sourit puis referme la porte.

- Et bien, on est passé à peut. Souffle Marie, d'ailleurs nous n'avons jamais abordé le sujet elle et moi.

- Je peux te poser une question ?

- Bien-sûr bébé. Me répond t-elle.

- Es que... Hum, tu as déjà ? Enfin tu vois ? Elle lâche un petit rire.

- Es que je suis encore vierge c'est ça ? J'approuve. Et bien, non j'ai sauter le pas à 16 ans avec mon ex, sinon tu peux être sûre que je t'aurais arrêtée. Elle se recoiffe, puis se rapproche de moi.

The Little PrinceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant