L'Interdit. [TERMINEE]

15

Ma vue met un certain temps à ce stabilisé. La lumière de la pièce m'aveugle quelques secondes. J'ai des courbatures partout. Je reconnais l'odeur, l'endroit, l'infirmerie. 

Je décale ma tête vers la droite, ou ce trouve la table de chevet. L'infirmière vient à mon chevet. 

- Nous avons eu beaucoup de soucis face à cette intercalation. Dit-elle.

- Cela est une partie de ma faute, madame. M'excusais-je.

- Nous pouvons comprendre votre point de vue. Monsieur Weatman peut-être insupportable. Comme vous le savez, nous sommes des créatures assez cruel et nous avons rien fait pour vous aidez. Vous devez vous débrouillez seule. Dit-elle.

- Vous ainsi que Dylan Weatman êtes exclues dans vos chambres jusqu'à que la directrice en décide. Quand à votre "sauveur", il restera dans ça chambre jusqu'à sont rétablissement complet. Sur ce, je dois rejoindre la réunion. 

Je suis résignée dans ma chambre alors..

Je passe mon bras sur mon front. Je me suis souviens vaguement de ce qui c'est passée. Je me rappelle juste du pétage de plomb que j'ai eu contre Dylan. Un bruit titille mes oreilles, je dégage ma tête vers la gauche. 

Mathieu... Je me relève soudain de mon lit, j'étais si inquiète pour lui. Je descend de mon lit, m'approchant du sien. Il à l'aire d'allé bien. Bizarrement, je suis vraiment contente de le voir allonger ici. Il est en sécurités aux moins. Des flashs me reviennent en mémoire. C'est grâce à lui que j'ai pue m'en sortir. 

- Victoria.. ? 

- Mathieu ! M'exclamais-je.

Je me met à genoux pour être à sa hauteur. Ces pupilles bleus me scrute de haut en bas de mon visage.

Il affiche un léger sourire.

- Excuse-moi, c'est de ma faute de ce qui t'es arriver.. Dis-je.

- Ne t'inquiète pas. J'ai délibérément voulut te protéger. 

- Pourquoi as-tu fais ça ? Continuais-je.

- Il semblerait que je me sois déjà expliquer, non ? 

Il me trouve différente car je ne connais en rien leurs fonctionnements. Les paroles de Dylan ainsi que d'Amélie ce chamboule dans ma tête. 

Une nuisance ? J'ai chamboulé leurs vies... 

Hein ? Je me tourne vers la porte d'entrer, le visage d'Amélie apparais devant nous. Elle repart aussi vite. Serais-ce à cause de moi ?.. Je décide de partir d'ici et d'aller dans ma chambre comme convenue. 

- Attend Victoria ! Gueule Mathieu.

Il attrape mon poignet. Je la retire en une seconde. Ma force surnaturel semble agir toute seule parfois.. Qu'elle plaie ! 

- Laisse-moi ! Depuis mon arriver, mensonges et incidents ce succèdent ! Regarde-toi, je t'ai impliqué la dedans. Amélie me déteste. Comme l'a dit Dylan, je suis une pourriture. Une humaine ne pourra jamais devenir une vampire.

Sur ces mots, je me hâte à l'extérieur. Les yeux aux bords des larmes. Je m'enferme dans ma chambre, ne voulant plus rien savoir. 

Je veux restée seule. Loin de tout ce merdier. 

Après ça, les jours défilent. Comme j'ai l'interdiction de sortir de ma chambre. Je me suis remis à étudié. Je refoule tout ce qui c'est passée au fond de mon cœur. Je ne veux plus souffrir. La bestiole volante m'apporte du courrier. Je l'ouvre sans tarder.

- Lettre -

Ma puce...

J'ai appris ce qu'il c'est passait. Sois courageuse. Si je t'ai envoyé dans cette endroit, si pour que tu apprenne à contrôlé tes pouvoirs, mais aussi à devenir plus forte. 

Je sais que tu peux y arriver. Tu possède un caractère de cochon parfois, je te l'accorde. Mais en tant que mère, crois en moi, crois en toi. Tu es quelqu'un de déterminée, de courageuse. Tu n'a jamais abandonné. Alors n'abandonne pas la-bas. 

C'est même une occasion dans apprendre plus sur toi-même, sur ton père. 

Il y a de nombreux choses que je ne peux pas te dire, je préfère que tu les cherches pars toi même. Alors je te fais une promesse. La prochaine fois que tu recevra une lettre de ma part, je te donnerais le prénom et le nom de ton père. 

Ma puce, crois en toi. A très bientôt.

Ta maman chérie. 

- Lettre -

Je froisse le morceau de papier de couleur grisâtre. J'ai toujours crue en toi maman.. Je te fais amplement confiance, étant ta fille. Mes yeux regarde le réveil : 21 : 38. 

Déjà. 

Mhm.. Quelque chose frappe à ma fenêtre, encore la chauve-sourie ? Je me retourne et reste sur place. Y'a rien. Pile quand je dis ça, un caillou reproduit le même bruit juste avant. J'ouvre ma fenêtre pour voir qui ça peut bien être. 

- Va tant. Dis-je à Mathieu.

- Je partirai pas d'ici avant d'avoir parlé avec toi. Gueule t-il. 

Si il continue à gueulé, il va attirait l'attention de tout le monde.. 

- Vient immédiatement avec moi, ou je jure que je rentre de force et te tire pars la force. Même si je dois te traîner sur le sol devant tous.

 Je referme la fenêtre et lui fait signe que j'arrive. 

Je descend les escaliers le plus discrètement et rapidement que possible. Je suis censée être dans ma chambre. Heureusement qu'a cette heure-ci, il n'y a pas un chat. Enfin dehors, le vent me caresse la peau. L'aire frais est agréable. 

- Allons discuter dans un endroit sure. En m'attrapant la main.

Il perd pas temps dis donc..Il à toujours la même énergie.

- Ou ça ? 

- Bah la piscine, tes bête ! Dit-il.

Il à encore les clé ?