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Un vent glacial c'est installée dans l'école. Un vent bien réelle. Des frissons me parcours, pas des frissons de peurs, mais de froid. Je peux voir mon propre souffle s'échapper de mes narines et de ma bouche. 

Mathieu ne bouge pas, comme paralysé. Des craquements ce font entendre de part et d'autre. Quand Amélie m'a tiré en arrière, beaucoup d'étudiants ont fuient la situation. Laissant une petite poignée de personnes ici présente, dont moi. 

Je regarde la scène qui ce trouve juste sous mon nez. Le sol est rongée pars la glace, les pieds de Mathieu sont pris dedans. Les murs sont tachées de particules de glace. Mes jambes sont enlacées pars le froid  de la pièce. De ce fait, je tombe facilement à genoux. 

- Alors c'est ça, le pouvoirs spirituelle d'une classe A ? M'expliquais-je à moi-même.

Les professeurs et les surveillants sans sortent indemne, les élèves aussi. Seul Mathieu à pris les conséquences de cette acte irréfléchie. 

Si il ne faisait que jouer avec moi ? Pourquoi se serait-il interposait ? Il n'est que de classe B. Sont corps est envahit pars la glace. Sont visage est figé, comme si un arrêt du temps c'était produit. Lui qui est pâle, le devient de plus en plus. 

La douce voit d'Amélie me ramène à la vérité.

- Mathieu ! Mathieu ! S'écrit-elle.

Mes doigts ce laisse glisser sur la matière froide. C'est bel et bien de la glace. Si dure, si froid, comme sont possesseurs. 

- Pourquoi.. Pourquoi faut-il que Mathieu c'est interposé ? Nous subissons la même chose que toi, nous avons perdue nos amis..Depuis que Mathieu c'est mis dans la crâne d'être ton amis, tout à changé autours de nous. Continue Amélie. 

Il était sérieux.. 

- En larme, Je commence à croire que Dylan à raison. Tu n'es qu'une nuisance. Tu as mis la chaos dans notre académie ! S'exclame celle-ci.

Voilà que les adultes ce mettent autours de la victime. Délaissant la situation précédente. A travers une brèche, j'aperçois Dylan, ces cheveux aux teintes ténébreuses possèdent des mèches d'un bleu très claire, s'approchant du blanc. 

Le sourire au lèvre, comme le ferait un vainqueur. 

Amélie à raison. Je ne suis qu'une nuisance. Un rat qui c'est introduit parmi les serpents. Je commençais à vraiment apprécié ces deux là, mais à quoi bon leurs imposait mes souffrances ? 

L'origine de cette glace vient ce placer pile devant moi. Posant ça main délicatement sur mon épaule, la froideur de ça paume me fige sur place. 

- A-tu compris à présent ? Arrête d'endommager les vies des autres. Si tu ne peux pas repartir, alors tu n'a qu'a te laissé mourir. A moins que tu me laisse faire ce plaisir ? 

Je voulais faire du mal à personnes, bien au contraire ! Je voulais juste me sortir de cette boucle, mais je n'ai fait qu'aggravé les choses.

- Si je ne t'ai pas tué bien avant, c'est juste car Mathieu me tenait tête. Je ne voulais pas en arriver-là en le glaçant sur place. Mais je compte bien l'éloignais de toi. Il fait erreurs, tu n'es pas la personne idéale pour lui.

Sa chevelure reprend ça couleur naturel. Ces doigts longs et fin parcours ma nuque, me chatouillant légèrement. 

-  Les faibles ce feront toujours piétiner pars les forts. Pourquoi crois-tu, que nous, Vampires, sommes bien supérieur à vous ? Les mortels. Continue Dylan.

- Ou veux-tu en venir ? Prononçais-je.

- Les actes ont toujours des conséquences. 

 Il parle du fait que je n'arrive pas à contrôlé mes pouvoirs, que je n'arrive pas encore à me défendre seule. Il me traite comme une moins que rien. Il à peut-être raison après tout. Je subis ça depuis des mois, et je n'ai encore jamais réussie à riposté seule. 

Alors pourquoi ? Pourquoi je me résigne pas à faire ce qu'ils désirent tant ? Que ce soit de partir d'ici ou de juste crevée. 

Sa main s'entoure autours de ma nuque. Il attend de broyait ma nuque ou de m'étrangler... Il attend une réponse. Les adultes emmènent le corps de Mathieu de toute urgence, Amélie les suis de près. Les élèves restant ce sont dissipées, ne voulant pas être mêlée à ça. Me laissant seul avec ce monstre sans cœur. 

- Si tu veux tant que ça t'intégrait parmi nous. Il nous faut des preuves. Mais bon.. Un humain ne deviendra jamais un vampire. Ton existence est une pourriture.

Il resserre ça poigne.

Je n'essaye même pas de me débattre. Les choses vont bien trop vite, je n'ai plus d'issue. 

- Après ta mort, je compte bien tout faire pour tuer tes parents. Ceux qui t'ont crée. Tu n'es rien. Tu es juste un incident répugnant.

- Arrête de parler de mes parents.. Tu ne l'es connais pas. Répliquais-je.

- T'a mère n'est qu'une femme qui à séduit un vampire. Et ce vampire est tombé dans le piège. Les humains sont dangereux. 

Arrête de parler de ma mère comme ça... Même de ce père que je n'ai jamais connu. Mon père à tout fait pour que ce Conseil m'accepte, ma mère ma cacher, à sacrifié ça vie à ma protection. Tout deux connaissais le danger en m'acceptant. 

Alors arrête...

- Continuant à voit haute, De parler sans rien savoir ! Gueulais-je.

Des bruit sourds ce font entendre, plus précisément, des tremblements venant d'objets métalliques qui ce trouve dans la pièce. 

Que ce passe t-il encore ? Un autre pouvoir de Dylan ? Pourtant celui-ci reste stupéfait.

Je n'arrive pas  à contrôlé ma colère, elle monte en moi progressivement. Je n'ai jamais ressentis ça auparavant. 

- Arrête de vouloir me piétiner ! De parler sur moi sans rien savoir ! Arrête d'impliquer des personnes ! Arrête de te croire d'être le centre du monde ! Arrête de profiter de tes avantages ! Criais-je de vive vois. 

- Ferme-là ! Stupide Humaine ! Réplique t-il.

- J'en ai marre d'être faible. Je vais devenir forte, bien plus forte ! Je te surpasserai ! Je ne dépendrais plus de l'aide de personnes ! 

Les actes ont des conséquences. Les faibles ce font piétiner pars les forts. Alors je passerais dans le camp des forts. 

Je ferais honneurs à mes parents. Je suis prête à tout pour réussir.

Il ne juge que pars les apparences... Il n'essaye même pas de me comprendre. Il met les humains tous dans le même sac. Je me suis laissée faire pendant des jours et des jours.. Je ne supporte plus ça.

- Que.. Crache t-il.

Sont collier en métal ce resserre contre ça trachée. 

L'Interdit. [TERMINEE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant